Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
> Chasse sportive : Même mort, le lion fait toujours peur
12 mai 2007, 04:18, par
Terry
Nous "pleurons" un lion mais il faut lire l’interview du controleur fonctionnaire de l’Etat sense proteger la faune pour comprendre que nous ne sommes pas au bout de nos peines.
Morceau choisi : "C’est essentiellement le lion. En ce qui concerne le buffle, le Yeryanga Safa a eu un quota de quinze buffles pendant la durée de cette campagne qui a débuté le 1er décembre dernier. Egalement, il a bénéficié d’un quota de quinze cobas".
Sous le couvert de la chasse sportive on permet aux mercenaires d’abattre 2 lions, 15 buffles, 15 cobas cette annee au Burkina Faso. L’annee prochaine on rebelotte, encore et encore. Pareil dans les autres zones de "chasse".
Bientot nous serons obliges de prendre des billets d’avion pour nous enfants afin qu’ils aillent regarder des animaux africains dans les zoos europeens !
Nous pleurons ce lion qui attirerait plus de vrais touristes qui n’ont pour seule arme qu’une paire de jumelles. C’est eux qui apportent beaucoup de recettes a l’Etat. Par contre cet abateur de lion et son complice qui gerent ce ranch Yeryanga sont les seuls gagnants dans la mort de notre lion. Pas le Burkina.
Il est bien temps que le Ministere de l’Environnement se reveille et interdise l’abattage honteusement organise du peu d’animaux sauvages qui nous reste.
Nous "pleurons" un lion mais il faut lire l’interview du controleur fonctionnaire de l’Etat sense proteger la faune pour comprendre que nous ne sommes pas au bout de nos peines.
Morceau choisi : "C’est essentiellement le lion. En ce qui concerne le buffle, le Yeryanga Safa a eu un quota de quinze buffles pendant la durée de cette campagne qui a débuté le 1er décembre dernier. Egalement, il a bénéficié d’un quota de quinze cobas".
Sous le couvert de la chasse sportive on permet aux mercenaires d’abattre 2 lions, 15 buffles, 15 cobas cette annee au Burkina Faso. L’annee prochaine on rebelotte, encore et encore. Pareil dans les autres zones de "chasse".
Bientot nous serons obliges de prendre des billets d’avion pour nous enfants afin qu’ils aillent regarder des animaux africains dans les zoos europeens !
Nous pleurons ce lion qui attirerait plus de vrais touristes qui n’ont pour seule arme qu’une paire de jumelles. C’est eux qui apportent beaucoup de recettes a l’Etat. Par contre cet abateur de lion et son complice qui gerent ce ranch Yeryanga sont les seuls gagnants dans la mort de notre lion. Pas le Burkina.
Il est bien temps que le Ministere de l’Environnement se reveille et interdise l’abattage honteusement organise du peu d’animaux sauvages qui nous reste.