Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Paul Henri Sandaogo Damiba : « Nous avons eu beaucoup de résultats, mais on n’en a pas parlé »
28 février 2023, 12:14, par
Gwandba
Je ne sais pas s’il faut en pleurer ou rire après le visionnage de cet entretien.
Hormis les "je pense que" qui sont la plus grande partie de ce qu’il a dit et de la haine viscérale qu’il cache mal vis-à-vis du gouvernement actuel, je ne trouve pas grand chose à cet entretien.
Pas du côté du frère Alain que je salut au passage mais de ce DAMIBA.
Je comprend les raisons de l’ennui monstrueux dans lequel j’étais en lisant son livre s’intitulant Armées ouest-africaines et terrorisme : réponses incertaines ?
Comme tous les vassaux, il bottait en touche à chaque fois qu’il est invité dans le fond. Il préfère rester avec des phrases toutes faites. A croire que c’est la marque de fabrique de ces anti-panafricanistes mandatés par on ne sait qui. Tout ce qui est certain, ils finissent tous lâchement de la même manière. A qui le tour ??
Il est clair qu’avec ce type de raisonnement, il était difficile qu’il reste sur les objectifs visés qui l’ont amenés à prendre le pouvoir avec ses camarades.
Comment un militaire de surcroit former en stratégie, balbutie de cette manière et laisse penser qu’il ne savait pas les raisons pour lesquelles il était porter à la tête du pays ??
Sa formation stratégique ne l’a pas permis de saisir les enjeux du moment mais l’ont ramenés au siècle dernier à mon sens.
La seule stratégie qui se dégage de ce qu’il dit est la tentative comme le dit Alpha Blondy : les imbéciles rentrent dans l’histoire à réculons.
Sandaogo par cet interview a levé le voile sur ses réelles intentions.
Personnellement, à l’attendre dire lui-même (même si ceci semble lui avoir échapper), qu’il a commit une erreur en amenant Blaise Compaoré au Burkina, nous avons une victoire morale d’étape. Car, beaucoup de ceux qui brandissent la réconciliation comme remède de tous nos maux peuvent maintenant avoir la preuve concrète que c’était une erreur injuste.
Je ne sais pas s’il faut en pleurer ou rire après le visionnage de cet entretien.
Hormis les "je pense que" qui sont la plus grande partie de ce qu’il a dit et de la haine viscérale qu’il cache mal vis-à-vis du gouvernement actuel, je ne trouve pas grand chose à cet entretien.
Pas du côté du frère Alain que je salut au passage mais de ce DAMIBA.
Je comprend les raisons de l’ennui monstrueux dans lequel j’étais en lisant son livre s’intitulant Armées ouest-africaines et terrorisme : réponses incertaines ?
Comme tous les vassaux, il bottait en touche à chaque fois qu’il est invité dans le fond. Il préfère rester avec des phrases toutes faites. A croire que c’est la marque de fabrique de ces anti-panafricanistes mandatés par on ne sait qui. Tout ce qui est certain, ils finissent tous lâchement de la même manière. A qui le tour ??
Il est clair qu’avec ce type de raisonnement, il était difficile qu’il reste sur les objectifs visés qui l’ont amenés à prendre le pouvoir avec ses camarades.
Comment un militaire de surcroit former en stratégie, balbutie de cette manière et laisse penser qu’il ne savait pas les raisons pour lesquelles il était porter à la tête du pays ??
Sa formation stratégique ne l’a pas permis de saisir les enjeux du moment mais l’ont ramenés au siècle dernier à mon sens.
La seule stratégie qui se dégage de ce qu’il dit est la tentative comme le dit Alpha Blondy : les imbéciles rentrent dans l’histoire à réculons.
Sandaogo par cet interview a levé le voile sur ses réelles intentions.
Personnellement, à l’attendre dire lui-même (même si ceci semble lui avoir échapper), qu’il a commit une erreur en amenant Blaise Compaoré au Burkina, nous avons une victoire morale d’étape. Car, beaucoup de ceux qui brandissent la réconciliation comme remède de tous nos maux peuvent maintenant avoir la preuve concrète que c’était une erreur injuste.