Cultures fruitières face au changement climatique au Burkina : « Si dans dix ans rien n’est fait, on court vers la catastrophe », avertit Dr Souleymane Nacro
25 janvier 2021, 19:24, par
Sankara
Le phénomène est réel et difficilement vécu par les acteurs. On constate chaque année une baisse drastique de la production tant en quantité qu’en qualité. Le constat est que la quasi totalité des appuis aux filières fruits et légumes viennent des PTF et ont une durée assez limité pour impacter durablement. Je pense que l’Etat devrait plus s’intéresser aux fruits et légumes au régard de son importance socieconomique.
Le phénomène est réel et difficilement vécu par les acteurs. On constate chaque année une baisse drastique de la production tant en quantité qu’en qualité. Le constat est que la quasi totalité des appuis aux filières fruits et légumes viennent des PTF et ont une durée assez limité pour impacter durablement. Je pense que l’Etat devrait plus s’intéresser aux fruits et légumes au régard de son importance socieconomique.