Financement du cinéma burkinabè : La Grande marche à Reculons
21 octobre 2020, 08:19, par
Aris LiNK
Intéressant vrai et instructif. mais trop long. certes le propos l’exige et votre rage qui couve aussi sans doute, mais pour faciliter la lecture (surtout) de ceux qui ne sont pas du domaine, vous auriez pu faire deux ou trois parties. juste un avis !
Pour en revenir à la situation du cinéma, il faut d’abord stigmatiser le premier responsable de la culture qui pense que le Nigéria et son modèle sont à imposer partout.
Le vide crée a profité aux "Coupeurs de routes" qui font de piètres films, mais peut-on leur en vouloir ? de toute façon ça se décante et même les non professionnels commencent à voir les limites de ces films.
Le cinéma comme disait un de nos enseignants a plusieurs fonctions :
sensibiliser
Transmettre ses idées (politiques)
transmettre sa vision du monde et de la culture
faire de l’art
faire du bizness
etc...
Toutes ces fonctions sont utiles et nécessaires à valoriser mais ce n’est que l’aspect argent et bizness que les gens voient, or ce n’est pas ce genre de cinéma qui a fait connaître notre pays. Le bizness du cinéma peut être riche non pas EN COPIANT MAL et MALADROITEMENT des films américains mais en CREANT DES HISTOIRES LOCALES bien ficelées...En guise de comparaison, le livre "Soleil des indépendances " de Amadou Kourouma, reste et restera un chef d’oeuvre mais a-t-il rapporté une fortune à son auteur ? Cet oeuvre est étudiée dans des universités japonaises, américaines ou mexicaines et c’est une fierté africaine. La musique de salif Keita ou Alif Naaba ou Bill Aka kora sont d’autres types d’ exemples...
Intéressant vrai et instructif. mais trop long. certes le propos l’exige et votre rage qui couve aussi sans doute, mais pour faciliter la lecture (surtout) de ceux qui ne sont pas du domaine, vous auriez pu faire deux ou trois parties. juste un avis !
Pour en revenir à la situation du cinéma, il faut d’abord stigmatiser le premier responsable de la culture qui pense que le Nigéria et son modèle sont à imposer partout.
Le vide crée a profité aux "Coupeurs de routes" qui font de piètres films, mais peut-on leur en vouloir ? de toute façon ça se décante et même les non professionnels commencent à voir les limites de ces films.
Le cinéma comme disait un de nos enseignants a plusieurs fonctions :
sensibiliser
Transmettre ses idées (politiques)
transmettre sa vision du monde et de la culture
faire de l’art
faire du bizness
etc...
Toutes ces fonctions sont utiles et nécessaires à valoriser mais ce n’est que l’aspect argent et bizness que les gens voient, or ce n’est pas ce genre de cinéma qui a fait connaître notre pays. Le bizness du cinéma peut être riche non pas EN COPIANT MAL et MALADROITEMENT des films américains mais en CREANT DES HISTOIRES LOCALES bien ficelées...En guise de comparaison, le livre "Soleil des indépendances " de Amadou Kourouma, reste et restera un chef d’oeuvre mais a-t-il rapporté une fortune à son auteur ? Cet oeuvre est étudiée dans des universités japonaises, américaines ou mexicaines et c’est une fierté africaine. La musique de salif Keita ou Alif Naaba ou Bill Aka kora sont d’autres types d’ exemples...