Réconciliation nationale : « C’est le genre de mission où il n’est pas envisageable d’échouer, sinon ça voudrait dire que le Burkina Faso a échoué », mesure Zéphirin Diabré
15 janvier 2021, 09:58, par
Yovis
Le préalable et la condition indispensable à la cohésion sociale et à la réconciliation, c’est de faire en sorte que chaque Burkinabè intériorise les dimensions du droit et de la justice. Le droit pour les autres et la justice pour les autres avec tout ce que cela commande en termes de réciprocité. Sans cette migration qualitative, la réconciliation ou la cohésion resteront toujours dans le domaine du virtuel.
Ce ministère, pour être sincère et efficace, doit œuvrer en tandem avec celui de la justice et des droits humains pour impérativement rétablir tous les floués dans leurs droits. Il s’agit bel et bien de règlement (pacifique) de conflits et non d’une absolution communautaire.
L’histoire de la Journée Nationale de Pardon devrait faire école !
Le préalable et la condition indispensable à la cohésion sociale et à la réconciliation, c’est de faire en sorte que chaque Burkinabè intériorise les dimensions du droit et de la justice. Le droit pour les autres et la justice pour les autres avec tout ce que cela commande en termes de réciprocité. Sans cette migration qualitative, la réconciliation ou la cohésion resteront toujours dans le domaine du virtuel.
Ce ministère, pour être sincère et efficace, doit œuvrer en tandem avec celui de la justice et des droits humains pour impérativement rétablir tous les floués dans leurs droits. Il s’agit bel et bien de règlement (pacifique) de conflits et non d’une absolution communautaire.
L’histoire de la Journée Nationale de Pardon devrait faire école !