Tribune de la femme : Salimata Pousga, docteur vétérinaire et enseignante à l’UPB

C’est fou ce que les gens sont en admiration devant le parcourt de cette demoiselle. Cela renforce les préjugés qui veulent que seules les femmes belles doivent réussir. Ce qui enlève tout mérite au parcourt de mademoiselle. Il y a quand même des zone d’ombre dans ce tableau idyllique qu’on nous a peins. Il n’est pas si facile d’obtenir un poste dans les trois universités où elle a postulé. Si elle a été acceptée dans les trois, c’est que ses relations ont joué en sa faveur. Car je connais des thésardes qui ont été rejetées. Pas qu’elles ne sont pas compétentes, bien au contraire ce sont des lumières. Mais elles n’ont pas de soutien en haut lieu, comme Mlle Pousga.
Alors au lieu de saliver sur la beauté de Mlle, comme la plupart des commentaires, posez vous les bonnes questions.
Suffit il de faire des études pour occuper un poste respectable au Faso, ou faut il seulement avoir les bonnes relations ????
Pour moi la réponse est clair : il faut avoir de bonnes relations. Ainsi on est sûr de ne pas chômer et d’aller grossir le lot des personnes privilégiées.