Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
> Etalons : Bernard Simondi remercié pour abandon de poste
19 juin 2006, 14:09, par
Madiba
Franchement, nous commençons à avoir marre de cette situation "aussitôt arrivé, aussitôt parti". Il faudra un peu de respect envers nous même et pour notre sport en recrutant des entraîneurs respectables et respectueux.
La solution serait de recruter un entraîneur national mais malheureusement, j’ai l’impression que les entraîneurs locaux ne font pas bonne recette auprès des pros africains qui évoluent en Europe. La raison est simple, ils se croient plus importants et plus savants que leur entraîneur et pensent qu’ils n’ont rien à apprendre de ce dernier. Conséquence, on se tiraille de tous les côtés et après c’est un échec collectif qu’on récolte. Donc, le problème ne situe pas seulement au niveau de nos dirigeants sportifs mais aussi au niveau des joueurs eux-mêmes. Si l’entraîneur angolais qui est un angolais (a moins que je ne me trompe) a pu former une équipe digne de ce nom, c’est que ses joueurs ne sont pas tous des super stars.
La meilleure solution serait de recruter un entraîneur national qui travaillera avec les locaux et on appellera les pros qui veulent jouer pour leur pays et non venir augmenter leur côte de popularité alors que beaucoup d’entre eux ne jouent jamais dans leur club. Mais un monsieur comme Saboteur peut nous être bénéfique vu son bagage et il n’a rien à envier à nos joueurs.
Pauvre Afrique, nous avons encore du chemin à faire pour conquérir le monde footballistique.
Franchement, nous commençons à avoir marre de cette situation "aussitôt arrivé, aussitôt parti". Il faudra un peu de respect envers nous même et pour notre sport en recrutant des entraîneurs respectables et respectueux.
La solution serait de recruter un entraîneur national mais malheureusement, j’ai l’impression que les entraîneurs locaux ne font pas bonne recette auprès des pros africains qui évoluent en Europe. La raison est simple, ils se croient plus importants et plus savants que leur entraîneur et pensent qu’ils n’ont rien à apprendre de ce dernier. Conséquence, on se tiraille de tous les côtés et après c’est un échec collectif qu’on récolte. Donc, le problème ne situe pas seulement au niveau de nos dirigeants sportifs mais aussi au niveau des joueurs eux-mêmes. Si l’entraîneur angolais qui est un angolais (a moins que je ne me trompe) a pu former une équipe digne de ce nom, c’est que ses joueurs ne sont pas tous des super stars.
La meilleure solution serait de recruter un entraîneur national qui travaillera avec les locaux et on appellera les pros qui veulent jouer pour leur pays et non venir augmenter leur côte de popularité alors que beaucoup d’entre eux ne jouent jamais dans leur club. Mais un monsieur comme Saboteur peut nous être bénéfique vu son bagage et il n’a rien à envier à nos joueurs.
Pauvre Afrique, nous avons encore du chemin à faire pour conquérir le monde footballistique.