Le ministre et l’évêque : La chose publique et la chose de Dieu au Burkina Faso
2 novembre 2021, 19:49, par
TANGA
C’est bien votre analyse si le Burkina c’était un pays européen ou américain.
Mais voilà que nous sommes au Burkina avec un ministre Burkinabè et des hommes d’église Burkinabè.
Il faut noter que les hommes en soutane n’y parlé haut et fort mais cela ne veut pas dire que les autres religions acceptent ce que ce ministre fait et dit.
Au Burkina, chaque homme appertient à une religion et aucune de ces religions ne contiennent l’acte de ce ministre. Donc, votre analyse même si elle est bonne, ne passe pas sous nos vœux.
C’est par ce que ce sont les catholiques si cette chose était avec une autre religion, peut être qu’un groupuscule était allé chercher votre ministre pour lui dire deux motsSieur ZABSONRÉ, votre seigneur des anneaux, l’homme aux écrous a tord point barre. Au Burkina, nous avons besoin de nos boussoles qui sont nos religions.
C’est bien votre analyse si le Burkina c’était un pays européen ou américain.
Mais voilà que nous sommes au Burkina avec un ministre Burkinabè et des hommes d’église Burkinabè.
Il faut noter que les hommes en soutane n’y parlé haut et fort mais cela ne veut pas dire que les autres religions acceptent ce que ce ministre fait et dit.
Au Burkina, chaque homme appertient à une religion et aucune de ces religions ne contiennent l’acte de ce ministre. Donc, votre analyse même si elle est bonne, ne passe pas sous nos vœux.
C’est par ce que ce sont les catholiques si cette chose était avec une autre religion, peut être qu’un groupuscule était allé chercher votre ministre pour lui dire deux motsSieur ZABSONRÉ, votre seigneur des anneaux, l’homme aux écrous a tord point barre. Au Burkina, nous avons besoin de nos boussoles qui sont nos religions.