Transition politique au Burkina : Un instituteur retraité demande la convocation d’assises nationales

On ne s’arrete pas. On est venu avec en tete la reprise du pays.
Dis lui ça IB.
Mais monsieur l’instituteur, si vous aviez suivi IB, il disait que la guerre n’avait pas commencé. Hé bien, elle a commencé maintenant. Vous croyez que notre armée et les VDP combattent au hasard et vous venez dire de s’arreter pour des assises ? Si IB n’avait pas de plans à l’avance, il n’allait pas prendre le pouvoir. Donc, monsieur TALL, gardez votre sang froid car c’est le deroulement normal des choses.
Autre chose, quand vous dites que les choses vont pire, dites-nous, depuis le début du terrorisme, qui a pu libérer un centimètre si ce n’st IB ? S’asseoir avec qui pour réfléchir à comment reprendre le pays ? Ils étaient où pour ne pas commencer ?
C’est regrettable mais pour vous là, ça ressemble à de la diversion.