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Cohésion sociale : « Attention au risque d’une vraie guerre civile », prévient l’ancien ministre Alpha Barry

17 août 2022, 09:44, par caca

La situation actuelle du pays à la veille d’une guerre civile montre bien que les différents formes de mouvements ont échoués au Burkina. De la haute-Volta jusqu’au Burkina Faso en passant bien la révolution populaire de Thomas Sankara ensuite le Front Populaire et la quatrième république démocratique de Blaise Compaoré après le discours de la Baule se traduit par un échec de nos hommes politiques et les intellectuels égocentriques.
Le terrorisme est facteur de déstabilisation religieux islamique à travers le monde, mais chez nous au Burkina c’est devenu le problème d’une communauté en perte de ses richesse d’antan basée sur l’élevage.
Cette communauté a fait profit des failles de l’insurrection de 2014 où les hommes politiques et sociétés civiles pervers ont organisés en toute impunité une tuerie par haine des anciens amis de la révolution criminelle. Dès la prise du pouvoir après la démission forcée du président d’antan, les nouveaux seigneurs du Faso ont voulu régler leurs comptes en instrumentalisant la justice. La politique des vainqueurs, ont exclus d’autres burkinabé pour des raisons politiques malgré l’avertissement de la CEDEAO. Comme malheur, après le retour à un régime civil en 2015, Ouagadougou subissait sa première attaque terroriste dans son âme. cette attaque a été mal compris par le pouvoir du moment qui voyait un règlement de compte de l’ancien président. Les fabulations comme accusations gratuite furent développer de toutes sortes et aucune mesure tangible fut prise pour recadrer des dérives. Même la France qui avait voulu par son président Hollande mettre sur place une unité spécialisée de la gendarmerie française fut contrariée, car les souverainistes burkinabé voyaient la décision de paris comme une attaque de son amour propre et atteinte de son intégrité souveraine. La haine devenue politique au Faso fut une culture de civilisation jusqu’à ce que le terrorisme est devenu un instrument d’une communauté et une religion. Dans cette haine contre deux frères seulement sonnait chaque comme une véritable raison d’état où la solution était dans un bureau de juge ; Malheureusement ce pouvoir incompétent n’a voulu faire confiance à son armée pour les équiper, mais à continuer à haïr jusqu’à ce que les militaires commencent se chercher pour protéger leur nez. Dans ce bazar de politique l’incompétence est devenue insupportable le 24 janvier 022 l’armée arriva aux affaires de nouveaux.
Après les indépendances notre pays n’a jamais pu mettre se place une politique d’intégration solide du vivre ensemble. Entre le pouvoir gouvernemental considéré des intellos et la population secondaire le trou profond les sépare. Le gouvernement logé à Ouagadougou dans une langue du colon, et sa population ne comprend rien de ce qui se dit là-bas en ville. Dans une population ce genre les chefs demeurent les référents et les chefs religieux des gourous idéaux pour exploiter une population naïve. La laïcité héritée du colon n’a jamais été une valeur essentielle de la refondation du pays. Chaque ministres après sa nomination courent devant ses gourous pour demander bénédiction et pouvoir maléfique et ainsi un amalgame installé partout où les communautés conservent leur pour maléfique.
Pauvre pays le Burkina Faso voilà où nous sommes arrivés.


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