Affaire Ollo Mathias Kambou : Le procureur requiert une peine de trois mois d’emprisonnement ferme
24 septembre 2022, 06:55, par
Pasakziri
Je reste sur ma position que la détention du sieur Kambou est illégale parce qu il n y a aucun risque que le prévenu se échappe, et qu il ne représente aucun danger pour personne. Ni pour le pouvoir en place, ni pour le citoyen lambda. Alors pourquoi détenir un citoyen dans cette situation pour une allégation aussi banale ? L outrance à autorité ne peut pas être un crime, elle n est même pas la pire des infractions.
Monsieur le procureur devrait s autosaisir
des cas de violation flagrante de la constitution et d autres lois burkinabé depuis le 24 janvier :
Démission forcée d un président démocratiquement élu devant un organe imaginaire, donc démission caduque
Usurpation du titre de président du Faso par un citoyen en dehors des dispositions légales
Haute trahison perpétrée par le conseil constitutionnel de la mission à elle confiée
Séquestrations ,
enlèvement d autorité,
tentative d assassinat d autorité
Assassinat involontaire de citoyen
Complicité de fuite d individus recherchés
etc etc
Monsieur le procureur, voilà des infractions commises par Sandaogo et ses complices. Vous devriez vous autosaisir, sinon vous risquez d avoir bientôt plus de citoyens en prison que dehors. C est simplement insupportable la double vitesse d une institution qui doit être au dessus de toute considération partisane en assumant pleinement son indépendance.
Je reste sur ma position que la détention du sieur Kambou est illégale parce qu il n y a aucun risque que le prévenu se échappe, et qu il ne représente aucun danger pour personne. Ni pour le pouvoir en place, ni pour le citoyen lambda. Alors pourquoi détenir un citoyen dans cette situation pour une allégation aussi banale ? L outrance à autorité ne peut pas être un crime, elle n est même pas la pire des infractions.
Monsieur le procureur devrait s autosaisir
des cas de violation flagrante de la constitution et d autres lois burkinabé depuis le 24 janvier :
Démission forcée d un président démocratiquement élu devant un organe imaginaire, donc démission caduque
Usurpation du titre de président du Faso par un citoyen en dehors des dispositions légales
Haute trahison perpétrée par le conseil constitutionnel de la mission à elle confiée
Séquestrations ,
enlèvement d autorité,
tentative d assassinat d autorité
Assassinat involontaire de citoyen
Complicité de fuite d individus recherchés
etc etc
Monsieur le procureur, voilà des infractions commises par Sandaogo et ses complices. Vous devriez vous autosaisir, sinon vous risquez d avoir bientôt plus de citoyens en prison que dehors. C est simplement insupportable la double vitesse d une institution qui doit être au dessus de toute considération partisane en assumant pleinement son indépendance.
Passakziri