Le tourisme au Burkina Faso : Une passion, un métier, un levier de développement
7 janvier 2010, 19:28, par
Aimé OUEDRAOGO
Je voudrais saluer l’auteur de cet article qui a le mérite de montrer l’importance du tourisme en tant que secteur à même de contribuer au développement socioculturel et économique d’un pays comme le Burkina Faso.
Cependant, cet article comporte quelques insuffisances liées au mauvais usage de certains termes techniques (comme par exemple "guides touristiques"au lieu de "guides de tourisme" et aux informations statistiques approximatives qu’il contient alors que des données recentes et précises sont disponibles au niveau des administrations en charge du tourisme.
Par ailleurs, certains exemples ou temoignages de personnes (notamment celui de la lycéenne Nathalie SANOU) portent à croire que n’importe qui peut exercer le metier de guide de tourisme. Pourtant, l’exercice de ce metier au Burkina Faso est régi par des textes.
Je souhaite donc que pour une prochaine fois, Monsieur TOE fasse lire son projet d’article par un technicien du secteur.Cela éviterait les coquilles et surtout une mauvais information du public sur les activités de ce secteur très porteur pour un pays comme le Burkina Faso.
Je voudrais saluer l’auteur de cet article qui a le mérite de montrer l’importance du tourisme en tant que secteur à même de contribuer au développement socioculturel et économique d’un pays comme le Burkina Faso.
Cependant, cet article comporte quelques insuffisances liées au mauvais usage de certains termes techniques (comme par exemple "guides touristiques"au lieu de "guides de tourisme" et aux informations statistiques approximatives qu’il contient alors que des données recentes et précises sont disponibles au niveau des administrations en charge du tourisme.
Par ailleurs, certains exemples ou temoignages de personnes (notamment celui de la lycéenne Nathalie SANOU) portent à croire que n’importe qui peut exercer le metier de guide de tourisme. Pourtant, l’exercice de ce metier au Burkina Faso est régi par des textes.
Je souhaite donc que pour une prochaine fois, Monsieur TOE fasse lire son projet d’article par un technicien du secteur.Cela éviterait les coquilles et surtout une mauvais information du public sur les activités de ce secteur très porteur pour un pays comme le Burkina Faso.
Aimé OUEDRAOGO
Elève à l’ENAM, section tourisme