Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Evénements de Koudougou : nouvelle fermeture des classes
10 mars 2011, 13:08, par
Tongo
Bonjour,
Je ne voudrais pas enfoncer le clou, mais il faut définitivement que nous comprenions qu’encore une fois, ce sont les enfants des pauvres citoyens qui trinquent dans cette situation. Ceux des autres étudient sous d’autres cieux et c’est à se demander même s’ils sont au courant de ce qui se passe ici au Faso.
Nos gouvernants doivent donc réaliser que la situation est suffisamment grave et se donner tous les moyens de la régler définitivement. A la fin, que font-ils donc s’ils sont incapables de faire régner l’ordre, la justice et la paix ?
Beaucoup d’élèves et d’étudiants sont morts ainsi, suite à ce qui est convenue d’appeler « des bavures policières » et ces criminels presqu’investis courent toujours et se multiplient à longueur d’année. Non ! C’en est trop à la fin.
Cher gouvernants, de grâce, faites quelque chose, car autant vous chérissez vos enfants et espérez un avenir radieux pour eux, autant nous chérissons les nôtres et mieux, nous attendons tout d’eux. Ce qui n’est certainement pas votre cas ! Mais soyez justes avec vos administrés, car si vous refusez de les défendre, ils tenteront de le faire par eux-mêmes, avec les moyens qui sont les leurs.
A l’heure qu’il est, les parents que nous sommes avons fini de payer la scolarité de nos enfants. Alors en cas d’année blanche que faire ? Bien sûr, une scolarité au Burkina Faso ne vous émeut aucunement, mais de grâce soyez justes avec nous.
Bonjour,
Je ne voudrais pas enfoncer le clou, mais il faut définitivement que nous comprenions qu’encore une fois, ce sont les enfants des pauvres citoyens qui trinquent dans cette situation. Ceux des autres étudient sous d’autres cieux et c’est à se demander même s’ils sont au courant de ce qui se passe ici au Faso.
Nos gouvernants doivent donc réaliser que la situation est suffisamment grave et se donner tous les moyens de la régler définitivement. A la fin, que font-ils donc s’ils sont incapables de faire régner l’ordre, la justice et la paix ?
Beaucoup d’élèves et d’étudiants sont morts ainsi, suite à ce qui est convenue d’appeler « des bavures policières » et ces criminels presqu’investis courent toujours et se multiplient à longueur d’année. Non ! C’en est trop à la fin.
Cher gouvernants, de grâce, faites quelque chose, car autant vous chérissez vos enfants et espérez un avenir radieux pour eux, autant nous chérissons les nôtres et mieux, nous attendons tout d’eux. Ce qui n’est certainement pas votre cas ! Mais soyez justes avec vos administrés, car si vous refusez de les défendre, ils tenteront de le faire par eux-mêmes, avec les moyens qui sont les leurs.
A l’heure qu’il est, les parents que nous sommes avons fini de payer la scolarité de nos enfants. Alors en cas d’année blanche que faire ? Bien sûr, une scolarité au Burkina Faso ne vous émeut aucunement, mais de grâce soyez justes avec nous.