Toujours le même synopsis... Parler de la gravité de la pandémie à l’échelle mondiale (ce qui est juste), parler des derniers chiffres des contaminations en Afrique (si possible parler des morts, en omettant volontairement les très nombreux cas de rémission), parler de la gravité de la dernière vague (à ce propos, quand est-ce que la seconde vague a eu lieu ?)... et finir en relativisant les chiffres. Ce qui est dit ci-dessus peut paraître caricaturale, voire cynique mais ça n’en est pas l’intention (car nous devons honorer la mémoire de toutes ces victimes du COVID-19). Ce qui est souligné ici, c’est cette "quasi" obsession de l’Occident vis-à-vis des contaminations qui restent toujours basses sans qu’ils y trouvent une explication définitive. Un peu comme s’il y avait un souhait inavoué que la catastrophe tant annoncée se réalise (pour donner raison aux prophéties les plus sombres ?).
Toujours le même synopsis... Parler de la gravité de la pandémie à l’échelle mondiale (ce qui est juste), parler des derniers chiffres des contaminations en Afrique (si possible parler des morts, en omettant volontairement les très nombreux cas de rémission), parler de la gravité de la dernière vague (à ce propos, quand est-ce que la seconde vague a eu lieu ?)... et finir en relativisant les chiffres. Ce qui est dit ci-dessus peut paraître caricaturale, voire cynique mais ça n’en est pas l’intention (car nous devons honorer la mémoire de toutes ces victimes du COVID-19). Ce qui est souligné ici, c’est cette "quasi" obsession de l’Occident vis-à-vis des contaminations qui restent toujours basses sans qu’ils y trouvent une explication définitive. Un peu comme s’il y avait un souhait inavoué que la catastrophe tant annoncée se réalise (pour donner raison aux prophéties les plus sombres ?).