LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Nous sommes lents à croire ce qui fait mаl à сrοirе. ” Ovide

Dori : Le MBDHP offre un repas aux pensionnaires de la Maison d’arrêt et de correction

Publié le lundi 30 septembre 2019 à 00h05min

PARTAGER :                          
Dori : Le MBDHP offre un repas aux pensionnaires de la Maison d’arrêt et de correction

Le Mouvement burkinabè des droits de l’homme et des peuples (MBDHP), section du Séno, a offert, ce 28 septembre 2019 à Dori, un repas communautaire suivi d’un don de vivres aux pensionnaires de la Maison d’arrêt et de correction de la ville. Cette activité s’inscrit dans le cadre des « 72 heures des droits de l’homme ».

Le MBDHP/Séno a renouvelé sa solidarité aux prisonniers de la Maison d’arrêt et de correction, ce 27 septembre 2019. En effet, cette structure de défense des droits de l’homme organise chaque année un repas avec les prisonniers, à la faveur des « 72 heures des droits de l’homme ». Cette année, le MBDHP n’a pas dérogé à ses habitudes. Selon son président Hoeffi Dicko, ce geste traduit la solidarité du MBDHP envers les personnes privées de liberté. Il ajoute que c’est une manière de leur faire savoir que le MBDHP demeure à leurs côtés.

Les participants à la conférence

En plus du repas du jour, le MBDHP a offert des vivres à la Maison d’arrêt afin de soutenir un tant soit peu ces prisonniers. A en croire Hoeffi Dicko, ces vivres émanent de la SONAGESS qui accompagne le MBDHP chaque année.[ Cliquez ici pour lire l’intégralité ]

Daoula Bagnon
Correspondant Dori

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 30 septembre 2019 à 14:02, par Nabiiga En réponse à : Dori : Le MBDHP offre un repas aux pensionnaires de la Maison d’arrêt et de correction

    C’est un geste louable et salutaire seulement voilà, c’est mal inspiré. Tout pensionnaires de toute maison d’arrêt ne s’y trouve pas par la gaieté de coeur mais bien parce qu’il a fait quelque chose de reprenhensible au point que la société ait décidé de le tenir responsable de ses actes. Cela ne veut pas dire pour autant que ces derniers cessent d’être des humains, loin s’en faut, mais lorsqu’il y a des citoyens paisibles qui ont été forcés par des terroristes de quitter leurs lieux de résidence pour se réfugier ailleurs, je suis d’humble avis que c’est plutôt vers ces déplacés que nous devons tendre la main, y compris votre organisation, pas des détenus

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique