Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Lutte contre le terrorisme au Burkina : Ce que l’histoire nous enseigne
12 janvier 2022, 17:18, par
Sidpawalemde Sebgo
Bravo ! Sauf erreur, je crois que c’est la première fois que j’aprecrie un des écrits de Damiss.
Mais force est de constater qu’il a, pour une fois, mis de coté tout parti pris pour faire une analyse brillante et bien structurée de ce qui pourrait constituer les ressorts de notre sursaut national. La recherche historique qui appuie l’analyse est aussi à saluer. Encore Bravo !
Cet effort d’objectivité est d’autant plus méritoire que beaucoup aujourd’hui, comme il le dénonce d’ailleurs dans son texte, veulent "politiser" la lutte contre le terrorisme, l’utiliser comme prétexte pour peindre en noir la gouvernance et accéder au pouvoir par la courte échelle, par la rue ou par les armes. Honte à ceux qui veulent marcher dans le sang de leurs frères pour s’assoir sur un trône.
Et comme d’habitude, une remarque sous forme de complément : Le Mogho Nana Koom n’a pas été le seul leader à lutter pour la reconstitution de la Haute Volta. Oublier les apports des leaders Bobo, Gourmatché et de l’église catholique peut faire croire à une lecture ethnique ou ethniciste de l’histoire.
Bravo ! Sauf erreur, je crois que c’est la première fois que j’aprecrie un des écrits de Damiss.
Mais force est de constater qu’il a, pour une fois, mis de coté tout parti pris pour faire une analyse brillante et bien structurée de ce qui pourrait constituer les ressorts de notre sursaut national. La recherche historique qui appuie l’analyse est aussi à saluer. Encore Bravo !
Cet effort d’objectivité est d’autant plus méritoire que beaucoup aujourd’hui, comme il le dénonce d’ailleurs dans son texte, veulent "politiser" la lutte contre le terrorisme, l’utiliser comme prétexte pour peindre en noir la gouvernance et accéder au pouvoir par la courte échelle, par la rue ou par les armes. Honte à ceux qui veulent marcher dans le sang de leurs frères pour s’assoir sur un trône.
Et comme d’habitude, une remarque sous forme de complément : Le Mogho Nana Koom n’a pas été le seul leader à lutter pour la reconstitution de la Haute Volta. Oublier les apports des leaders Bobo, Gourmatché et de l’église catholique peut faire croire à une lecture ethnique ou ethniciste de l’histoire.
Rendons à César...