Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Procès « Thomas Sankara et douze autres » : Urbain Méda, un juge taquin et serein
12 février 2022, 10:48, par
SOME
Il faut déjà se poser la question : pourquoi rédiger un tel article ? Que vise cet article ? Que recherche cet article laudateur qui s’apparente à un panégyrique ? A-t-on besoin de ça surtout dans énergie affaire de justice, juste avant les délibérations et le verdict ? D’autant plus que certaines questions qui auraient dû être posées tant aux témoins qu’aux accusés n’ont pas été posées. D’autant plus que certains qui auraient dû être inculpés ne l’ont pas été. Maintenant on vient louer taquin et enjoué du président du tribunal ! En quoi cela relève du droit ?
Si l’intérêt des Burkinabè pour ce procès s’est amenuisé avec le temps, situation politique et sécuritaire oblige,.. Non monsieur le journaliste, les burkinabe ne se sont pas désintéressés pour une question de sécurité . Si tel était le cas ils ne se seraient jamais déplacés si nombreux des îles premiers jours du procès où justement il pouvait y avoir tentative d’obstruction pour ouvrir ce procès. Les burkinabe se sont détournés de ce procès car ils ont vite vu la tournure que ça a appris : le sort est déjà joué car les dés étaient déjà pipés. Il ne fallait pas attendre grand chose de ce procès qui n’estrieln d’autre qu’un deal politique. Pas pour arriver à la vérité.
Le refus contre toute logique, d’enregistrer ce procès nous en donnait le signal et en posait le cadre. Il est plus dommage que « ce procès [qui] est un grand livre d’histoire qui représente 100 tomes de l’histoire du Burkina Faso » ne soit pas conservé pour la mémoire collective et constituer une psychothérapie collective dont l’Afrique a besoin. Ce devrait être le début de la réconciliation nationale. Je crains que ce ne soit le contraire.
Malheureusement tout semble converger vers ce que je disais dès le début du procès : la vérité n’en sortira pas. Et le vaillant peuple burkinabe l’a vite compris. Votre article me le confirme après les réquisitions du procureur. SOME
Il faut déjà se poser la question : pourquoi rédiger un tel article ? Que vise cet article ? Que recherche cet article laudateur qui s’apparente à un panégyrique ? A-t-on besoin de ça surtout dans énergie affaire de justice, juste avant les délibérations et le verdict ? D’autant plus que certaines questions qui auraient dû être posées tant aux témoins qu’aux accusés n’ont pas été posées. D’autant plus que certains qui auraient dû être inculpés ne l’ont pas été. Maintenant on vient louer taquin et enjoué du président du tribunal ! En quoi cela relève du droit ?
Si l’intérêt des Burkinabè pour ce procès s’est amenuisé avec le temps, situation politique et sécuritaire oblige,.. Non monsieur le journaliste, les burkinabe ne se sont pas désintéressés pour une question de sécurité . Si tel était le cas ils ne se seraient jamais déplacés si nombreux des îles premiers jours du procès où justement il pouvait y avoir tentative d’obstruction pour ouvrir ce procès. Les burkinabe se sont détournés de ce procès car ils ont vite vu la tournure que ça a appris : le sort est déjà joué car les dés étaient déjà pipés. Il ne fallait pas attendre grand chose de ce procès qui n’estrieln d’autre qu’un deal politique. Pas pour arriver à la vérité.
Le refus contre toute logique, d’enregistrer ce procès nous en donnait le signal et en posait le cadre. Il est plus dommage que « ce procès [qui] est un grand livre d’histoire qui représente 100 tomes de l’histoire du Burkina Faso » ne soit pas conservé pour la mémoire collective et constituer une psychothérapie collective dont l’Afrique a besoin. Ce devrait être le début de la réconciliation nationale. Je crains que ce ne soit le contraire.
Malheureusement tout semble converger vers ce que je disais dès le début du procès : la vérité n’en sortira pas. Et le vaillant peuple burkinabe l’a vite compris. Votre article me le confirme après les réquisitions du procureur. SOME