Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Burkina Faso : Onze policiers tués dans une embuscade
23 juin 2021, 10:44, par
caca
Boureima CONGO, excuses-moi, vous n’avez compris dans le projet d’achat de l’avion présidentiel. C’est mieux se taire et les expérimentés parler. Le pic de Nahouri bien que l’avion présidentiel servait à transporter les délégations importantes burkinabé à travers le monde. La modestie voulu par ce régime revient plus cher à la république. Renseignez vous combien coûte la location d’un avion par jour ? Mr Zagré a été convoqué par le parquet financier pour l’argent occulte du palais de Kosyam. L’achat d’un avion dite présidentiel est un devoir de souveraineté nationale. Le problème de la sécurité n’a rien dedans c’est plutôt une de stratégie des experts de système de sécurité. Que devient notre armée de l’air à Waga et Bobo ? C’est là où ça va mal. Si le secrétariat de la sécurité nationale avait conscience des dangers dans le déplacement des troupes, il devait mettre les moyens pour que dans les zones dangereuses, les soldats puissent être transportés. Une fois on peut vous surprendre, mais la deuxième on doit être capable de surprendre l’adversaire.
Boureima CONGO, excuses-moi, vous n’avez compris dans le projet d’achat de l’avion présidentiel. C’est mieux se taire et les expérimentés parler. Le pic de Nahouri bien que l’avion présidentiel servait à transporter les délégations importantes burkinabé à travers le monde. La modestie voulu par ce régime revient plus cher à la république. Renseignez vous combien coûte la location d’un avion par jour ? Mr Zagré a été convoqué par le parquet financier pour l’argent occulte du palais de Kosyam. L’achat d’un avion dite présidentiel est un devoir de souveraineté nationale. Le problème de la sécurité n’a rien dedans c’est plutôt une de stratégie des experts de système de sécurité. Que devient notre armée de l’air à Waga et Bobo ? C’est là où ça va mal. Si le secrétariat de la sécurité nationale avait conscience des dangers dans le déplacement des troupes, il devait mettre les moyens pour que dans les zones dangereuses, les soldats puissent être transportés. Une fois on peut vous surprendre, mais la deuxième on doit être capable de surprendre l’adversaire.