Accueil > ... > Forum 2039448

Guy Sanou à Ousmane DJIGUEMDE, Secrétaire Technique de l’Institut des Peuples Noirs : " Vous parlez de ce que vous ne connaissez pas ! "

26 avril 2021, 21:08, par Ka

La conclusion de mon premier commentaire, ’’’je disais qu’il ne s’agit pas de juger ni Mr. Ousmane Djiguemdé, ou de Mr. Guy Sanou :’’’ Simplement quelques intervenants manquent de connaissance du christianisme, et une méconnaissance totale du Christ et ses actions, de sa vie sur la terre, et le but de sa mission. Surtout le manque total de connaissance entre des objets dits fétiches, et des objets d’arts culturels.

Ayant bien expliqué les actions du Christ en connaissance de cause, je reviens expliqué pourquoi les deux qui ont osé soulever le problème, chacun ne rentre pas dans le vif du sujet, ou bien ils manquent de crédibilité en soi. Si nos grands historiens Amadou Hampâté Bâ le sage nés du XXe siècle ou Joseph Ki Zerbo, sans oublié les célèbres historiens écrivains a ne citer l’américain John Fiske avec son livre ’le destiné de l’homme,’’ ou Helene de France Duchesse D’Aoste avec ’’Voyage en Afrique’’ avant les colonisations, en passant par Jean Gabus ’’l’Afrique aux trois voyages,’’ eux qui ont sillonné le continent et côtoyé nos anciens qui avaient des dons de Dieu comme Jésus Christ a eu cette chance, si ces personnes en récoltant nos secrets de vie depuis la nuit des temps, avaient eu l’idée d’écrire un manuscrit, comme celui de la Tora des juifs, ou l’ancien et le nouveau testament, aujourd’hui, ni Guy SANOU, ni Ousmane DJIGUEMDE, n’auront aucune leçon à donner à qui que ça soit au Burkina. Les bons fétiches seront gardés comme la parole de Dieu. Et les mauvais seront jetés dans les esprits des porcs.

Car, si on avait une Tora ou une bible des continuités des coutumes Africains, ou tout a été raconté, comme dans le nouveau testament, dans un de ses versets, Jésus a la rencontre d’une personne atteinte de la folie, ordonna l’esprit malsain de sortir de la personne et aller rentrer dans un troupeau de porcs : Une histoire qu’on ne croira pas, car des éleveurs de porcs en milieu Juifs à l’époque était imaginable. Malheureusement le poids de Guy Sanou, est que la bible est là pour nous prouver les actions de Jésus le sauveur. Et la faiblesse de d’Ousmane DJIGUEMDE, c’est qu’il n’existe aucune trace écrite dans un Tora ou une bible de nos bons fétiches ou les mauvais : Tout est imaginaire et orale sans aucune trace d’écrit.

Ce qui m’interpelle a raconté une histoire vivantes des fétiches mossi qu’on ne croira pas, mais que deux états de la sous-région étaient perturbé par cette histoire qui a créer un problème interne et externe entre la Cote d’Ivoire et la Haute Volta, dans les années 1970. ’’Voilà l’histoire que j’ai vécue de retour de la France pour des vacances scolaire chez mon oncle en Côte d’Ivoire. ’’Un matin, on apprend qu’à la prison appeler la MACA à Abidjan, un prisonnier défi les gardiens de cette prison en quittant sa cellule toujours fermer a clé, pour se présenter devant la porte. Ils l’ont enchainé et refermer plusieurs fois, et quelque temps après, on le retrouve devant la porte clamant son innocence. Le mystère de l’homme allait créé une crise diplomatique du régime Houphouët et de Lamizana. Des émissaires ont pu régler le problème, car, notre compatriote risquait d’être tué par balle. Des pour parler ont eu lieu en coulisse, et d’après les conclusions, ce super mossi possède un fétiche venant de sa région qui le rend invisible, et son corps peut devenir glissant comme du savon qui lui permettait de se libérer de ses chaines.

L’affaire était classée comme un secret d’état à l’époque qui ne l’était pas : Car, le jeune Zongo dit Joké était connu des Burkinabé vivants en Côte d’Ivoire. Un fétiche qui lui permet de ce protégé et non pour voler. Son emprisonnement était à cause de sa violence, et l’histoire de ce jeune est parmi des milliers qu’on rencontre de Ganzourgou au Boulkiemdé, de Titao a Tenkoudougou : Une chose que l’artiste Zougnazagmdane ne me contredira pas. Si le nommé Zongo dit Joké est toujours dans ce monde, ou les personnes qui ont vécu cette histoire dans les années 1970 en Côte d’Ivoire, peuvent le confirmer. C’était quelques souvenirs du vieux Ka. Sans rancune a toutes et à tous.


LeFaso.net
LeFaso.net © 2003-2023 LeFaso.net ne saurait être tenu responsable des contenus "articles" provenant des sites externes partenaires.
Droits de reproduction et de diffusion réservés