« Le riz burkinabè peut concurrencer n’importe quel riz au monde », selon Idrissa Sawadogo, DG de « NaFaso industrie SA »
27 septembre 2021, 11:57, par
Le Vigilent
@Soma Issoufou, il faut, dans un premier temps, mettre en avant le cote economique qui sera profitable, tant pour les producteurs que pour l’etat. Cela permettra de stimuler la production en quantite suffisante pour couvrir les besoins du pays et degager des excedants assez importants pour l’exportation. Si nous mettons en avant le social, nous risquons de toujours importer pour combler le deficit et vendre a des prix concurrentiels. Ce qui ne permettra pas de motiver les potentiels investisseurs a se lancer dans une production a grande ecchelle pour couvrir largement les besoins du pays et vendre a des prix suffisamment renumerateurs.
@Soma Issoufou, il faut, dans un premier temps, mettre en avant le cote economique qui sera profitable, tant pour les producteurs que pour l’etat. Cela permettra de stimuler la production en quantite suffisante pour couvrir les besoins du pays et degager des excedants assez importants pour l’exportation. Si nous mettons en avant le social, nous risquons de toujours importer pour combler le deficit et vendre a des prix concurrentiels. Ce qui ne permettra pas de motiver les potentiels investisseurs a se lancer dans une production a grande ecchelle pour couvrir largement les besoins du pays et vendre a des prix suffisamment renumerateurs.