Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« Gloire à Dieu, les principes de l’animisme » : Le nouveau livre de Prince Lamourd Thiobiany
29 janvier 2023, 18:43, par
Okpayielo
Félicitations au Prince Lamourd Thiobiany (Lamourdia THIOMBIANO) et merci pour ce courage exceptionnel de s’assumer, assumer sa communauté, assumer son ethnie et ses pratiques religieuses.
Je suis un kpayielo.
Il n’est un secret pour personne que les intellectuels burkinabè ont quelque part honte de tout cet héritage culturel de nos ancêtres et préfèrent se réfugier dans le mimétisme béat (le jardin du voisin leur semblant toujours plus vert). N’est-ce pas la raison profonde de l’arriérisme incroyable de nous Africains à léchelle planétaire. Un Congolais disait un jour dans un débat libre : "Dieu lui-même se demande pourquoi le Congo (par extension l’Afrique) est pauvre", j’ajoute : et désorganisée.
Perpétuons la croyance de nos ancêtres ! Aucune des religions dites révélée n’est universelle.
Prince Lamourd Thiobiany, l’IDEAL (tel que j’ai compris de l’article ci-devant) serait un rassemblement de toutes ces croyances ancestrales pour mieux les valoriser et parvenir à positionner l’Africain dans le monde. Il y a cependant un facteur objectif handicapant sur lequel il faudra (probablement à travers des générations) essentiellement travailler : ces religions ancestrales, à l’exemple de celle des gulmanceba, ne sont ni agressives ni conquérantes ; elles ne connaissent pas de prêches colonisateurs agressifs tels que le christianisme et l’islam même si elles semblent les plus ouvertes et flexibles. J’admire au passage les bouddhistes et les hindous qui ont montré au monde la richesse de la conservation de leurs croyances religieuses.
La Patrie ou la mort, nous vaincrons !
Félicitations au Prince Lamourd Thiobiany (Lamourdia THIOMBIANO) et merci pour ce courage exceptionnel de s’assumer, assumer sa communauté, assumer son ethnie et ses pratiques religieuses.
Je suis un kpayielo.
Il n’est un secret pour personne que les intellectuels burkinabè ont quelque part honte de tout cet héritage culturel de nos ancêtres et préfèrent se réfugier dans le mimétisme béat (le jardin du voisin leur semblant toujours plus vert). N’est-ce pas la raison profonde de l’arriérisme incroyable de nous Africains à léchelle planétaire. Un Congolais disait un jour dans un débat libre : "Dieu lui-même se demande pourquoi le Congo (par extension l’Afrique) est pauvre", j’ajoute : et désorganisée.
Perpétuons la croyance de nos ancêtres ! Aucune des religions dites révélée n’est universelle.
Prince Lamourd Thiobiany, l’IDEAL (tel que j’ai compris de l’article ci-devant) serait un rassemblement de toutes ces croyances ancestrales pour mieux les valoriser et parvenir à positionner l’Africain dans le monde. Il y a cependant un facteur objectif handicapant sur lequel il faudra (probablement à travers des générations) essentiellement travailler : ces religions ancestrales, à l’exemple de celle des gulmanceba, ne sont ni agressives ni conquérantes ; elles ne connaissent pas de prêches colonisateurs agressifs tels que le christianisme et l’islam même si elles semblent les plus ouvertes et flexibles. J’admire au passage les bouddhistes et les hindous qui ont montré au monde la richesse de la conservation de leurs croyances religieuses.
La Patrie ou la mort, nous vaincrons !