Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Lutte contre le terrorisme au Burkina : « Je regrette que les réseaux sociaux soient devenus les idiots utiles, la caisse de résonnance de ceux qui nous accusent de jouer un double jeu » (Luc Hallade)
19 juillet 2022, 11:21, par
kwiliga
Re-bonjour verite no1,
Ha, sur ce constat, je suis parfaitement d’accord avec vous.
Je vous invite néanmoins à lire l’article "De la plantation à la tasse au comptoir, le vrai prix du café" sur le figaro économique.
Qui explique en premier lieu, qu’il y a très peu de café ivoirien en France, qu’ensuite, le nombre d’intermédiaires, torréfacteurs, emballages, amortissement des machines, salaires des employés, impôts,... va forcément augmenter le prix.
Pour exemple, ici, un employé de maquis touche moins de 50€/mois, en France, il a droit à un salaire entre 1800 et 2000€ (dans les endroits pour les pauvres), la couverture maladie, la couverture sociale, l’assurance chômage, les congés payés,...
Du coup, il est difficile d’établir des comparaisons.
Mais le problème prégnant, me semble tout de même, qu’ici, on boit du nescafé,... et ça c’est grave !
Re-bonjour verite no1,
Ha, sur ce constat, je suis parfaitement d’accord avec vous.
Je vous invite néanmoins à lire l’article "De la plantation à la tasse au comptoir, le vrai prix du café" sur le figaro économique.
Qui explique en premier lieu, qu’il y a très peu de café ivoirien en France, qu’ensuite, le nombre d’intermédiaires, torréfacteurs, emballages, amortissement des machines, salaires des employés, impôts,... va forcément augmenter le prix.
Pour exemple, ici, un employé de maquis touche moins de 50€/mois, en France, il a droit à un salaire entre 1800 et 2000€ (dans les endroits pour les pauvres), la couverture maladie, la couverture sociale, l’assurance chômage, les congés payés,...
Du coup, il est difficile d’établir des comparaisons.
Mais le problème prégnant, me semble tout de même, qu’ici, on boit du nescafé,... et ça c’est grave !