Côte d’Ivoire : Alassane Ouattara accorde la grâce présidentielle à Gbagbo et le dégel de ses comptes
7 août 2022, 13:31, par
Yako
Nous Burkinabe avons intérêt à nous inspirer de cette grâce présidentielle ivoirienne pays frère pour apaiser le climat socio-politique au Faso pour mieux affronter le terrorisme. saluons d’abord la qualité de chef du président ADO sans laquelle la RCI se serait bien longtemps somalisée.Mais l’homme non seulement a de l’autorité mieux il a su conjugué autorité et bonne gestion avec mise en avant la paix et la stabilité. S’appuyant sur ses succès économiques et paix sociale il peut se permettre la grâce présidentielle pour renforcer davantage la paix et la cohésion sociale.Qu’en est-il de la transition au Faso ? Le président Damiba devra sortir de cette posture de civilissime président en kaki au profit de celle de lieutenant-colonel-président avec la fermeté nécessaire en vue de restaurer et l’autorité de l’état et l’intégrité territoriale. pour y parvenir il ne pourra pas faire l’économie d’un pouvoir autoritaire,en coffrant quelques béotiens (ocs alimentaire, intellectuels égarés et conglomérats des débarqués du 24 janvier) c’est la seule façon de parvenir à la réconciliation.En français facile s’il s’attend à ce que les marchands de mémoires des cavres comprennent d’eux même le sens de son appel alors la réconciliation ne serait pas pour demain.Yako
Nous Burkinabe avons intérêt à nous inspirer de cette grâce présidentielle ivoirienne pays frère pour apaiser le climat socio-politique au Faso pour mieux affronter le terrorisme. saluons d’abord la qualité de chef du président ADO sans laquelle la RCI se serait bien longtemps somalisée.Mais l’homme non seulement a de l’autorité mieux il a su conjugué autorité et bonne gestion avec mise en avant la paix et la stabilité. S’appuyant sur ses succès économiques et paix sociale il peut se permettre la grâce présidentielle pour renforcer davantage la paix et la cohésion sociale.Qu’en est-il de la transition au Faso ? Le président Damiba devra sortir de cette posture de civilissime président en kaki au profit de celle de lieutenant-colonel-président avec la fermeté nécessaire en vue de restaurer et l’autorité de l’état et l’intégrité territoriale. pour y parvenir il ne pourra pas faire l’économie d’un pouvoir autoritaire,en coffrant quelques béotiens (ocs alimentaire, intellectuels égarés et conglomérats des débarqués du 24 janvier) c’est la seule façon de parvenir à la réconciliation.En français facile s’il s’attend à ce que les marchands de mémoires des cavres comprennent d’eux même le sens de son appel alors la réconciliation ne serait pas pour demain.Yako