Bali Nébié, écrivain : « Au village, il arrive que les autorités coutumières brûlent des fétiches »
5 mai 2021, 14:32, par
silence
après lecture je pense qu’il y’a des parties qui méritent que je disse quelques choses. D’abord le vrai fétiche ne s’achète pas, il se révèle à la communauté ou à l’individu par des signes réels ou en songe. Aujourd’hui les gens partent acheter des soit disant fétiches et après s’ils ont des problèmes ils mettent ça à la place publique. Pour dire que les fétiches qui ont été brulés n’ont rien à voir avec la tradition. Enfin pour installer un fétiche qui a été révélé on a pas besoin d’un avis quelconque ni d’un chef de terre (ces pratiques existaient avant mais ça disparu présentement car les gens sont de moins en moins honnètes).
Aussi je partage pas son avis sur la sorcelerie car c’est pas aussi simple comme il le dit.
après lecture je pense qu’il y’a des parties qui méritent que je disse quelques choses. D’abord le vrai fétiche ne s’achète pas, il se révèle à la communauté ou à l’individu par des signes réels ou en songe. Aujourd’hui les gens partent acheter des soit disant fétiches et après s’ils ont des problèmes ils mettent ça à la place publique. Pour dire que les fétiches qui ont été brulés n’ont rien à voir avec la tradition. Enfin pour installer un fétiche qui a été révélé on a pas besoin d’un avis quelconque ni d’un chef de terre (ces pratiques existaient avant mais ça disparu présentement car les gens sont de moins en moins honnètes).
Aussi je partage pas son avis sur la sorcelerie car c’est pas aussi simple comme il le dit.