Blaise COMPAORE réagit suite au décès de l’élève Justin ZONGO et les manifestations observées dans certaines régions

Oui ! On peut être tous d’accord avec la président COMPAORE, mais il reste à se poser la question pourquoi des jeunes ( pour ne pas dire des enfants même si l’on pense à fortiori que derrière ces jeunes, il y a des adultes qui poussent), se donnent à la violence et surtout pourquoi l’extension de ce mouvement de façon spontanée sur toute "l’étendu" du pays ? C’est le monent ou plus que jamais que les Burkinabe dans un élan de patriotisme et de choix politique et stratégique de promouvoir des droits humains( ici le droit à la vie) doivent se poser les bonnes questions et ensemble s’engager dans des réformes qui garantiront la concorde fraternelle ( esprit de citoyens d’une même nation) et la paix sociale que les Burkinabe ont su cultiver ( par tolérence)depuis la mort du journalisme Norbert ZONGO. Osons un autre Burkina de droit où la justice sera la chose la mieux partagée !Oui, c’est possible.
De toute façon, il ne suffit de dire au premier magistrat du pays( ce n’est même pas ce que le président compaoré attend des burkinabé dans cette crise)qu’on est d’accord avec lui, mais il a besoin de citoyens engagés dans la recherche/validation de propositions concrêtes pour que plus jamais ça au Faso ; c’est aussi un des jalons voir un des défis majeurs pour un Burkina émergent.