Lutte contre le terrorisme au Burkina : Des Burkinabè saluent l’héroïsme de cinq gendarmes tombés à Ouanobé

Tout homme doit mourir un jour, mais toutes les morts n’ont pas la même signification. Si on jugeait et sanctionnait tous les combattants qui < disparaissaient > au cours des attaques, où tous ceux qui abandonnent leurs positions comme à Nouna, les Hani comme on les appelle malgré 7 ans d’attaque ces braves gendarmes ne seraient pas tombés. En 1942 à Stalingrad les mitrailleurs positionnés derrière les troupes qui donnaient tous les jours l’assaut avaient pour ordre de tirer sur tout combattant qui venait face à eux quel que soit son uniforme ou son grade, avant la fin officielle de l’assaut. Et souvent le général Tchouikov commandant des troupes était parmi les combattants. Si les chefs de notre armée sont complaisants on arrivera à rien de bon. En temps de guerre il n’y a pas de place pour les sentiments. Paix à l’âme de ces braves et que leur sacrifice ne soit pas VAIN.