> SITARAIL : Quand la leçon de l’histoire réfute la logique du tout business
12 juin 2007, 18:42, par
zomi
Bonjour,
félicitation pour cet article de l’hebdomadaire. Je crois qu’un rappel d’histoire du chemin de fer est très interessant et surtout éducatif. L’idée de mettre en place une structure dont l’objectif est d’occuper les créneaux abandonnés par SITARAIL l’est aussi. Je crains malheureusement qu’aucune entreprise privée ne suit hasardera car cela ne sera pas rentable financièrement pour elle. A vrai dire l’essentiel des sociétés de chemin de fer à travers le chemin de fer (meme a capitaux privés) fonctionnent avec des subventions importantes de l’Etat. Une étude réalisée par la SNCF avait montré que les 2/3 des gares en France devraient fermés car non rentables financièrement. Cependant l’Etat francais, connaissant l’importance du rail pour ces regions, subventionnent fortement la sncf.
Cela revient à dire que la mise en place d’une entreprise privée, complementaire à la Sitarail, necessitera un engagement fort de l’Etat qui ne peut y etre contraints que par les députés, les élus locaux de ces régions ou les gares sont fermés depuis la privatisation la SCFB ou par la société civile burkinabè.
Bonjour,
félicitation pour cet article de l’hebdomadaire. Je crois qu’un rappel d’histoire du chemin de fer est très interessant et surtout éducatif. L’idée de mettre en place une structure dont l’objectif est d’occuper les créneaux abandonnés par SITARAIL l’est aussi. Je crains malheureusement qu’aucune entreprise privée ne suit hasardera car cela ne sera pas rentable financièrement pour elle. A vrai dire l’essentiel des sociétés de chemin de fer à travers le chemin de fer (meme a capitaux privés) fonctionnent avec des subventions importantes de l’Etat. Une étude réalisée par la SNCF avait montré que les 2/3 des gares en France devraient fermés car non rentables financièrement. Cependant l’Etat francais, connaissant l’importance du rail pour ces regions, subventionnent fortement la sncf.
Cela revient à dire que la mise en place d’une entreprise privée, complementaire à la Sitarail, necessitera un engagement fort de l’Etat qui ne peut y etre contraints que par les députés, les élus locaux de ces régions ou les gares sont fermés depuis la privatisation la SCFB ou par la société civile burkinabè.