Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Dr Lassina Zerbo, Premier ministre : La biographie du nouveau chef du gouvernement du Burkina Faso
11 décembre 2021, 06:07, par
Togsiida
Je suis parfaitement d’accord avec l’analyse de caca. Zerbo va se heurter à une administration conservatrice des anciennes habitudes et surtout des avantages injustement acquis. Une administration opposée aux changements et à l’innovation. Un syndicalisme exacerbant avec une volonté égoïste. L’intérêt commun ou en tout cas celui de la nation n’est pas celui qui prévaut tant que ces vieux routiniers n’ont pas des avantages à eux et leurs familles. Le burkinabé n’est pas solidaire mais plutôt solitaire et c’est tout ce qui gangrène aujourd’hui notre administration. Ce terrorisme n’en est pas un. En tout cas je n’y crois pas. Il s’agit de vengeance d’un groupe de personnes qui ont perdu tous les avantages avec la chute du régime du Président Blaise COMPAORE. Cette rancoeur et ce refus de la défaite a été une aubaine pour une intrusion et une instrumentalisation de la jeunesse non éduquée sans emplois vers ce qu’on appelle aujourd’hui le terrorisme burkinabé.
Je suis parfaitement d’accord avec l’analyse de caca. Zerbo va se heurter à une administration conservatrice des anciennes habitudes et surtout des avantages injustement acquis. Une administration opposée aux changements et à l’innovation. Un syndicalisme exacerbant avec une volonté égoïste. L’intérêt commun ou en tout cas celui de la nation n’est pas celui qui prévaut tant que ces vieux routiniers n’ont pas des avantages à eux et leurs familles. Le burkinabé n’est pas solidaire mais plutôt solitaire et c’est tout ce qui gangrène aujourd’hui notre administration. Ce terrorisme n’en est pas un. En tout cas je n’y crois pas. Il s’agit de vengeance d’un groupe de personnes qui ont perdu tous les avantages avec la chute du régime du Président Blaise COMPAORE. Cette rancoeur et ce refus de la défaite a été une aubaine pour une intrusion et une instrumentalisation de la jeunesse non éduquée sans emplois vers ce qu’on appelle aujourd’hui le terrorisme burkinabé.