Présidentielle et législatives 2020 au Burkina : Leçons des élections
30 novembre 2020, 12:03, par
Wendlaboumb
Merci M. Dabiré,
Votre analyse révèle bien les déterminants de l’attitude de la majorité de l’électorat burkinabé. Je résume :
1 on ne remplace pas un chef qui vit, 2 on n’élit pas un chef qui est hors du territoire, 3 si on est contraint de remplacer le chef, on désignera de préférence quelqu’un de la cour royale ou assimilé, 4 un chef qui a fui est désormais indigne du trône, 5 si un parti a des feuilles tient compte des 4 principes précédents, son candidat entrera à Kosyam. Que Dieu bénisse le Faso.
Merci M. Dabiré,
Votre analyse révèle bien les déterminants de l’attitude de la majorité de l’électorat burkinabé. Je résume :
1 on ne remplace pas un chef qui vit, 2 on n’élit pas un chef qui est hors du territoire, 3 si on est contraint de remplacer le chef, on désignera de préférence quelqu’un de la cour royale ou assimilé, 4 un chef qui a fui est désormais indigne du trône, 5 si un parti a des feuilles tient compte des 4 principes précédents, son candidat entrera à Kosyam. Que Dieu bénisse le Faso.