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Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

Publié le mardi 21 janvier 2020 à 22h25min

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Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch  Kaboré

Dans un message publié sur les réseaux sociaux, le président du Faso a réagi à l’attaque qui a causé la mort de 36 personnes dans le Sanmatenga.

"J’ai décreté un deuil national de 48 heures à compter du ce mercredi 22 janvier 2020 à zéro (00) heure, en mémoire de nos compatriotes lâchement assassinés par les ennemis de notre peuple, dans les villages de Nagraogo et d’Alamou, dans la commune rurale de Barsalgho.

Je présente mes condoléances et celles de la Nation aux familles éplorées. Cette attaque abjecte et ignoble sur des populations civiles nous renseigne encore, une fois de plus, sur la cruauté de nos ennemis. Aussi, devrions-nous, dans un sursaut national et patriotique, réaffirmer notre détermination et notre engagement aux côtés de nos Forces de Défense et Sécurité, pour venir à bout de ces forces du mal.

A cet effet, je voudrais saluer le vote à l’unanimité par l’Assemblée nationale, de la loi encadrant le volontariat pour la défense de la patrie. Nous sommes sur la bonne voie et notre victoire est certaine."

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Vos commentaires

  • Le 21 janvier 2020 à 22:58, par Lom-lom En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    Vous avez notre soutien, Mr le Président du Faso ! Nos ennemis ne triompheront jamais. Le droit et la justice guideront nos actions et nos enfants vivront libres dans un Burkina libre ! La patrie ou la mort, nous vaincrons !

  • Le 21 janvier 2020 à 23:57, par jan jan En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    Cher PF, il est temps de laisser la place a d’autres burkinabe, le MPP ou comment faire du CDP sans Blaizo nous a decu, ma seule consolation est ke je ne vous est pas vote.

    • Le 22 janvier 2020 à 05:59, par Siébou En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

      Je me rappelle, j’étais en poste à Bamako lorsque des gens ont pensé que C’est ATT qui n’est pas capable de combattre les terroristes, L’opinion bien préparée, Sanogo a fait son coup d’État. La suite, on la connait , les terroristes ont faillit prendre Bamako. Mieux vaut faire bloc derrière les autorités actuelles et on suit nos calendriers électoraux sans se laisser distraire.

    • Le 22 janvier 2020 à 11:05, par Aruna En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

      Mr le problème n’est pas politique mais une question de securite national, que tu a voter le président actuel ou pas il ne faut pas tout le temps jeté la faute sur le président mais plutôt a la population d’aider nos FDS pour que ces genre de tragédie ne se répète plus dans notre chère patrie si tu aime ton pays. Soyons solidaire et dénonçons les cas suspect.car c’est comsa qu’on aider nos FDS qui se bat jour et nuit pour le notre sécurité

  • Le 22 janvier 2020 à 00:31, par moi En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    Mr jan jan,ayez un peu de respect pour la vie humaine,que vous ayez voté pour Rock ou pas on s’en moque,vos debats politiciens sont a ranger au placard ici,notre nation est en guerre on a perdu des compatriotes,l’heure est à se recueillir et a resserer les rangs pour faire face a l’ennemi.puisse Dieu tout puissant protéger notre nation,puisse les mânes de nos ancêtres veiller sur nous.

  • Le 22 janvier 2020 à 06:33, par Fils En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    Que le bon Dieu nous vient en secours. Que leurs âmes repose en paix

  • Le 22 janvier 2020 à 07:44, par Kiriki En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    Ce n’est pas le soutien que les burkinabes se refusent à Rock. Sérieusement ce sont ses capacités. Y a pas longtemps dans son discours il disait le terrorisme allait être mis en souffrance. La veille ou l’avant veille de Noël on avait eu presque 40 morts a Arbinda. Le mois de janvier comptez donc par vous même.
    Vous vous étés sur pied, moi je suis sur pied, mais ceux qui sont tués avant nous. ce sont chaque jrs une partie de notre âme qui va avec eux parce que on leur a arraché la vie. Ce n’est pas mort naturelle.
    Mais vous pensez que nous sommes dans une situation où on perd notre énergie à en vouloir à Rock ?
    Non ? Ce sont ces coups de sabots que nous recevons des drogués qui posent problème.
    Mais les burkinabes, vous m’inquiétez ! Je suis sans voix.

  • Le 22 janvier 2020 à 07:45, par Pam En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    Oui mai l’attaque a eu lieu à moins de 15 km d’une caserne militaire et au moins 48 h plutôt des mouvements ont été signalés. IL faut qu’on élève le niveau de la réaction et de l’anticipation sinon on fera du surplace

  • Le 22 janvier 2020 à 07:58, par ancien En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    Le Burkina Faso à la croisé des chemins. Que Dieu nous sauve

  • Le 22 janvier 2020 à 08:46, par Marvin En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    C’est très triste,paix aux âmes des paisibles patriotes.Honnêtement je pense qu’il faut aller vite vers la réconciliation de tous les fils du pays.Mr le président,il faut gracier tous ces priosnniers insurrection plus putsch du septembre et arrêter avec cette justice de blanc ! qui nous conduis vers un chemin sans issu. La victoire politique doit s’imposer avant celle militaire.Si la liberté de quelques personnes peut sauver des vies ayons le courage et l’humilité nécessaire où à défaut rendre le tablier à qui est capable !!

  • Le 22 janvier 2020 à 09:58, par le pionnier de la revolution En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    je voudrais solennellement présenter mes sincères condoléances aux familles éplorées et à toute la nation entière.
    Je voudrais par cet écrit apporter mon soutien sans faille à nos FDS que j’appelle patriotiquement les "gandaogo du Faso" qui œuvrent chaque jour au péril de leurs vies pour vaincre les forces du mal et redonner à notre chère patrie sa paix et sa sécurité d’avant. De même mon soutien et mon encouragement vont également à tous ceux, hommes ; femmes, jeunes et vieux qui œuvrent chaque jour aux cotés de nos FDS dans la lutte contre le terrorisme.
    C’est également l’occasion pour moi de rendre une fois de plus un fibrant hommage au président Thomas Sankara pour avoir été un visionnaire, un homme du peuple, un homme d’action.
    Des son accession au pouvoir, il a entamé des changements parmi lesquels, la devise du pays qui devint :" la patrie ou la mort, nous vaincrons"
    Après son assassinat en 1987, les autorités de cette époque ont, sans réfléchir profondément changé cette devise patriotique pour nous servir comme devise" Unité-Progres-Justice.
    Aujourd’hui que la patrie est très menacée par les forces du mal, et nous burkinabè, militaires comme civils payons actuellement un lourd tribu pour la défense de notre chère patrie. Hors mis les luttes anti coloniales, et depuis l’indépendance de notre pays en 1960, notre Faso n’a jamais consenti autant de sacrifice en vies humaines pour la défense de l’intégrité du pays et de la sécurité des burkinabè.
    Combien de nos vaillants FDS sont tombés sur le champs d’honneur ?
    Combien de civils, hommes, femmes, jeunes, vieux, et même enfants sont tombés, lâchement et froidement abattus ?
    Combien de burkinabè sont aujourd’hui des réfugiés dans leur propre pays ?
    Alors il est temps pour nos autorités, et je lance cet appel au président du Faso en premier, pour que " la patrie ou la mort, nous vaincrons" redeviennent la devise de notre pays bien aimé le Burkina Faso.
    Cela aura le mérite d’honorer tous les sacrifices consentis depuis les temps de nos ancêtres jusqu’à aujourd’hui pour la défense de notre pays, et de galvaniser tout le peuple dans la lutte contre ce terrorisme.
    C’est un appel que je lance.
    Que dieu bénisse le Burkina Faso,
    la patrie ou la mort, nous vaincrons

  • Le 22 janvier 2020 à 10:13, par coob-naaba En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    Paix à l’âme des disparus.
    Mr Marvin. il n’est pas le moment de battre votre campagne !
    Le peuple a fait son insurrection ! Alors, il faut le respecter !
    Courage aux vaillants soldats ! La victoire est proche !

  • Le 22 janvier 2020 à 12:22, par moise En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    c’est vraiment triste, des pauvres populations civiles
    c’est clair tant que l’armée va adopter cette position défensive nous n’allons pas finir de compter nos morts ; au moins si ces populations avaient des moyens de défense ils pouvait abattre un terroriste avant de se faire tuer ;
    En l’exemple depuis les drames des élèves de toeni personne ne peut y entre et sortir pour dire que ce village est sous siège

  • Le 22 janvier 2020 à 13:08, par Dibi En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    C’est nouveau. Les décrets de journées de deuil national se suivent et se ressemblent. On souhaiterait s’en passer vu l’ampleur de la crise sécuritaire.
    Culturellement, nous savons pleurer nos morts ! Mais ce que nous ne savons pas, c’est de tuer au nom de sa Foi même révélée par le livre et des prophètes imposteurs qui imposent de nouvelles attitudes et prescriptions contraires à nos traditions de tolérances.
    Mais les Nègres sont ce qu’ils sont. Ils invoquent à tout bout de champ, non leurs ancêtres oubliés, mais des Dieux de l’Etranger quand ils sont confrontés aux systèmes de dominations étrangères qu’ils sont incapables de vaincre au plan politique, économique et culturel.
    Mieux et souvent, les classes dominantes en leur sein se mettent à la remorque et au service de ces entités étrangères religieuses et politiques pour mieux les dominer, les exploiter et les mépriser par le racisme. Je n’en dirai pas plus !
    Dans son communiqué, le Président nous parle de la cruauté de nos ennemis. Bien dit !
    Mais nous ne savons rien de leur identité ! Qui sont-ils ?
    Et pourquoi nous en veulent tant, pour semer la mort de masse parmi nos populations rurales, innocentes dans le Gourma, le Lorum, le Sourou...?
    Quelles sont leurs buts de guerre ? Démanteler l’unité du pays ? Prendre le pouvoir et pour quel type de gouvernance corrompue théocratique ? Laïque ? D’émergence néolibérale prédateur classique ? Ou révolutionnaire populaire ?
    De tout cela, rien n’est dit ! Encore moins de leur influence-infiltration réseautique au sein des masses.
    Dans le Gourma, dans le Boussouma, le Lorum, le Soum ou ailleurs, l’Etat est superposé à des entités quasi-féodales dont il fait la promotion et qui classiquement, sont sensées enracinées et informées au sein des masses. Il a lui même ses réseaux d’information là, ses services dédiés, qui s’ils ne sont pas vérolés par le double jeu, l’incompétence et l’irresponsabilité au sein des institutions de défense et de sécurité, devraient montrer, dans le contexte, leur efficacité et utilité. Mais devant les faits, on peine à comprendre quoi que ce soit ?
    Que se passe t’il, dans ce beau pays qui est le nôtre, si la vérité n’est pas dite ? Si les choses et notre mal n’est pas nommé ?
    Y a t-il encore une société civile vivante et debout dans ce pays et qui se tait, face à ces scènes de massacres en plein jour sur nos marchés mêmes réguliers ?
    Y a t-il encore des intellectuels critiques et lucides dans ce Burkina-Faso qui fut du temps de Thomas Sankara, un phare pour toute l’Afrique ?
    Quel est le nom de ces tueries de masses qui endeuillent quotidiennement notre peuple, pendant que la classe politique entière s’amuse dans l’organisation du folklore électoral néocolonial à venir ; et que valideront l’Union Européenne, l’ONU, l’UA, la CEDEAO et la Baco-cratie du CFA-ECO, même si le pays tout entier tombait dans un gouffre sans fin ou se suicidait !
    Na an lara, an sara !
    La Patrie ou la mort !

  • Le 28 janvier 2020 à 12:56, par SIDNOMA En réponse à : Attaque dans le Sanmatenga : La réaction du président Roch Kaboré

    En attendant qu’une solution rapide soit trouvée, qu’on suspende les jours de marché dans certaines localités pour minimiser les risques. c’est vraiment déplorable.

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