Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Maintien probable des forces françaises au Burkina Faso : Quand la transition veut se tirer une balle dans le pied
12 janvier 2023, 10:20, par
kwiliga
Whaou, comme on aime se frapper virilement le torse sur ce forum.
Si on avait le centième de ce courage dans l’action, on serait débarrassé du terrorisme, de la corruption,... et surement aussi des dictatures militaires.
Malheureusement, tout ça, c’est du vent, des bouffées d’orgueil qui ne font qu’afficher notre propre impuissance.
Monsieur Daouda Emile OUEDRAOGO, visiblement en accord avec les pro-russes, nous écrit depuis les USA (d’où il mériterait bien d’être expulsé_mais eux sont un pays démocratique), bien planqué derrière son clavier et les "nous autres", depuis le Ouagaland, son luxe et sa sécurité, ou même depuis l’étranger, nous précipitons pour renter dans son jeu (ça rappelle amèrement un certain Maïga) et multiplions les menaces, les exigences, à l’égard de la France (qui doit trembler) et de notre président de la transition.
Mais pour qui se prend on, dès qu’on est bien planqué dans l’anonymat de nos pseudos et très loin des zones de conflit ?
Whaou, comme on aime se frapper virilement le torse sur ce forum.
Si on avait le centième de ce courage dans l’action, on serait débarrassé du terrorisme, de la corruption,... et surement aussi des dictatures militaires.
Malheureusement, tout ça, c’est du vent, des bouffées d’orgueil qui ne font qu’afficher notre propre impuissance.
Monsieur Daouda Emile OUEDRAOGO, visiblement en accord avec les pro-russes, nous écrit depuis les USA (d’où il mériterait bien d’être expulsé_mais eux sont un pays démocratique), bien planqué derrière son clavier et les "nous autres", depuis le Ouagaland, son luxe et sa sécurité, ou même depuis l’étranger, nous précipitons pour renter dans son jeu (ça rappelle amèrement un certain Maïga) et multiplions les menaces, les exigences, à l’égard de la France (qui doit trembler) et de notre président de la transition.
Mais pour qui se prend on, dès qu’on est bien planqué dans l’anonymat de nos pseudos et très loin des zones de conflit ?