LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux.” Proverbe chinois

Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

Publié le lundi 22 juillet 2019 à 22h45min

PARTAGER :                          
Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

C’est avec pour vocation de contribuer au renforcement de la paix, la sécurité, l’unité nationale et la tenue d’élections démocratiques et apaisées, que s’est ouvert, le lundi, 15 juillet 2019 à Ouagadougou, le dialogue politique national. Après une semaine d’échanges, les rideaux sont retombés, ce lundi, 22 juillet, sur cette assise.

Les travaux se sont articulés autour de la relecture du Code électoral, du référendum constitutionnel et des élections de 2020 d’une part, et d’autre part de la situation nationale et des questions d’intérêt national.
« La classe politique a fait honneur à notre peuple, en discutant franchement et en toute responsabilité sur les questions inscrites à l’ordre du jour des travaux de ce dialogue », a magnifié à la cérémonie de clôture, le président du Faso, qui confie accueillir avec satisfaction, les conclusions de cette assise.

Roch Kaboré a ensuite expliqué que certaines thématiques abordées dans le cadre de ces échanges, en raison de leur caractère d’intérêt national, l’invitent à élargir la réflexion à d’autres acteurs de la vie nationale. « Il en est ainsi notamment de la réconciliation nationale, de la cohésion sociale, de l’autorité de l’Etat et de l’incivisme, tout comme certains aspects sur les questions sécuritaires », précise-t-il.

Le président Kaboré sollicite la bonne foi de chaque acteur et encourage l’ensemble des Burkinabè à l’unité, aux fins de relever les défis de l’heure. « Les défis auxquels est confrontée notre Nation nous obligent à nous parler franchement, sans fuite en avant, ni ruse, pour trouver les solutions appropriées et durables aux questions que vous avez examinées.

Dès lors, il me paraît essentiel de rappeler que dans la mise en œuvre des mesures destinées à faire face à la situation que traverse notre pays, la bonne foi doit être la chose la mieux partagée. C’est pourquoi, j’engage tous les acteurs étatiques et non-étatiques, les partis politiques de la majorité et de l’opposition, les leaders coutumiers et religieux, les organisations de la société civile, à adopter des comportements à la hauteur des attentes de notre peuple.

En ma qualité de Président du Faso, arbitre des intérêts de la Nation et placé au-dessus du jeu partisan et politicien, je vous exhorte, toutes et tous, à prendre l’exacte mesure des enjeux du moment. Aussi, tout en vous invitant à avoir confiance en l’avenir, j’en appelle à l’union sacrée des fils et des filles du Burkina Faso autour des questions liées à la lutte contre le terrorisme, la cohésion sociale, la réconciliation et l’unité nationales », met-il en exergue.

C’est dans la même perception que sont allés les co-présidents de ce cadre de dialogue politique, Simon Compaoré (chef de délégation de la Majorité) et Zéphirin Diabré (responsable de la délégation de l’Opposition). Ceux-ci ont animé un point de presse juste après la cérémonie officielle de clôture. Les deux leaders politiques ont sollicité l’apport et le soutien de toutes les composantes de la société pour que l’objectif escompté soit atteint pour le bonheur de tous.

« C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », conçoit Simon Compaoré, qui souhaite, dans cet esprit, que l’on retienne et mise sur ce qui unit plutôt que sur les quelques points sur lesquels, les vues ne se sont pas (pour le moment) convergentes.

Pour lever toute équivoque, Zéphirin Diabré rassure que ce cadre d’échanges ne porte en lui aucune intention cachée. ‘’Il n’y a pas eu compromission. C’est tout ce qui a été évoqué qui se trouve dans la synthèse’’, a-t-il dit en substance.

Pour la mise œuvre des conclusions de ce cadre de dialogue, un comité de suivi a été installé par le Président du Faso (voir composition au bas de page). Il est composé des deux co-présidents, d’un rapporteur général et de trois représentants de chaque composante dont un rapporteur.

Lire aussi : Dialogue politique national : Le Code électoral sera "révisé à minima" avant les élections de 2020

Oumar L. Ouédraogo
Lefaso.net


Composition du Comité de suivi de la mise en œuvre des conclusions du dialogue politique (les deux co-présidents, le rapporteur général et trois représentants de chaque composante dont un rapporteur) :

- Monsieur Simon COMPAORE
- Monsieur Zéphirin DIABRE
- Me Bénéwendé Stanislas SANKARA
- Monsieur Wend-Vennem Eddie Constance Hyacinthe KOMBOIGO
- Madame KOUMARE/OUILLIO Zalissa
- Me Gilbert Noël OUEDRAOGO
- Monsieur Aly Badra OUEDRAOGO
- Monsieur Amadou Diemdioda DICKO
- Monsieur Siméon SAWADOGO


Lefaso.net

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 22 juillet 2019 à 22:15, par A qui la faute ? En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    Haaa, Simon vous partagez aussi les salaires ? Faites alors un gouvernement d’union nationale. Demain l’opposition va retourner dans son rôle de critiquer les failles pour se faire bonne publicité et accéder au pouvoir. C’est ce qui vous préoccupe tous, le pouvoir.
    Vous battez campagne que vous êtes compétents ; une fois élus vous faites le tour des autorités religieuses, coutumières, vous demander aussi à l’opposition de travailler pour vous. Ce n’est pas plus simple de dégager pour laisser la place aux jeunes ? c’est avant tout leur avenir de voulez construire non ? Ce n’est pas une question de gouvernants vs opposants. C’est du renouvellement qu’il faut. A un mon on a marre de voir les mêmes visages depuis 30 ans, à utiliser les mêmes méthodes pour leurrer les gens. Vous souriez tous bouche béante et derrière vous vous donnez des coups de poignards ; logique vous venez du même univers

    • Le 23 juillet 2019 à 01:53, par Maria de Ziniaré En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

      Dommage que ces icônes politiques sensés représenter la crème des hommes qui ambitionnent nous gouverner ont pédalé les yeux rivés sur le guidon sans se soucier de ce qui se présente sur la route à l’horizon. Ils ont parlé du Code électoral, du référendum constitutionnel, des élections de 2020, de la situation nationale et des questions d’intérêt national. Ils ont oublié de parler de la situation internationale notamment sous régionale comme si le burkina était un « machin » qui vit sans environnement. Et le premier de notre environnement est la CDEAO dont les projets, notamment ceux d’intégration nous impactent et ont une incidence sur la vie de nos populations. Silence radio sur le projet de la monnaie unique ECO mais plu grave est le silence de toute la classe politique sur celui de la carte d’identité CDEAO qui est actée au niveau de l’institution et dont le Burkina doit faire bénéficier à ses nationaux.
      Pour la gouverne des forumistes, l’avant projet de code électoral qui était prospectif avait même en plus de la carte consulaire biométrique, la carte d’identité biométriques de la CDEAO dans la liste des documents de votation et l’Assemblée Nationale sous la présidence de feu Salif DIALLO avait donné son quitus pour l’operationalisation de cette carte d’ identité CDEAO.

      Notre pays qui a une forte communauté dans les pays de la CDEAO aurait dû faire confectionner rapidement la carte d’identité CDEAO qui consacre la citoyenneté CDEAO au Burkinabé au plan juridique ce qui supprime les cartes d’itentité consulaires délivrées par nos ambassades dans la CDEAO et les cartes d’identité d’étranger onéreuses délivrées et exigées par les pays d’accueil au sein de la CDEAO. Le Senegal qui l’a bien compris a investit plus de 50 milliards pour doter ses ressortissants de la carte d’identité CDEAO qui les protège mieux que les cartes d’identité Nationale qui ne sont d’ailleurs pas valable dans les pays de la CDEAO. Malheureusement l’exécutif Burkinabè avec le décès du visionnaire Salif DIALLO qui les surveillait comme un indien Cherokee, a rétropédalé pour différer l’opérationnalisation de la carte on se demande pour quel intérêt ?. Le paradoxe c’est que Naba Mouta-Mouta 1er se balade dans les sommets de la CDEAO pour parler de monnaie Unique mais oublie les diligences qui nous incombent s’agissant des chantiers nationaux pour l’édification de l’intégration des populations. Le parlement a fait son job la balle est dans le camp de l’exécutif. Cette carte est d’ailleurs plus importante pour la diaspora Burkinabé de la CDEAO que le droit de vote qui fait couler beaucoup d’encre et la classe politique aurait dû sonner l’alerte pour son operationnalisation afin de protéger juridiquement nos compatriotes à l’intérieur de la CDEAO.

    • Le 23 juillet 2019 à 08:07, par Will En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

      A qui la faute Si les jeunes veulent, ils vont travailler a accéder au pouvoir. Nous les jeunes on s assoie dans les bars, la drogue et derriere Facebook pour crier chaque fois que les vieux sont au pouvoir depuis 20 ans. Pourtant Rock=Zéphirin=Kombeogo= ====

  • Le 23 juillet 2019 à 02:45, par Un Burkinabê En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    Je suis deçu que mes propositions ne soient pas pris en compte pourtant je trouve qu’elles sont.la clé aux problèmes dans notre pays.
    1- La lutte contre la corruption : il ya dejà une loi dite de delit d’apparence. Il suffit de l’appliquer. Au Kenya où la corruption est aussi decriée la Justice (plus idépendante qu’au Burkina ou en tout cas avec des juges plus compétents et courageux que dans notre pays) vient d’arrêter 30 personnalités dont le Ministre des Finances.On leur reproche des 10% et des marchés passés par complaisance. Inutile de dire que dans notre pays presque tous les marchés publiques se ressemblent. Les gens préfèrent par exemple imposer dans les investissements des 11 Décembre la construction de salle pyvalente non pas par necessité mais plutôt parce que ce sont des milliards qui y sont engagés et les 10% sont plus consistent dans la poche des personnes responsables du marché. Je sais que si notre Justice faisait bien son travail des juges auraient bien longtemps saisi des décideurs pour "non necessité d’investissement de fonds publiques".
    2- La question de l’Education : les curricula enseignés ne sont pas adapté au développement que notre peuple veut. Il faut que notre Ecole soit tournée sur le Développement Local et Endogène. La Chine est ce qu’elle est aujourd’hui grâce à son système éducatif. Il ne faut pas se mentir il faut une réelle Révolution dans notre système éducatif pour que le pays puisse décoller.
    3- A quoi sert la paix et la sécurité sans sécurité Economique ? La cohésion Nationale sera fragile si les mêmes deals continuent même dans un climat apaisé et un pays en sécurité comme dans les années 1970.

  • Le 23 juillet 2019 à 06:48, par Peuple Insurgé En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    La grande hypocrisie, l’égoïsme et l’extrême cupidité qui caractérisent la plupart de nos politiciens peuvent-elles prendre fin ?

  • Le 23 juillet 2019 à 06:51, par Amadou En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    Mr ou Mme a qui la faute ? Êtes vous jeune ou vieux ? 2020 est très proche. Ou en êtes vous ? Votre parti est à créer ou bien vous êtes de quel parti ? Vous inspirez le renouvellement de la classe politique. Critiquer pour critiquer cela n’avancera à rien. Vous serez un autre SANKARA pour notre pays

  • Le 23 juillet 2019 à 07:28, par Amadou En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    Mr ou Mme a qui la faute ? Êtes vous jeune ou vieux ? 2020 est très proche. Ou en êtes vous ? Votre parti est à créer ou bien vous êtes de quel parti ? Vous inspirez le renouvellement de la classe politique. Critiquer pour critiquer cela n’avancera à rien. Vous serez un autre SANKARA pour notre pays

  • Le 23 juillet 2019 à 09:32, par YAAM SOBA En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    Internaute @A qui la faute ? En 2015, il fallait voter Tahirou Barry ou Adama Kanazoé pour renouveler ta classe politique. Toujours le même discours de pleurnichars "il faut que les vieux laissent la place aux jeunes". La place ne se donne pas, elle s’arrache ! Et il appartient à la jeunesse de s’imposer. Vous pensez que dans le pays de Angela MERKEL ou Donald TRUMP il n’y a pas de jeunes ?

    • Le 23 juillet 2019 à 13:27, par A qui la faute ? En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

      Je n’ai rien contre les anciens. C’est la durée de la mission. Quand tu fais la même chose depuis 30 ans ce n’est pas un mandat de plus qui va changer ta contribution au développement. Merkel est en train de préparer son remplacement sereinement, vous verrez que Trump va partir au bout de 2 mandats maximum, bien que sa constitution lui permette de rempiler à souhait. Vous pouvez aussi traiter les parents pauvres de pleurnichards, vu que les familles des politiques vivent au paradis, traitez aussi ceux qui souffrent de paludisme de pleurnichards car ils peuvent prendre le pouvoir et installer un bon système de santé. Mais comme vos mentors ne sont pas des pleurnichards, qu’ils arrêtent de demander de l’aide pour le développement et les fonctions régaliennes, le minimum pour une république.

  • Le 23 juillet 2019 à 10:18, par duguba En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    Brassens
    "(...) Or, sous tous les cieux sans vergogne,
    C’est un usage bien établi,
    Dès qu’il s’agit d’ rosser les cognes
    Tout le monde se réconcilie."
    Sur le do du peuple bien sûr !

  • Le 23 juillet 2019 à 12:55, par A qui la faute ? En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    @Amadou et Yaam Soba,
    vous faites semblant ou vous ignorez vraiment dans quel pays nous vivons. La première "élection présidentielle" de Blaise s’est faite avec moins de 800.000 votants, moins d’1/10è de la population. En plus il était tout seul. J’espère que vous savez pourquoi. Nous vivons dans un pays où la chefferie traditionnelle et les religions sont les repères, pas la république. Les tenants du pouvoir sont toujours passés par TOUS les moyens. A mon humble avis ils pourraient se dire un jour qu’ils ont joué leur partition. Vous pensez que si Rawlings ou Mandela avaient voulu rester au pouvoir ce sont les jeunes qui allaient les battre, même démocratiquement ? Pourquoi cela n’arrive jamais chez nous ? Tous les jeunes qui vont se présenter peuvent battre campagne comme ils veulent. C’est vrai que j’ai marre de voir les mêmes têtes depuis 30 ans et ça ne se voit dans aucun autre pays au monde qui émerge. Comme je n’aime pas la solution des armes, je leur demande de s’inspirer des Mandela et quitter. Bien sûr que je n’irai jamais voté pour aucun de cette génération

  • Le 23 juillet 2019 à 13:57, par TCHRRR En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    coté sécuritaire, qu’en est-ils des milliers de déplacés internes ? les faits sont là, ça urge, des gens ont abandonné champs et perdu du bétail, l’école reprend bientôt !!!

  • Le 23 juillet 2019 à 14:51, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    - aaaahhhh....Je suis enfin un peu heureux de constater que Simon Compaoré commence à comprendre que ’’C’est ensemble que nous allons arriver à bon port’’, alors que d’habitude il est injurieux, grognon et très irritable pour un oui ou un non. Heureusement qu’il semble comprendre ou bien c’est sa présence aux côtés de ZEPH qui l’a ramolli après des mises au point par le Président RMCK ! Mais malgré cette camaraderie feinte il n’échappeqra pas au procès sur l’affaire ’’Tranquilos’’ et chaque chose ayant son temps, alors ce temps viendra un jour ou l’autre comme le procès du putsch actuellement en finition.

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 23 juillet 2019 à 20:48, par Ka En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    Voilà que nos hommes politiques qu’ils soient de la majorité ou de l’opposition qui commencent à prendre conscience de leurs bourdes qui retardent l’avancer de notre pays. Si le Burkina est resté dans son embourbement de l’émergence et de la réconciliation, c’est que ses hommes dits des décideurs ont une politique égoïste qui se caractérise par l’absence de culture politique comme ce dialogue qui les soude pour une réflexion commune pour le pays que nous aimons tous. Et comme j’ai l’habitude de le dire, un régime qui refuse d’entendre les critiques, et, pire, qui les fait taire par tous les moyens possibles et imaginables, n’a aucun avenir dans un pays comme le nôtre. Oui, nous pouvons dire qu’en politique il n’y a ni morale, ni éthique, ni vertu ni devoir de reconnaissance et tout pouvoir ne se donne pas. mais s’arrache aux urnes, Mais le respect de son adversaire est la règle. Le respect de l’autre comme vous venez de le prouver, nous confirme que pour la démocratie dans notre pays, vous les cadres de l’opposition et de la majorité, vous deviez être plus responsables et soucieux de votre peuple et non seulement de vos gosiers larges. Bref, pour vous dire, qu’il faut vraiment une politique noble pour faire avancer notre pays : Pour cela, chacun de vous doit prendre conscience de sa mission de servir son peuple sans arrière-pensée. Surtout oublier de tenir des éternels et redorant discours démagogiques. Il ne suffit non plus d’avoir à l’esprit des critiques stériles encore moins une velléité de seulement détruire sans être une force de propositions. Bravo pour ce rencontre de dialogue.

  • Le 23 juillet 2019 à 20:57, par Dibi En réponse à : Stabilité nationale : « C’est ensemble que nous allons arriver à bon port », exalte Simon Compaoré

    Avec de tels négriers, c’est tout simplement bonnet blanc et blanc bonnet ; tout le reste n’est que Bla Bla Bla ! Et grand bordel pendant que l’insécurité et le djihadisme islamiste font tâche d’huile sur la néocolonie du Burkina-Faso.
    Na an lara, an sara !
    La Patrie ou la mort !

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique