Burkina : Pourquoi Diendéré a enterré Dabo Boukary à Pô plutôt qu’à Ouagadougou ?
21 septembre 2022, 10:38, par
Wendinmi
Je remercie monsieur Zangbe de me traiter d’ignard. Je ne répondrai pas à son manque de respect que nous devons mutuellement.
Seulement mon post où ai-je prétendu qu’il faut juger des morts ? Je me situe par rapport aux versions servies tant par les étudiants de l’époque et le Général pour lui demander de continuer de dire la vérité, rien que la vérité. N’en déplaise à ceux qui exigent qu’il dise ce que eux veulent entendre : qu’il s’autoculpabilise de tout, et rien d’autre. Alors, ayant après s’être élevé au-dessus des idées préfabriquées, qu’il affronte dignement le verdict des hommes, en homme et officier d’honneur.
Sans rancune donc mon cher Zangbe, car c’est le refus de nos différences qui a conduit notre pays dans toutes ces affaires déplorables. Même des vivils s’étaient faitsbpasser maîtres de :"si tu fais, on te fait". Vivants ou morts, oseraient-ils le dire aujourd’hui même dans leurs chambres où ils se terrent dans la crainte d’une exhumation inattendue de tous les faits dont ils clament leur prétendue innocence ?
Je remercie monsieur Zangbe de me traiter d’ignard. Je ne répondrai pas à son manque de respect que nous devons mutuellement.
Seulement mon post où ai-je prétendu qu’il faut juger des morts ? Je me situe par rapport aux versions servies tant par les étudiants de l’époque et le Général pour lui demander de continuer de dire la vérité, rien que la vérité. N’en déplaise à ceux qui exigent qu’il dise ce que eux veulent entendre : qu’il s’autoculpabilise de tout, et rien d’autre. Alors, ayant après s’être élevé au-dessus des idées préfabriquées, qu’il affronte dignement le verdict des hommes, en homme et officier d’honneur.
Sans rancune donc mon cher Zangbe, car c’est le refus de nos différences qui a conduit notre pays dans toutes ces affaires déplorables. Même des vivils s’étaient faitsbpasser maîtres de :"si tu fais, on te fait". Vivants ou morts, oseraient-ils le dire aujourd’hui même dans leurs chambres où ils se terrent dans la crainte d’une exhumation inattendue de tous les faits dont ils clament leur prétendue innocence ?