CATASTROPHE DU 1er SEPTEMBRE : Sinistrés d’hier, déguerpis de demain
19 octobre 2009, 11:48, par
basga
oui. d’accord avec vous qu’il faut une véritable politique de l’habitat. Celle-ci ne peut se résumer à une distribution de parcelles comme le gouvernement le fait jusque-là en fait. peut-on donner une parcelle à chaque burkinabè ? ce qu’il faut, c’est une politique des logements sociaux avec tous les avantages cités dans l’article. J’ajoute qu’une telle politique profiterait directement à de nombreux sinistrés qui sont sans emploi ou exercent des emplois précaires.
Ensuite il faut déplorer la précipitation des mesures annoncées et le fait que cela s’est fait sans concertation, ni avec les premiers concernés, ni avec les partenaires. Du reste, un problème aussi grave concerne tous les burkinabè (à preuve, l’appel du chef de l’Etat) et il aurait fallu trouver un mécanisme pour impliquer différents acteurs en vue de parvenir aux meilleures décisions possibles prenant en compte des aspects qui ont certainement été ignorés ou éludés par le gouvernement.
Dans tous les cas, le problème en réalité demeurera,même si le 30 novembre, les sinistres sont chassés des sites. mais, cela n’est-il pas conforme à une certtaine tradition du pouvoir qui consiste à reporter simplement les problèmes ?
oui. d’accord avec vous qu’il faut une véritable politique de l’habitat. Celle-ci ne peut se résumer à une distribution de parcelles comme le gouvernement le fait jusque-là en fait. peut-on donner une parcelle à chaque burkinabè ? ce qu’il faut, c’est une politique des logements sociaux avec tous les avantages cités dans l’article. J’ajoute qu’une telle politique profiterait directement à de nombreux sinistrés qui sont sans emploi ou exercent des emplois précaires.
Ensuite il faut déplorer la précipitation des mesures annoncées et le fait que cela s’est fait sans concertation, ni avec les premiers concernés, ni avec les partenaires. Du reste, un problème aussi grave concerne tous les burkinabè (à preuve, l’appel du chef de l’Etat) et il aurait fallu trouver un mécanisme pour impliquer différents acteurs en vue de parvenir aux meilleures décisions possibles prenant en compte des aspects qui ont certainement été ignorés ou éludés par le gouvernement.
Dans tous les cas, le problème en réalité demeurera,même si le 30 novembre, les sinistres sont chassés des sites. mais, cela n’est-il pas conforme à une certtaine tradition du pouvoir qui consiste à reporter simplement les problèmes ?