Sécurité au Burkina : Me Hermann Yaméogo rappelle le délai de « trois mois solennellement donné » par le président Ibrahim Traoré

on dirait que beaucoup des burkinabés ne veulent pas la paix,ils attendent la paix de la part d’une personne au lieu de chercher sa paix par lui même,un certain Sankara disait qu’on ne confie pas sa securite a un groupe,
pour moi dans la guerre y’a une communication qui peut effrayer l’ennemi