Le ministre et l’évêque : La chose publique et la chose de Dieu au Burkina Faso
3 novembre 2021, 09:44, par
Na Bleta
En disant que l’état « assume son devoir régalien (justice, ordre public, affaires étrangères, défense…) et les religions assurent la santé spirituelle de leurs fidèles ? » Vous minimiser le rôle et les acquis de l’Eglise. Car l’Eglise assure aussi la justice, l’ordre public, la défense et forme à l’ouverture donc aux affaires étrangères. Elle a formé la crème de notre société et entend le faire chaque fois davantage. Elle soigne, écoute, conseille et console, elle crée des emplois. Grâce à l ’Eglise beaucoup de gens sont formés au Faso et non à l’étranger. L’Eglise et l’état ne sont pas opposer, ils se complètent, chacun connaît sa place que l’on cesse juste d’être ingrats pour ne pas faire taire l’Eglise. Elle entend assez de confidences pour ne pas proposer sa vision en la matière. Laissez le peuple libre de ses choix cela n’annule en rien le civisme.
En disant que l’état « assume son devoir régalien (justice, ordre public, affaires étrangères, défense…) et les religions assurent la santé spirituelle de leurs fidèles ? » Vous minimiser le rôle et les acquis de l’Eglise. Car l’Eglise assure aussi la justice, l’ordre public, la défense et forme à l’ouverture donc aux affaires étrangères. Elle a formé la crème de notre société et entend le faire chaque fois davantage. Elle soigne, écoute, conseille et console, elle crée des emplois. Grâce à l ’Eglise beaucoup de gens sont formés au Faso et non à l’étranger. L’Eglise et l’état ne sont pas opposer, ils se complètent, chacun connaît sa place que l’on cesse juste d’être ingrats pour ne pas faire taire l’Eglise. Elle entend assez de confidences pour ne pas proposer sa vision en la matière. Laissez le peuple libre de ses choix cela n’annule en rien le civisme.