« Les présumées menaces terroristes ne jouent pas sur le tourisme burkinabè »
21 octobre 2010, 11:13, par
Cédric DENIS
Cher Journaliste, je vous engage à rédiger deux articles pour un tel sujet...
aqmi d’un côté
et "booster le tourisme au Burkina" de l’autre
Dans sa dernière réponse le Président de l’APVT est d’une grande clarté et très pertinent
Je passe sur le problème ONTB que nous avons aussi eu en France avec nos Offices de Tourisme et que le Code du Tourisme a réglé
(Ah oui... depuis quelques années nous avons la chance d’avoir un Code du Tourisme qui réglemente notre profession et grand bien lui en fasse)
Je partage donc votre avis M. du Corbbo mais avant de libéraliser M. DIARRA a raison il faut s’assoir et échanger... je prolongerai même en disant qu’il faut légiférer.
Oh non, pas faire un code du tourisme... les producteurs de voyages européens ont juste besoin, pour être rassurés et commercialiser la destination, que chaque acteur de la chaine de production du voyage soit parfaitement reconnu, agréé et assuré.
Dés lors, l’infrastructure se développera d’elle même et les jeunes seront formés à recevoir les touristes (hispanophones)
Cher Journaliste, je vous engage à rédiger deux articles pour un tel sujet...
aqmi d’un côté
et "booster le tourisme au Burkina" de l’autre
Dans sa dernière réponse le Président de l’APVT est d’une grande clarté et très pertinent
Je passe sur le problème ONTB que nous avons aussi eu en France avec nos Offices de Tourisme et que le Code du Tourisme a réglé
(Ah oui... depuis quelques années nous avons la chance d’avoir un Code du Tourisme qui réglemente notre profession et grand bien lui en fasse)
Je partage donc votre avis M. du Corbbo mais avant de libéraliser M. DIARRA a raison il faut s’assoir et échanger... je prolongerai même en disant qu’il faut légiférer.
Oh non, pas faire un code du tourisme... les producteurs de voyages européens ont juste besoin, pour être rassurés et commercialiser la destination, que chaque acteur de la chaine de production du voyage soit parfaitement reconnu, agréé et assuré.
Dés lors, l’infrastructure se développera d’elle même et les jeunes seront formés à recevoir les touristes (hispanophones)