Cultures fruitières face au changement climatique au Burkina : « Si dans dix ans rien n’est fait, on court vers la catastrophe », avertit Dr Souleymane Nacro
23 janvier 2021, 11:30, par
YAWOTO
Très bien vu, on ne doit pas taxer nos exportations pendant que nous sommes envahis par toutes sortes de jus de fruits importés, dans la majorité des cas avec ajout de produits chimiques.
Très bien vu, on ne doit pas taxer nos exportations pendant que nous sommes envahis par toutes sortes de jus de fruits importés, dans la majorité des cas avec ajout de produits chimiques.