PDIS-Laafia : « Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables », dixit Jacob Tarpaga, président par intérim du parti
Le Parti démocratique pour l’intégrité et la solidarité, en abrégé PDIS-Laafia, apparaît sur l’échiquier pour s’ajouter aux partis politiques déjà existants au Burkina Faso, afin de contribuer à la consolidation de la paix et faire l’émergence d’une nouvelle classe politique dirigée par les jeunes.
Le PDIS-Laafia est un parti se réclamant de la social-démocratie. Il a été initié par des Burkinabè de toutes les couches sociales, en particulier par des jeunes. Il se veut rassembleur avec pour objectif principal de contribuer à l’émanation d’un Burkina nouveau.
Force est de reconnaître que le Burkina Faso saigne. L’hémorragie a trop duré. Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables.
Face à cette situation, les actions individuelles ne suffisent pas à endiguer le mal. Raison pour laquelle le PDIS-Laafia se veut une force active pour venir en renfort a l’action gouvernementale.
Le Burkina Faso a plus que jamais besoin de tous ses fils et filles. Ainsi, nous nous reconnaissons dans les actions du président du Faso, son Excellence Roch Marc Christian Kaboré, et avons formulé, d’ores et déjà, notre demande d’adhésion à l’APMP.
Notre valeur ajoutée, en tant que parti politique, n’est pas simplement d’alourdir l’échiquier politique déjà pesant, mais d’être une force entendue et acceptée par la majorité des Burkinabè.
Les grands défis du moment nous interpellent. Les meurtres quasi-quotidiens de nos concitoyens civils et FDS sont à condamner et encore mieux à lutter contre. Des milliers de Burkinabè se retrouvent prisonniers, voir exilés, sur leur propre territoire. C’est le moment plus que jamais de nous solidariser pour rétablir l’ordre, la sérénité, la dignité et le respect de la vie humaine au Burkina Faso.
Peuple Laborieux du Burkina Faso, peuple épris de paix et de sérénité, ce parti est le vôtre.
Il est l’émanation d’une aspiration profonde d’une franche importante de Burkinabè patriote de l’intérieur et de l’extérieur, de tous bords politiques et idéologiques, de toute confession religieuse, de tous les corps constitués et des minorités, qui aspirent à la paix, aux libertés individuelles et collectives, aux droits de vivre, de s’éduquer , d’avoir des soins de santé et de participer à la promotion de la démocratie, à la vitalité politique.
Par ailleurs, nous vous invitons à nous rejoindre, le samedi 22 février pour une AG, et le samedi 29 février 2020 à partir de 10h00, pour un point de presse au siège du parti, sis au secteur 42 de Ouagadougou.
DEMOCRATIE-INTEGRATION-SOLIDARITE.
Jacob TARPAGA
Juriste Pénaliste.
Président par Intérim du PDIS-LAAFIA
Tel 25 46 30 41 / 70 97 26 11
Vos commentaires
1. Le 18 février 2020 à 06:20, par La perle En réponse à : PDIS-Laafia : « Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables », dixit Jacob Tarpaga, président par intérim du parti
La jeunesse qui ose. Merci pour ton engagement Camarade Tarpaga. Tu as notre soutien total. Comme tu l as si bien dis, nous sommes tous responsables.
2. Le 18 février 2020 à 06:39, par Amina En réponse à : PDIS-Laafia : « Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables », dixit Jacob Tarpaga, président par intérim du parti
J aimerai faire parti de ce partir. Tarpaga est celui la la meme qui m à aidé àvec un premier boulot aux USA. Tres engagé et tres integre, j ai enfin trouvé mon repère.
3. Le 18 février 2020 à 06:47, par Anatol En réponse à : PDIS-Laafia : « Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables », dixit Jacob Tarpaga, président par intérim du parti
En quoi je suis responsable la situation chaotique que vit mon pays ? La responsabilité est certe partagé Mais ceux qui dirigent actuellement en sont plus responsables. J apprécie néanmoins votre courage de le dire ainsi. La paix est mieux que de s accuser inutilement.
4. Le 18 février 2020 à 06:58, par Anselme En réponse à : PDIS-Laafia : « Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables », dixit Jacob Tarpaga, président par intérim du parti
Qui Voyage loin, ménage sa monture. Un bel exemple d une jeunesse digne. Le Burkina Faso est fièr de vous. On vous suit. Surtout ne décevez pas. La patrie d abords. Bon courage
5. Le 18 février 2020 à 12:13, par XMX En réponse à : PDIS-Laafia : « Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables », dixit Jacob Tarpaga, président par intérim du parti
je suis plutôt victime que responsable de la situation chaotique de mon pays, ce n’est pas la peine de vouloir rendre tout le monde responsable alors que les responsables sont connus.
Le 18 février 2020 à 15:18, par Kouda En réponse à : PDIS-Laafia : « Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables », dixit Jacob Tarpaga, président par intérim du parti
XMX,
vous êtes responsable par votre passivité. Les extraterrestres ne viendront jamais mener votre combat à votre place. Alors retroussez vos manches, engagez vous et faite changer les choses pour le meilleur de tous.
6. Le 18 février 2020 à 14:44, par jeunedame seret En réponse à : PDIS-Laafia : « Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables », dixit Jacob Tarpaga, président par intérim du parti
Quand ça va mal, nous sommes tous responsables. Le jour et là où ça va bien, ils sont seuls responsables.
7. Le 18 février 2020 à 15:05, par Bao-yam En réponse à : PDIS-Laafia : « Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables », dixit Jacob Tarpaga, président par intérim du parti
Si vous appuyez le programme du président, pourquoi ne pas joindre le MPP et vous battre pour imposer vos idées ? Eux aussi sont "sociaux-démocrates" donc pas de différence idéologique. Créer trop de petits partis ne fait que polluer l’espace publique et enlever de la clarté au débat.
8. Le 18 février 2020 à 17:11, par citoyen LAMBDA En réponse à : PDIS-Laafia : « Le Burkina Faso ne va pas bien et nous en sommes tous responsables », dixit Jacob Tarpaga, président par intérim du parti
Voilà le prototype de jeunes oisifs ,opportunistes aimant la facilité et très pressés de monter à la soupe . Sinon comment un jeune disposé à se battre pour un vrai changement positif peut créer un parti et en même temps dire d’office et sans la moindre réserve ,qu’il est derrière le président et le parti qui sont déjà au pouvoir ? Si déjà vous avez autant d’atomes crochus avec le pouvoir ,pourquoi ne pas demander à adhérer tout simplement au parti du président qui est au pouvoir ? . Au moins, vous nous ferez l’économie d’un allongement ridicule du nombre de partis dans notre pays .
Je parie que ce "parti" ,n’aura même pas un seul conseiller municipal de hameau de culture à l’occasion des futures élections municipales, ne parlons pas de député .
Le drame de ce pays, c’est justement ,ce rabais enfantin de l’activité et de l’engagement politiques à travers ces créations fantaisistes et farfelues de partillons ,sans aucun idéal ,si ce n’est des visées purement tube digestives et mercantiles .
Malheureusement ,la jeunesse burkinabè semble de plus en plus exceller dans ce jeu malsain de faire valoir et de griots de service ,d’où une certaine désespérance ,quant à l’avenir de ce pays . POUAH