Burkina Faso : Quatre nouveaux officiers aux commandes dans les régions de la Boucle du Mouhoun, à l‘Est, au Nord et au Sahel

Nommez qui vous voulez : un caporal, un adjudant, un ouvrier, un instituteur, un général , un postier ou un juge...pourvu qu’il soit compétent , intègre et soucieux de la sécurité des populations et non une brelle au crâne vide.
On sait maintenant ce que valent les titres et grades ronflants sans compétences probantes, sans honnêteté avérée et sans soucis des missions confiées. Et nombre de provinces sont déjà sous direction de tels colonels ; mais ça fait des années qu’on attend de les voir rentrés à Ouaga non derrière des corbillards pour le carré militaire à Gounguin, mais portés en triomphe sur un char par la population.
Déjà au sommet de l’Etat, on doute de la qualité, probité et capacités des hommes et des femmes aux affaires. Les mêmes questions valent donc sur toutes ces huiles qui tiennent le pavé et les administrations dans les provinces livrées au contrôle des égorgeurs au nom de Dieu.
Ce Dieu créateur de tout être vivant, aurait-il donné mandat à certains de tuer, de violer, de massacrer en toute impunité, en son nom et en vertu de quoi ?
On peine à comprendre ces crimes au nom d’allah. Et on peine également à comprendre la gestion calamiteuse de cette guerre aux HANI pour parler comme les voix autorisées de R.M.C.Kaboré qui ne nous disent pas tout !
Na an lara, an sara !
La patrie ou la mort !