Mode au Burkina : « La marque François premier a réussi à s’imposer par les couleurs et la manière de tisser », selon Laurent Yaméogo alias Saint Laurent

"consommer ce que nous produisons, comme le prônait Thomas Sankara."
Heu, c’est bien joli comme idée et l’on ne peut qu’abonder.
Pouvez-vous néanmoins nous donner une idée des prix que vous pratiquez ?
Quelle frange de la population burkinabè avez-vous pour cible ?
Prévoyez-vous à l’avenir de produire du "low cost", abordable pour une grande partie de vos compatriotes ?