Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Burkina : De l’incivisme à outrance dans nos rues et sur l’échangeur du Nord
7 avril 2021, 08:35, par
Jonassan
L’autre jour j’empruntais la voie qui mène du GAB Ecobank de Pissy (en venant de Bobo sur la RN1 - Bobo-Ouaga) jusqu’au rond-point de Ouaga 2000 (mosquée Kanazoe) en passant par le château d’eau de Pissy.
En observant le bitume qui se dégrade par les côtés (la terre qui s’en va, les étalages...) nous (automobilistes et motocyclistes) avions des difficultés à circuler, ce qui reste de route étant très très restreint. Je me suis dit que l’Etat (le ministère ou la mairie) est très riche à avoir tant investi et à laisser se détruire ce bitume pour le reprendre à des coûts exorbitants. J’ai pensé que peut-être l’entrepreneur a fait un deal avec le contrôleur pour accepter un tel ouvrage tellement le reste qui fait office de route est parsemé de nids de poule. J’ai pensé aussi que l’Etat n’a peut-être pas les moyens et ai été jusqu’à imaginer que si on prenait 1000 FCFA par moto, on pourrait palier cette insuffisance économiquement mortifère. J’ai aussi pensé que l’Etat se sucrait suffisamment sur les taxes sur le carburant pour éviter une taxe difficile à mettre en oeuvre parce que quasi incontrôlable. En toit cas, je me suis posé trop de questions...
L’autre jour j’empruntais la voie qui mène du GAB Ecobank de Pissy (en venant de Bobo sur la RN1 - Bobo-Ouaga) jusqu’au rond-point de Ouaga 2000 (mosquée Kanazoe) en passant par le château d’eau de Pissy.
En observant le bitume qui se dégrade par les côtés (la terre qui s’en va, les étalages...) nous (automobilistes et motocyclistes) avions des difficultés à circuler, ce qui reste de route étant très très restreint. Je me suis dit que l’Etat (le ministère ou la mairie) est très riche à avoir tant investi et à laisser se détruire ce bitume pour le reprendre à des coûts exorbitants. J’ai pensé que peut-être l’entrepreneur a fait un deal avec le contrôleur pour accepter un tel ouvrage tellement le reste qui fait office de route est parsemé de nids de poule. J’ai pensé aussi que l’Etat n’a peut-être pas les moyens et ai été jusqu’à imaginer que si on prenait 1000 FCFA par moto, on pourrait palier cette insuffisance économiquement mortifère. J’ai aussi pensé que l’Etat se sucrait suffisamment sur les taxes sur le carburant pour éviter une taxe difficile à mettre en oeuvre parce que quasi incontrôlable. En toit cas, je me suis posé trop de questions...