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Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

Publié le jeudi 14 novembre 2019 à 22h35min

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Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou »,  rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

Le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré, était le principal animateur du point de presse du gouvernement ce jeudi 14 novembre 2019. Malgré les nombreuses attaques que subit le pays, le patron de la sécurité a tenu à rassurer l’ensemble des Burkinabè.

"Beaucoup de questionnements, d’incertitudes, mais nous ne sommes pas désarmés. Les Burkinabè sont un peuple fort", a décrit le patron de la sécurité, Ousséni Compaoré, parlant de l’atmosphère sécuritaire qui prévaut aujourd’hui au sein de l’opinion publique burkinabè.

Le ministre rassure que les Forces de défense et de sécurité sont mobilisées et invite l’ensemble des populations à les soutenir dans cette épreuve. "Les Forces de défense et de sécurité, c’est nous tous. Nous avons l’impérieux devoir de les soutenir", convainc-t-il.

Visiblement armé de conviction et d’hargne, le ministre de la sécurité affirme que les fauteurs de troubles seront débusqués. "Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou, nous irons les chercher", galvanise Ousséni Compaoré, réitérant son appel à la mobilisation populaire derrière les Forces de défense et de sécurité.

Dans ses propos introductifs, le ministre est revenu sur la nécessité de garder la vigilance vis-à-vis de la désinformation, faisant référence aux rumeurs relatives à l’instauration d’un couvre-feu à Ouagadougou.

Ousséni Compaoré salue la "maturité" du peuple vis-à-vis de ces attitudes. Il appelle au sens de responsabilité de chacun dans le contexte actuel du pays.

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Vos commentaires

  • Le 14 novembre 2019 à 16:53, par FILSDUPAYS En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    Soutien total à nos braves FDS. La victoire est toute proche. On ira la chercher avec vous.

  • Le 14 novembre 2019 à 17:30, par le Nomade En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    M. le ministre Compaore avec tout le respect qu’on vous doit, au lieu de faire de telles declarations, il aurait fallu agir des votre arrivee aux affaires. Le President vous a nomme a ce poste parceque vosu etes un pandore et la securite c ;est votre domaine mais depouis que vous etes en poste tout comme votre collegue de la Defense, la situation a continue de se degrader tous les jours jusqu’a ce drame fatidique du convoi minier. Depuis que vous etes la il y a eu plus de victimes, les crimnels djihadistes ont etendu leur zone, les FDS ont recule et le nombre de populations deplacees augmente chaque jour ! Alors plus de declaration, nous voulons des ACTES des ACTES, des RESULTATS des RESULTATS !

  • Le 14 novembre 2019 à 17:37, par Pierre Claver Ouédraogo En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    AFRIQUE TRIBUNES

    LUTTE ANTITERRORISTE : LES DOZOS PRÊTS A ACCOMPAGNER LES FDS ?

    Au pays des hommes intègres, la date du jeudi 14 novembre 2019 restera gravée dans la mémoire collective du peuple. Témoin : la courageuse déclaration signée de la main de Dozoba Ali Konaté, président de l’Union nationale des dozos du Burkina Faso (UND/BF) suite à l’appel du chef de l’Etat à soutenir les forces de défense et de sécurité dans le cadre de la lutte antiterroriste.

    Au-delà des Hauts Bassins où ils résident en grand nombre, ces dozos sont des unités d’autodéfense connues pour leur lutte policée et civilisée aux côtés des populations locales en vue de prévenir et de défendre l’intégrité de leur espace. Depuis plusieurs décennies, ces dozos travaillent en parfaite symbiose avec les autorités chargées de la sécurité publique, les notables coutumiers et religieux, les leaders de la société civile.

    Grace aux actions d’initiation à leur confrérie et au respect des institutions républicaines, le ciel des relations entre ces dozos et les sécurocrates est généralement au beau fixe. Si le général Moïse Minoungou, chef d’Etat-major des armées burkinabè que le président Rock marc Christian Kaboré a instruit le 7 novembre dernier de recruter des volontaires accédait à la requête patriotique du millier de volontaires dozos regroupés au sein de l’UND/BF, les terroristes n’auront plus d’autres choix que de décamper le plus vite possible du territoire national.

    En effet, sous le couvert d’attaques terroristes et djihadistes, beaucoup de voleurs à l’arrachée, de coupeurs de routes, de dévaliseurs de banques, de pickpocket, de rebelles, de déflatés de différents corps militaires et paramilitaires ont entrepris, depuis 2016, des actions de déstabilisation du jeune processus démocratique et des institutions républicaines ainsi que des actions de sabotage-monstre de moult groupes sociaux qui leur donnaient du fil à retordre. Parmi ces groupes anti-voleurs : les dozos et les fameux koglwéogos.

    LES VOLEURS DÉSORMAIS A VISAGE DÉCOUVERT ?

    En effet, de par les différents modes opératoires, les populations avaient ainsi fini par comprendre que beaucoup d’attaques n’étaient pas l’œuvre de groupes terroristes ou djihadistes mais de traditionnels bandits armés qui sont poursuivis jusque dans leur dernier retranchement par les unités d’autodéfense. En effet, ces derniers volent, pillent, saccagent, tirent sur tout ce qui bouge, posent des bombes artisanales sur les voies à grande circulation, tuent des hommes en tenue, des chefs religieux, coutumiers, des leaders politiques et de la société civile, déciment les poumons économiques, etc.

    A présent qu’outre la frange jeune de la population burkinabé, des dozos s’affichent publiquement en vue de répondre par centaines de têtes de pipe à l’appel du président du Faso, aussi bien les voleurs, les terroristes que les djihadistes mouillent de la tête à la pointe de pieds. Et avec juste raison : en matière sécuritaire, personne, au Burkina Faso, ne peut disposer de meilleurs infos et renseignements que ces unités d’autodéfense. Or, sans ces renseignements donnés en temps réel à nos FDS, il n’est guère possible de remporter une quelconque victoire sur des forces ennemies.

    Si à la suite de ces dozos, les koglwéogos acceptaient donc d’appuyer nos FDS, nous pouvons gager que dans moins de six mois, les attaques terroristes seront derrière nous. Même si, comme ils l’ont toujours été, les assaillants de tout bord et de tout acabit continuaient à recevoir des aides multiformes de la part des vrais faux amis du Burkina Faso : argent, vivres, armes, munitions, drones, chars et hélicoptères de combat.

    La raison ? ; les bandits armés seront privés au fur et à mesure de gîtes et de couverts auprès des populations. Or sans hébergement adéquat, sans restauration et sans renseignements fiables, les ennemis du peuple burkinabé ne parviendront jamais à emprunter nuit et jour les sentiers et les pistes rurales, encore moins à s’évanouir dans les forêts ou à se fondre à la masse pour commettre l’irréparable en IANI (Individus armés non identifiés).

    Ce n’est pas tout : les plus de 500.000 déplacés internes regagneront alors leurs hameaux et y reprendront une vie tranquille ! Les zones potentiellement riches en ressources en ressources minérales seront immédiatement récupérées et les sales drapeaux des assaillants déterrés et brûlés. Les 1.455 écoles fermées rouvriront leurs portes.

  • Le 14 novembre 2019 à 17:55, par Maxi Maxi En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    L’heure est venue de terroriser les terroristes. Seule la détermination pourra nous conduire à la victoire.Nous voulons la paix.Ces fous drogués veulent nous imposer une guerre . Dieu est au contrôle. Demander l’aval des présidents IBK et Mahamadou Issoufou pour franchir leur territoire car nous iront même au delà . La patrie ou la mort, nous vaincront.

  • Le 14 novembre 2019 à 18:09, par Kambou En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    Vraiment, la situation oblige plus d’un africain à l’introspection, oui,rien ne va.
    Il faudrait travailler à mobiliser des centaines de Burkinabé patriotes sincères pour y arriver.
    Moi,je suggère, non seulement la formation au maniement des armes de certains des patriotes qui seront fichés, mais aussi leur formation à la collecte de l’information juste,et précise.
    Le lutte ne consiste seulement à tuer du terroriste,mais surtout à les identifier partout où ils seront avec les volontaires.
    Dans ces conditions, le recrutement local est prioritaire sans indices,des gens comme les autres qui pourront comme à leur habitude se fondre à tout groupe,grin de thé, marchés, yaars,commerce ambulants,commerce,champs,pâturages et savoir ce pourquoi,ils sont là.
    Munis d’instruments de communication, ils pourront transmettre vite vite.
    La patrie ou la mort,nous vaincrons !!!

  • Le 14 novembre 2019 à 18:45, par Têedbeogo En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    Au-dessus du commun
    S’élève le tribun
    Redonnant onction
    A la haute fonction.

    L’aigle ne chasse pas les mouches
    Comme ne manie pas la louche
    Le maître de maison
    Mais s’il faut le bâton.

    A toute haute Autorité
    Il n’est pas moins demandé
    De montrer de la hauteur
    Surtout en temps de malheur.

    Aux petites gens laissez
    Les conversations débridées
    Des affaires occupez-vous
    Qui délivrent sages et fous.

  • Le 14 novembre 2019 à 19:05, par Bernard Luther King ou le Prophete Impie En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    M. Le Ministre, toutes nos benedictions vous accompagne dans cette mesure de recrutement de volontaires : j’ai dejà donné ma contriubtion reflexionnelle concrète dans l’article sur la communication du gouvernement, hier 13 nov 2019.
    Dieu reste Burkinabè !

  • Le 14 novembre 2019 à 19:17, par TANGA En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    Oui on va aller les chercher. Nous irons aussi chercher les différents commanditaires qui qu’ils soient et où qu’ils soient.
    Désormais chacun doit savoir qu’il a un devoir DZ respect envers les autres peuples.

  • Le 14 novembre 2019 à 21:28, par Bao-yam En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    Les journalistes lui ont-il posé des questions ? Quelles étaient ses réponses pour expliquer la disparition de l’État dans lea zones attaquées. Pourquoi les terroristes peuvent circuler librement sur le territoire et faire des dégâts ? Pourquoi c’est notre armée qui est tout le temps sur la défensive ? Pourquoi a-t-on du mal à intercepter et éliminer les terroristes qui se déplacent dans le pays ?

  • Le 14 novembre 2019 à 21:37, par Vérité En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    On a déjà entendu ce machin de déclaration lapidaire. Si vous connaissez les auteurs il faut brandir les preuves. Vous faîtes dans le dilatoire maintenant. Vous avez lamentablement échoué à sécuriser votre peuple. Heureusement que nos FDS tiennent bon. C’est pourquoi je dis ici qu’il faut confier les pistes de défense et de sécurité à ces hommes.

  • Le 14 novembre 2019 à 21:41, par Manuel En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    Bonjour
    Bon courage à tous et à toutes, nous sortirons victorieux de cette lutte qui nous est imposée.
    Le nazisme a été vaincu en Europe, le Vietnam a survécu aux américains, l’Algérie a survécu aux français et au terrorisme.
    Nous allons payer un lourd tribut, mais nous sortirons grandis de cette barbarie qui ne fait de cadeau à personne.
    Les uns peuvent continuer à accuser, les autres se battront pour l’unité de notre pays débarrassé de ces dealers et autres assassins qui nous ont gouverné pendant 27ans après la boucherie du 15 octobre, et qui rêvent d’une revanche après la déculottée de 2014.
    Gloire éternelle au peuple du Burkina !

  • Le 14 novembre 2019 à 22:38, par Le Sage En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    Il y a longtemps déjà que nous attendons que vous alliez "les chercher". Et depuuuuuuuuiiiiiiiiis là, on attend ! Courage à Nous tous !!

  • Le 15 novembre 2019 à 08:33, par Max En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    Il faut empêcher d’abord ceux qui mitraillent nos bus en plein jour, attaquent l’état major de l’armée a 10h, pourchasse, rattrape un maire et l’exécute en plein jour, attaque tout un camp et défait nos militaire et prennent le temps d’emporter armes et munition. On a mal au cœur quand ca arrive et ce n’est pas normal. peut être que vous travaillez bien mais un bon travail sans résultat n’est pas un bon travail. le nombre de mort de fait qu’augmenter jour après jour. Finissez d’abord avec ca ensuite vous pouvez parler d’aller les chercher dans des trous.

  • Le 15 novembre 2019 à 08:46, par SOME En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    "Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou, nous irons les chercher", galvanise Ousséni Compaoré, réitérant son appel à la mobilisation populaire derrière les Forces de défense et de sécurité"
    Vraiment ces gouvernants n’arreteront pas de nous mettre la honte. C’est quoi cette declaration ? Il ose meme venir tenir ce langage !!! Je me convainc de plus en plus que notre probleme n’est pas les attaques amis l’incapacité et le manque de courage de nos dirigeants
    Ou sont nos FDS au front pour qu’on soit derriere eux ? Que nous expliquez vous que vous ne faites rien et que vous ne pouvez pas faire : dire un minimum au peuple. Alors si vous ne dites rien, c’est que vous etes incapacables. Alors
    "« Si tu ne peux organiser, diriger et défendre le pays de tes pères, fais appel aux hommes plus valeureux.

    Si tu ne peux dire la vérité, en tout lieu et en tout temps, fais appel aux hommes plus courageux.
    Si tu ne peux exprimer courageusement tes pensées, donne la parole aux griots.
    Si tu ne peux être impartial, cède le trône aux hommes justes.
    Si tu ne peux protéger le peuple et braver l’ennemi, donne ton sabre de guerre aux femmes, qui t’indiqueront le chemin de l’honneur.
    Oh Fama ! Le peuple te fait confiance, il te fait confiance parce que tu incarnes ses vertus. »

    Voilà des exigences du peuple à travers les griots vis-à-vis du Roi Almamy Samory Touré, qui ne seraient pas de trop, gravées, en lettres d’or, dans les bureaux de bien des chefs d’Etat actuels."
    c’est grace au couarge du peupel que vous été slà. Et c’est le courage du peuple qui s’occupera de vous
    LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS
    SOME

  • Le 15 novembre 2019 à 11:32, par Bigbalè En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    J’espère que dans cette guerre non conventionnelle et asymétrique, on permettra aux Dozos d’être aussi armés que les djihadistes terroristes. C’est la seule manière d’avoir un combat à conditions plus ou moins égales et on verra qui est plus efficace que l’autre ? Je fais confiance aux Dozos parce qu’ils sont mieux structurés avec une certaine hiérarchie respectée par tous. C’est ce qu’il faut pour les autres groupes d’auto-défense comme les Kogle-wéogo. Que le gouvernement sache donc saisir la main-tendue par les Dozos et que le travail soit proprement bien fait !

  • Le 15 novembre 2019 à 11:59, par jan jan En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    Mon cher Ministre, ici là c’est pas bouche parole dèh, les autres pays où cette gangrène est entrée grâce aux blancs, sont toujours dedans et ils sont toujours sans solutions. Le proverbe dit que tu ne peux jamais faire amitié avec scorpion car il finira toujours par te piquer, c’est cette amitié que le blanc a fait avec ces gens et on et a ce stade.

  • Le 29 novembre 2019 à 15:21, par burkinbila En réponse à : Insécurité au Burkina : « Nous irons chercher ces fauteurs de troubles où ils sont, même s’ils sont dans un trou », rassure le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré

    soutien total aux FDS, vous n’êtes pas seul ensemble nous vaincrons.
    La Patrie ou la mort nous vaincrons !!!

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