Appel à la rupture avec la France : « En tant que dirigeants, nous ne pouvons pas rester sourds à ces revendications », Albert Ouedraogo
26 août 2022, 15:06, par
caca
verite no1 ! Je prends ta réaction comme ironie contre caca. Je comprends également que vous faites partis de ces burkinabé ignorants et narcissiques. La lutte contre l’impérialisme ne veut pas la mentalisation. Ton ami Ka qui a travaillé dans la coopération de sa jeunesse à la retraite sait bien le bénéfice qui en ressort. La coopération Burkina-Suisse a commencée avec des particuliers et religieux, mais aujourd’hui, elles est formalisée par l’intérêt public suisse comme Burkinabé. J’ai pris l’exemple Suisse car les ignorants comme vous diront que ce pays pille l’or du Burkina.
Dans l’approche psychologique, la notion de gratuité n’existe pas. Les partenariats sont faits d’intérêts. Même l’homme et la femme c’est par intérêt que les deux vont se mettre ensemble.
Dans un autre domaine, je serais d’accord avec vous, mais pas dans le cas de la coopération. Actuellement, le Burkina bénéficie les accords de coopération française avec d’autres régime et président. Depuis, l’insurrection malheureusement, du coté de Burkina Faso, les différents gouvernants pensaient que la coopération était un droit et non un partenariat. Peut -être que je pourrais vous donnez des cours sur la coopération et le développement.
verite no1 ! Je prends ta réaction comme ironie contre caca. Je comprends également que vous faites partis de ces burkinabé ignorants et narcissiques. La lutte contre l’impérialisme ne veut pas la mentalisation. Ton ami Ka qui a travaillé dans la coopération de sa jeunesse à la retraite sait bien le bénéfice qui en ressort. La coopération Burkina-Suisse a commencée avec des particuliers et religieux, mais aujourd’hui, elles est formalisée par l’intérêt public suisse comme Burkinabé. J’ai pris l’exemple Suisse car les ignorants comme vous diront que ce pays pille l’or du Burkina.
Dans l’approche psychologique, la notion de gratuité n’existe pas. Les partenariats sont faits d’intérêts. Même l’homme et la femme c’est par intérêt que les deux vont se mettre ensemble.
Dans un autre domaine, je serais d’accord avec vous, mais pas dans le cas de la coopération. Actuellement, le Burkina bénéficie les accords de coopération française avec d’autres régime et président. Depuis, l’insurrection malheureusement, du coté de Burkina Faso, les différents gouvernants pensaient que la coopération était un droit et non un partenariat. Peut -être que je pourrais vous donnez des cours sur la coopération et le développement.