Insécurité dans le Sahel : Djibril Bassolé propose de dialoguer avec les terroristes

Chers internautes, recevez mon salut fraternel.

Je voudrais savoir si le déni de son prochain, parent, concitoyen ou doyen est-il devenu un le nouveau patriotisme burkinabè. Depuis ces huit dernières années, on a toujours lu et écouter des messages hostiles vis-à-vis de nos anciens, nos frères ou compatriotes qui auraient commis ceci ou cela. C’est vrai, mais que chacun de nous se demande : QU’EST CE QUE J’AI FAIT DE MIEUX POUR MON PAYS QUE CES MALFAITEURS Q’ON NE VEUT MÊME PLUS SENTIR LEUR VIE ?
ILS REPRESENT LE DEMONT AUX YEUX DE CERTAINS, MAIS DEMANDONS-NOUS SI NOUS SOMMES SAINTS.
Très sincèrement, le constat de ce nouvel modèle comportemental est dangereux pour la survie d’une nation. Il n’y a plus d’humilité, de pardon et du respect dautrui. Tant que quelqu’un est accusé d’une faute, nette, on le vomit. C’est très dommage !
Un adage villageois dit ceci : la famille qui sait respecter sa sorcière n’aura pas à payer les services d’un charlatan. Ailleurs, les intègrent leurs anciens, devanciers ou leur pardonne afin de vivre ensemble.
Continuons ainsi dans le zèle, l’égoïsme, le mépris et la vangeance . Peut-être que nos maux disparaîtront avec la disparition de nos impures.

Dommage que le pardon soit effacé de notre éducation !