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Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

Publié le lundi 24 juin 2019 à 22h35min

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Relecture du Code des personnes et de la famille :  La FAIB  déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

La Fédération des associations islamiques du Burkina Faso (FAIB) se prononce, dans la déclaration ci-dessous, sur le processus de relecture du Code des personnes et des familles auquel elle dit n’avoir pas été associée.

« La FAIB a appris à travers les médias, la relecture du Code des personnes et de la famille en cours. Par les mêmes canaux, elle a été informée qu’un atelier national de validation de l’avant -projet de loi portant Code des Personnes et de la Famille a eu lieu du 17 au 21 juin 2019 à Koudougou.

Par lettre adressée au Ministère en charge de la Justice porteur du projet, avec ampliation au Ministère en charge du culte, la FAIB a fait part de sa préoccupation, au regard de la démarche estimée non participative du processus de la relecture de ce Code. La FAIB a déploré le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée. C’est pourquoi elle a attiré l’attention du ministère sur le risque d’adoption d’un Code non consensuel. Elle espère que les porteurs de cette révision reverront leur démarche pour plus de consensus autour du futur CPF, objet de toutes les attentions de notre part.

Par ailleurs, il nous a été donné de constater à travers les réseaux sociaux, un appel au public, à signer une pétition en vue du retrait d’une loi relative au code des personnes et de la famille ou encore à la question spécifique de l’âge minimum de mariage pour la jeune fille.

La FAIB voudrait informer le public du Burkina Faso en général et les musulmans en particulier qu’elle n’est nullement mêlée à cette pétition, dont elle ignore les objectifs réels des initiateurs.

Elle invite les fidèles musulmans à placer leur confiance en la FAIB qui a jusque- là défendu les causes de la Oumma.
Qu’Allah bénisse le Burkina Faso ! »

La FAIB

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Vos commentaires

  • Le 24 juin 2019 à 13:01, par Unemère En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Excusez-moi FAIB ! Pardon. La question de l’âge du mariage de la jeune fille est une question de santé pour nos enfants. Ne confondons pas la santé à la religion. C’est des statistiques des maternités qui ont été révélés pour en arriver à là. Cherchons le bonheur de nos filles. Excusez-moi si je ne suis pas faite comprendre. Merci.

    • Le 25 juin 2019 à 07:59, par Le Maître En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

      désolé la question du mariage n’est nullement une question de santé. Plus on se marie tôt et mieux on se porte. Une fille qui voit ses règles c’est qu’elle est devenue femme et est capable d’enfanter sinon aucune femme n’aurait eu les règles à cette âge.vous préférez laisser la société se dégrader en laissant les filles aller à la fornication...quand c’est une bonne chose comme les gens se plagient mais quand on parle de prostitution personne n’ouvre sa gueule....honte à vous !!! réfléchissez un peu et faites un sondage vous verrez qu’il n’y aucun lien entre le mariage et les problèmes de santé des jeunes filles

  • Le 24 juin 2019 à 13:43, par le juste En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    La FAIB doit suivre ce projet de loi de près, elle doit encore consulter les personnes sources musulmane dans ce domaine pour mieux connaître davantage la position de l’Islam -pas des musulmans- sur la question, en tenant compte de la réalité sociale du pays. La FAIB ne doit pas hasarder dans ses prises de décision ou position. La FAIB doit être la seule initiatrice de signature en cas de besoins.

  • Le 24 juin 2019 à 14:00, par S. DIALLO En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Allons seulement, tous va se savoir le Burkina sera soit un état laïc démocratique et républicain ou un état islamique avec la polygamie legalement codifiée ou un conglomérat de royaumes avec des bonnets rouges qui gèrent leur sujets et des mensonges codifiés tels Moro Naba chefs suprême des mossis.

  • Le 24 juin 2019 à 14:10, par mahomed En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Qu’on ramène l’age du mariage à 6 ans afin de respecter les hadits

  • Le 24 juin 2019 à 14:30, par non En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Nous remercions les autorités de n’avoir pas impliqué la FAIB.
    Votre vision du monde et votre mode de vie nous n’en voulons pas. Epargez nous des cultures importées. Nous ne sommes ni Sunnite ni Chiite nous avons deja beaucoup de problème avec le lot quotidien de morts et de déplacé. Nous sommes des Mossé, des Gorounsis, des Peulhs, des Gourmatchés, des Bissas, etc. tous avec nos cultures et nos croyances et nos code de familles non écrites mais code de famille quand meme.
    On ne veux plus acheter la bagarre de quelqu’un. Regardez la merde que cela a apporte au Liban. Les libanais vivent dehors maintenant depuis plus de 20 ans ca dure. C’east quoi ces truc ?

  • Le 24 juin 2019 à 14:38, par k En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Enfin la FAIB se réveille. Je ne pense pas que les autres religions aient été consultées surtout pas les traditionalistes comme nous autres. Prenez position ouvertement et clairement sur des questions essentielles pour un mieux vivre en communautés.

  • Le 24 juin 2019 à 14:55, par Denver En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Pour la relecture d’une loi aussi importante qui touche la vie quotidienne des populations, il est important de privilégier une approche participative prenant en compte toutes les couches socio culturelles du pays.

  • Le 24 juin 2019 à 15:32, par nabiga En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Pourquoi vous consulter ? vous n’êtes qu’une fédération. Quoi de plus ? Et ceux des religions traditionnelles, doivent-ils être consulté ?
    Ca commence ainsi, pour se faire incontournable. Balle à terre.

  • Le 24 juin 2019 à 15:53, par Peuple Insurgé En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    J’ai du mal à comprendre pourquoi des sujets aussi importants sont abordés avec autant de légèreté dans ce pays. Nous avons assez de problèmes déjà. Ça coûte quoi d’adopter une approche participative pour consolider notre vivre ensemble ? Vraiment...

  • Le 24 juin 2019 à 16:25, par jeunedame seret En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Hayaaa..! Ça inquiète. Une fédération qui s’exprime comme un dogme ? Où es Allah ? Un peu de sagesse dans vos réclamations. Tous les Burkinabè ne sont pas musulmans. Et l’État ne consulte pas les autres pour des solutions aux problèmes de population. Est-ce que l’islam enseigne mariage et accouchement ? Si la FAIB réclame sa consultation comme l’ONU ou l’UNICEF, ça sent la poussière. Hééiii...

  • Le 24 juin 2019 à 16:32, par lejuste En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Je pense que nous devons évider de croire que l’islam est notre cuture et les comportements des arabes nos valeurs. Je dis et je repete, nos ancetres sont des annimiste et l’annimise devrait etre la réligons d’Etat. A ce ritme, il faudrait diviser le pays en deux afin que ceux qui veulent vivre sous le dictat de la charia aillent de leur cote. C’est ce qui s’est passé au soudan si vous voulez un exemple. Webmaster, dites moi pourquoi vous bloguer mes commantaires. Si cette association savait ce que c’est que la morale elle n’aurait pas pondu une telle déclaration source de division

  • Le 24 juin 2019 à 16:33, par Mechtilde Guirma En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Mon cher Oumah,

    Merci de m’apprendre que le code des personnes et de la famille a été révisé. Moi aussi je suis d’autant plus étonnée sinon qu’autant que vous de l’apprendre. En effet j’ai été la première à manifester mon désaccord dès le début. J’en ai même fait la critique dans une des conférences qu’organisait le ministère de la culture sous son Excellence Mahamoudou Ouédraogo. Nous étions deux Co-conférenciers, Monseigneur Der qui a examiné la question sociologique et moi la question juridique dans sa doctrine et non dans sa jurisprudence, quand bien même dans ma conclusion j’ai évoqué une question jurisprudentielle.

    Bref, quoiqu’il en soit, je rejoins vos inquiétudes, en ce sens que, pour moi, il n’est pas pensable de mettre la charrue devant les bœufs. Je veux dire qu’une révision éventuelle ou obligatoire du code des personnes et de la famille, ne peut se faire avant celle de la Constitution.

    En effet, la Constitution devrait reconnaître les bien-fondés du code, c’est la lettre. Ensuite le code définit les critères et les modalités. C’est l’esprit. Je m’explique :

    La Constitution est le fondement d’un organisme vivant dans une grande échelle : la grande famille d’une Nation par exemple en l’occurrence burkinabé. Or la famille est cellulaire ou nucléaire. La grande famille est cellulaire. En effet la Nation burkinabé est composé de plusieurs cellules familiales : à commencer par les ethnies, ensuite les religions. Ces cellules se divisent à leur tour en familles atomiques pour ne pas dire les ménages régis par la loi du mariage. Or tout le poids de la société burkinabé (tant du point de vue social, économique ou politique) se repose sur le ménage car sans elle il n’y a pas de famille ni cellulaire ni nucléaire. Et c’est ce monde que les Constitutions visent ou ont vocation d’organiser en un ensemble harmonieux et cohérent en tenant compte bien sûr de la culture, du contexte, du milieux , en reconnaissant leurs valeurs propres et en les protégeant.

    En conclusion, si la Constitution pose comme principe le respect de ces valeurs à la lettre. Donc il faut qu’à l’esprit, on leur accorde la liberté des pratiques ou des cultes. Il ne sert à rien de reconnaître la liberté religieuse dans la Constitution pour supprimer par la suite leur pratique dans le Code des personnes et de la famille.

    • Le 25 juin 2019 à 04:49, par PetitFils En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

      Madame Mechtilde Guirma,

      Depuis un certain temps, je lis vos contributions dans les differents sites d’informations et je ne cesse d’apprendre de vous. Vos contributions montrent que vous etes une personne reflechie, bien sage et remplie de connaissances et d’experiences diverses. Des faits sociaux aux faits religieux, vous donnez vos contributions, avec objectivite, surtout quand vous remontez aux origines de certaines choses.
      Grand merci, Madame, pour vos contributions qui instruisent nous autres de la jeune generation. Ca fait plaisir de lire des personnes instruites comme vous !

      Si, toutefois, il y’avait cette opportunite d’etre en contact avec vous, priere de le dire !

      Filiallement
      Petit Fils

      • Le 25 juin 2019 à 22:25, par Mechtilde Guirma En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

        Mon cher petit fils,

        Je crois que c’est dangereux de donner des contacts (surtout en ce qui me concerne) sur Internet. Un ami de mon fils m’a communiquer son e-mail, mais je n’arrive pas à le contacter. Mais si les choses se précisent à Ouaga, surtout en concerne les réformes constitutionnelles, si Dieu le veut on se verra. En attendant, Union de prière, qui que vous soyez, musulman ou chrétien.

        • Le 26 juin 2019 à 08:04, par PetitFils En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

          Chere Madame,

          Merci pour votre reaction et pour la suite donnee a ma requete ! Vous avez parfaitement raison, il faut beaucoup de prudence avec ce que l’on met sur internet.
          Tout vient a bout a qui sait attendre, esperons que le Seigneur croise nos chemins un jour ! UdP !
          J’attends de lire que vous organisez ou co-animez une conference a Ouagadougou. PeJdS !!!

          • Le 27 juin 2019 à 05:52, par Mechtilde Guirma En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

            Non tout justement mon petit fils, n’attendez pas que j’organise quelque chose, sinon votre grand’mère mourra en exil. C’est à vous et pour votre avenir d’exiger d’avoir une Constitution conforme à nos réalités culturelles, socio-économiques et politiques. Et moi je viendrai apporter ma contribution à son élaboration. Il en va de votre avenir et c’est ma bataille depuis bientôt trente ans. Des gens par ironie (les sceptiques) ou par sincérité (des amis) me disaient que j’étais en avance de cent ans sur notre temps. Si pour les uns j’étais irritée par leurs remarques ironiques, alors que les choses me paraissaient si simples et à la portée de tout le monde, pour les autres en effet je paniquais en les écoutant mais il n’était pas question pour moi que je laisse tomber malgré les menaces qui planaient sur ma tête de toutes parts (même au sein de ma propre famille), ou les propositions alléchantes (postes de ministre par exemple) ou les blocages administratives.

            Mais attention, si je dis que c’est à vous d’exiger, cela ne veut pas que je vous envoie dans la rue pour vous faire massacrer. Ça suffit maintenant tout cela. Nos jeunes ont assez payé le tribut du désir de la démocratie. C’est pourquoi en ce me concerne, dès le départ je n’ai pas eu d’ambition politique. J’avais tout simplement en tant que politologue la vocation de poser le problème (avec ma spécificité de femme) d’une démocratie qui ne peut se réaliser en dehors de notre identité culturelle, sans pour autant nous enfermer en vase clos, ou dans un narcissisme culturel qui est le nôtre, mais de rester ouvert aux cultures du monde pour un meilleur devenir et l’avenir de nos enfants. Je veux parler de la culture humaine déjà que le Concile de Vatican II a étudiée pour nous et dont la question n’avait pas encore été abordée par aucune femme sur le volet « démocratie » à proprement parlé surtout en Afrique. Pour cela, il me fallait laisser des écrits. En effet dès le départ l’entreprise s’est présentée à moi avec toutes les impondérabilités soupçonnées ou non mais que j’ai quand-même acceptées tout de suite avec ma seule foi en Dieu. Je vous demande la même chose tout en vous exhortant d’avoir confiance aux leaders de conscience de nos identités religieuses ou traditionnelles et de les écouter avec foi. Croyez-moi le miracle existe et vous verrez la gloire de Dieu et de l’Action de son Esprit dans le monde et plus particulièrement au Burkina. Vos tourments dans notre pays ne seront qu’un mauvais souvenir car cette Action de l’Esprit de Dieu dont je vous parle, soufflera aux uns, la raison pour comprendre et accepter le changement, et aux autres la légitimité de vos revendications pour l’action dans la paix et sans violence. Quand à vous, ne sautez pas les étapes attendez votre tour si vous avez des ambitions politiques. Laissez-vous former d’abord par les plus anciens qui ont une expérience politique déjà très nourrie. L’amateurisme nous a déjà amené pas mal bien d’ennuis. C’est pourquoi je vous suis reconnaissante de voir que vous avez soif de savoir. Laissez-vous former d’abord avant d’entreprendre des desseins politiques.

            Du courage donc et avec l’espoir peut-être de nous rencontrer très bientôt si toutefois une Assemblée Constitutive ou une Constituante était convoquée.

            Union de prière.

    • Le 25 juin 2019 à 11:45, par Hess En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

      Merci cette contribution.
      Il faut ouvrir le débat et consulter largement.

  • Le 24 juin 2019 à 16:45, par Sala En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Pourquoi vous consulter vous êtes qui ? Un peu d,humilité svp !!

  • Le 24 juin 2019 à 16:57, par Bigbalè En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Si la FAIB avait commencé à présenter les principaux changements intervenus dans le projet de loi et qui touchent aux libertés religieuses, je serai plus à l’aise pour lui apporter ou non mon soutien ! Quant à laisser penser que pour toute loi, le gouvernement doit impliquer les organisations religieuses, je crois que c’est trop demander ! Par ailleurs, la FAIB a-t-elle appris que l’on impliqué les autres communautés religieuses et qu’on l’a oubliée volontairement ou pas ? Si non, nos députés élus sont là pour nous représenter dans l’examen des projets de lois et quand la Commission spécialisée au sein de l’Assemblée a besoin d’éclairage quelconque sur une loi en projet, elle fait appel à qui elle veut pour cet éclairage. Enfin la FAIB est dirigée par des personnes connues et il est utiles que ces personnes signent ces genres de déclarations pour ne pas donner l’occasion à des personnes mail intentionnées d’utiliser cette structure à d’autres fins que celles qui sont à l’origine de sa mise en place ! Attention à vouloir tout faire à la place des autres, on risque de nous rendre la vie impossible car personne n’est spécialiste dans toutes les sciences sociales et techniques ! Avec tous mes respects !

  • Le 24 juin 2019 à 17:02, par Maria de Ziniaré En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    A mon humble avis pour la relecture du code de la famille qui concerne tous les Burkinabè quelque soit leur religion la sagesse devrait commander de consulter la plupart des organisations religieuses reconnues,Catholiques, Protestants Mulsumans notamment. Quand on consulte j’ai juste pour avoir un à vis cela ne veut pas dire que l’avis sera retenu. Les lois sont faites pour réguler la vie des hommes qui ne sont pas des robots, le code de la famille régule la vie familiale qui est le premier cercle intime où se structure notre personnalité par l’éducation de nos parents et demander des avis de nos référents religieux ne coûtent rien ça ne fait qu’enrichir notre vision et ne nous empêche pas d’utiliser notre raison et bon sens lors de la codification du code. Le Burkina démocratique laïc et républicain que nous cherchons sera toujours habité par des hommes alors adoptons des stratégies inclusives dès lors qu’on traite des problèmes humains c’est plus rationnel, élégant et respectueux et personne ne se sentira exclus. Quand le niveau de maturité des hommes est en déphasage avec les superstructures construites par les lois et règlements n’ayant rien à voir avec les préoccupations des populations c’est pour créer des usines à gaz invivables et incompréhensibles pour lesdites populations et bonjour le vivre ensemble difficile voir impossible.

  • Le 24 juin 2019 à 17:12, par sankis En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Dites à la FAIB que tout ne se décide pas par consensus dans un Etat de droit.

    Il y a des décisions qui requièrent le consensus il en y a aussi qu’on doit prendre et imposées car on ne peut avoir un consensus sur la question.

    Il ya aussi des normes internationales qui s’imposent aux Etats, si la FAIB ne s’inscrit dans ces normes, qu’elle ne vienne pas nous parler de consensus ici !

  • Le 24 juin 2019 à 17:15, par yambia En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Chacun a le droit de poser ses préoccupations. Si la FAIB estime que le Code porte atteinte à sa vision de la Société, quoi de plus normale qu’elle s’inquiète.

  • Le 24 juin 2019 à 17:15, par Sacksida En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    D’abord, ce Code des Personnes et de la Famille depuis la source n’est nullement elabore pour s’appliquer a des "animaux" mais il est bien dit des personnes. Par consequent, toutes les forces sociales et humaines de la Nation doivent etre consultees. Quand, il s’agit des questions de cohesion et de paix sociales ce Gouvernement fait appel a des contributions des communautes religieuses et traditionnelles, et une revision d’un document d’une telle importance on veut le faire en catimini ? Bravo, a la FAIB pour sa vigilence citoyenne. Nous repetons toujours, nos autorites politiques doivent ette plus intelligents dans l’approche des questions nationales, au lieu de se comporter parfois dans des actions inconsiderees. Courage et Salur.

  • Le 24 juin 2019 à 17:28, par COB En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Salut !
    Par ces temps qui courent, je suggère d’abandonner la relecture de ce Document. Dans un pays à côté, des personnes ont saisi cette occasion (relecture du Code de la Famille) pour créer le désordre dans le pays.
    On peut vivre avec le Code actuel. Quand le pays sera plus serein et en relative paix, on pourra revenir la-dessus.
    PARDON !!!! Ranger le projet. Ne donnez pas l’occasion à des personnes pour détruire davantage le pays.

  • Le 24 juin 2019 à 17:42, par Le petit tranquilos En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Au lieu de prendre leur bâton de pélerin pour affronter les prêcheurs radicalistes afin qu’ils arrêtent de bourrer les cervelles de nos pauvres enfants, c’est pour un code vous vous plaignez. Simon a voulu discipliner les prières dans les coins de rues, vous avez élève la voie inutilement. Sans discipline dans un pays rien ne marche. Si vous pensez qu’avec ce comportement le Burkina ira devant tant mieux.

  • Le 24 juin 2019 à 18:15, par Sawadogo. En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Chers internautes. Je vous demande pardons de ne pas vous en prendre à la FAIB. La question du code des personnes et de la famille est d’une importance pour que les initiateurs de la relecture consultent obligatoirement non seulement la FAIB, mais aussi les coutumiers et les chrétiens.
    Ne vous trompez pas d’ennemis. Les questions de la personne et de la famille sont du ressort ce ces gens là au quotidien.
    Quoi qu’on dise ce n’est pas un travail de technocrates ou de juristes seulement. Rappelez vous que les juristes n’interviennent qu’en dernier ressort. Si vous laissez le code des personnes et de la famille aux mains des femmes et des hommes frustrés par le mariage, divorcés ou célibataires endurcis ou encore qui ont échoué dans l’éducation de leurs enfants, nous n’aurons que nos yeux pour pleurer.
    Il est impérieux de mettre tous ceux qui s’occupent de la personne et de la famille au jour le jour dans le processus. Je parle des associations islamiques, chrétiennes et des dépositaires de la tradition. Ils peuvent aider à avoir un bon code pour notre pays.
    Rappelez vous que l’ex ministre de la santé, le dr Meda avait autorisé une richissime américaine à venir aider les femmes et les filles du Burkina à avorter comme elles voudraient. Il eu fallut une réaction des associations des femmes musulmanes, chrétiennes et autres pour que Simon Compaoré fasse une déclaration au nom du gouvernement pour dire que personne n’avait envoyé le dr Meda dire cela et que ses propos n’engageaient que lui. Alors, vigilance.

  • Le 24 juin 2019 à 20:30, par gohoga En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Les musulmans étant majoritaires au BF, il faut que le législateur les consulte à même temps que les autres communautés religieuses et coutumières. Si non l’application va être difficile.

  • Le 24 juin 2019 à 21:57, par Sala En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Mon frère gohoga, il faut quitter dans ça. On ne parle de pas majorité ici, on peut être majoritaire et ne pas être consulter.

  • Le 24 juin 2019 à 22:00, par Sala En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Mon frère gohoga, il faut quitter dans ça. On ne parle de pas majorité ici, on peut être majoritaire et ne pas être consultė. Ne raisonne pas de la sorte

  • Le 25 juin 2019 à 08:02, par Yaaba & Jesus & Mohammad & Autres En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Bonjour chers tous ,
    Je ne sait pas pourquoi cet article est source de polémique étant donné que tout individu a le droit de s’exprimer librement (si ce n’est pas le cas ,c’est à revoir) et donc de dénoncer un comportement immature de qui que ce soit qui pourrait porter atteinte à notre vivre ensemble (qui est tant secoué ces derniers temps).Il est donc trivial que toutes les couches sociales , animiste , chrétienne , musulmane et autres ont le devoir d’interpeller toute personne ayant pour projet (peut être involontaire) de semer la discorde, le mauvais vivre ensemble.
    Je félicite donc d’une part la FAIB pour sa vigilance et son soucis pour le bon vivre et d’autres part j’interpelle les autres couches sociales à se manifester tout en restant lucide, sincère sur les questions sensibles qui peuvent si mal traitées conduire à ce que nous ne souhaitons pas (le chaos).
    Je ne pourrai terminer sans saluer la bonne volonté de certains internautes qui sont rester lucide , impartial ,sincère ,honnête pour faire des commentaires censés et sans oublier d’interpeller les autres qui ne peuvent être impartial (du genre : "Les musulmans étant majoritaires au BF" ; "Au lieu de prendre leur bâton de pélerin pour affronter les prêcheurs radicalistes afin qu’ils arrêtent de bourrer les cervelles de nos pauvres enfants, c’est pour un code vous vous plaignez" ; "Hayaaa..! Ça inquiète. Une fédération qui s’exprime comme un dogme ? Où es Allah ?"... ) à se taire afin de garder le peu de bon vivre que nous avons et travailler à l’améliorer.
    Je terminerai par ceci : « Vaut mieux se taire pour se faire passer pour un imbécile que parler et confirmer que tu en es vraiment »

  • Le 25 juin 2019 à 08:05, par OH En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    C’est déplorable de voir des réactions de la sorte : "Qu’on ramène l’age du mariage à 6 ans afin de respecter les hadits" ou encore "Ne confondons pas la santé à la religion". Ces réactions basées sur l’ignorance ou la mauvaise foi seraient compréhensibles si la FAIB avait dit qu’elle est l’initiatrice de cette pétition. C’est tout à fait normal qu’elle demande à être associée aux démarches de la relecture du CPF tout comme d’autres organisations représentant une bonne frange de la population burkinabé pourraient le faire. Essayons d’être constructifs dans nos contributions.

  • Le 25 juin 2019 à 08:09, par Le Maître En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Plus une fille se marie tard plus il y a de la fornication plus on va vers des maladies, des grossesses et plus ces dérives se multiplient et plus cela attire le malheur vers le pays. cela est élémentaire et tout le monde le sait toute religion confondue. voyez la côte d’ivoire, le Congo...rien n’arrive au hasard.En bon entendeur, salut

    • Le 25 juin 2019 à 13:19, par Kouda En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

      Le Maître,
      En Arabie Saoudite, les filles se marient très très tôt et pourtant il ya beaucoup de problèmes là bas. Des attentats terroristes y ont lieu. L’un de ces attentats a handicapé gravement l’ancien ministre de la sécurité et de la défense, héritier du trône. Des gens ont été exécutés en Arabie saoudite pour terrorisme, pourtant les filles saoudiennes se marient extrêmement tôt.
      Le prince MBS a fait exécuter et découper le journal Khasoggi dans l’ambassade saoudienne à Ankara.
      Revoyez votre copie. Les arguments ridicules que vous proférez ont été battus en brèche depuis longtemps.
      A tous ceux qui disent que les musulmans sont majoritaires au Burkina Faso, vous me faites rire et pitié à la fois.
      Voilà un pays où les gens quittent les églises, temples et mosquées pour aller s’adonner à des pratiques animistes au village ou même ici en ville et ça crie "les musulmans sont majoritaires".
      Il faut savoir grandir. Vous avez tenu ce même refrain avec la modification de l’article 37 et la création du sénat. "Les musulmans ont leurs intérêts dans le sénat". ça vous rappelle quelque chose ? Où êtes vous avec votre sénat et votre modification de l’article 37 pour permettre à Blaise Compaoré de rester au pouvoir ?

  • Le 25 juin 2019 à 08:23, par TENGA En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Excusez moi d’entrer dans le débat ; en fait, on ne fait que copier la culture du blanc pour venir coller chez nous. Tenez ! qu’est-ce que ça vous fait, de voir un vieux couple dont le vieux a 70 ans et madame 65 ans à la mairie pour un mariage dit"civil" ? Moi j’ai honte ! ce sont mes parents ; que la loi de mon pays dit qu’ils sont "célibataires" ! Foutez-nous la paix oui ! Depuis quand nos parents qui ont fait leur mariage selon notre coutume, soit par le PPS, ou bien à l’Eglise ou bien à la mosquée et on veut toujours les traiter de célibataires ? ça quel monde à l’envers ça ? Il faut qu’au Burkina, on accepte d’être vraiment burkinabé, intègres comme on le dit. Arrêtons de copier les autres !
    je suis d’accord avec la FAIB, et même la chefferie coutumière, les autres religions devraient se joindre à cette interpellation !
    On est fatigué des lois bidons qu’on ne comprend même pas ! Si vous fixez le mariage à 18 ans alors que la plupart des grossesses en milieu scolaire c’est avant cet âge vous dites quoi ? N’est-ce pas mieux d’autoriser le mariage si les parents sont consentant ?
    J’ai horreur de ce code ! Ici, on a une culture de polygamie, et on fait toujours mariage traditionnel. Gare à celui qui va aller directement devant le maire sans le PPS ou à la mosquée ou à l’Eglise , seulement. aux yeux de la société , tu n’est pas marié ! c’est ça la vérité. Et comme ça, vous verrez qu’il y aura moins de conflit avec la loi !

  • Le 25 juin 2019 à 11:06, par Boss En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Merci à la FAIB d’attirer notre attention sur cette question sociale d’une sensibilité majeure. Je suppose que l’Eglise catholique et protestante et les chefs traditionnels ne sont pas non plus représentés à ce coup d’Etat social. Le cas contraire interpelle le Président du FASO pour que les fantassins du Ministère en charge de la promotion sociale fournissent des rapports détaillés sur leurs intentions machiavéliques. Le nouveau CPF devrait reconnaitre le MARIAGE COUTUMIER ET RELIGIEUX AU MEME TITRE QUE LE MARIAGE CIVIL DU BLANC

  • Le 25 juin 2019 à 11:23, par Le villageois En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Merci FAIB. Le villageois vous parle : il faudra tôt ou tard qu’on trouve une solution aux préoccupations des nombreuses jeunes filles sans mari. Que devons-nous faire du surplus de nos nombreuses sœurs qui frappent sans succès à la porte du mariage ? Il faudra une politique pour, à défaut de la polygamie OBLIGATOIRE POUR LES OPERATEURS ECONOMIQUES, HAUTS FONCTIONNAIRES, etc. qu’on encourage les hommes à prendre deux épouses chacun. Question d’équilibre social oblige. L’égoïsme et le bien matériel nous maintiennent dans la monogamie et l’individualisme. Ce qu’il faudra plutôt combattre, ce sont les nombreuses naissances. Une femme, un mari, 2 enfants, pas plus.

    • Le 30 juin 2019 à 15:01, par jeunedame seret En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

      Mr Le villageois, ton nom confirme ce retardement. Qui t’a dit qu’il y a surplus de filles ? Les statistiques ? Et ce surplus impose un gavage ? Et en cas de surplus de garçons ? Il n’y a jamais eu surplus ; il y a des hommes pauvres et lâches qui aiment le sexe sans oser le foyer. On voit des hommes de plus de 40 ans sans femme. Ç’aurait été une fille à cet âge, vous le remarquerez vite. Votre esprit musulman borné avec la multiplicité de femmes et d’enfants sans revenus cohérents ne nous embellit pas la vie. Car, ce sont des foyers sales sans éducation ni scolarisation ni entreprise ni épanouissement. On a besoin d’éducation ; pas de raisonnement plat et lâche.

  • Le 25 juin 2019 à 12:04, par Damis. En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    M. Sawadogo, je tiens à vous féliciter pour la clairvoyance.
    En fait, le problème n’est pas même pas une question de majorité, mais une question de principe.
    On ne peut pas comprendre la relecture d’un code devant régir la vie des hommes sans consulter les communautés qui peuvent être concernés d’une manière ou d’une autre (chrétiens, musulmans, animistes...) ; car ce n’est pas un code qui régit des animaux !
    De plus, quand ça caille dans l’application de ces lois, on court vers les communautés en questions ! Soignons sérieux !
    Mais ce qui est encore grave c’est la situation actuelle du Burkina qui devrait interpeller nos autorités. Comment comprendre que c’est au moment même où les forces du mal chercher à semer la gangrène chez toutes les communautés, à diviser les burkinabé, à exploiter toute faille dans la gestion des Hommes afin d’atteindre leur but ignoble, qu’un tel projet est sur table ? Tout en sachant que les musulmans se diront qu’ils sont des laissés pour compte !
    Que nos autorités réfléchissent bien avant d’entreprendre ce genre de projet. Ce n’est même pas le moment de faire passer une telle loi, car il y a tellement de priorités débordantes à traiter.
    En bon entendeur, salut !

  • Le 25 juin 2019 à 12:49, par OUEBANA En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Comme l’a si bien dit un des commentateurs, la constitution reconnaissant la liberté de culte, cela devrait être pris en compte pour ne pas laisser seul les officiers de l’état civil s’occuper de la question de la célébration du mariage... par exemple. Le plus juste aurait été d’impliquer toutes les communautés pour une harmonisation qui tient compte des réalités du moment.

  • Le 25 juin 2019 à 13:24, par Yelwingtiim En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Pauvres Africains !
    Restez là à discuter de choses mondaines.
    N’allez pas faire votre rencontre personnel avec le Créateur.
    Pour ce qui est de la FAIB, faites votre travail selon les textes régissants votre fédération. C’est normal de donner votre avis et félicitations !
    Ce code a besoin d’être relu, maintenant que les dirigeants jugent de l’opportunité et de l’approche.
    J’invite les internautes à éviter les débats religieux. Posez vous la question à savoir, pourquoi toutes ces croyances révélées viennent elles d’ailleurs ? Ne sommes nous pas capable de savoir distinguer le bien et le mal ? Toutes les religions prônent l’amour entre les hommes, alors, qu’est ce qui est difficile à faire dans ça ?
    Merci !

  • Le 25 juin 2019 à 14:29, par Bernard Luther King ou le Prophete Impie En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Chere Section Communication FAIB, au nom de quoi voulez-vous etre associé ? au nom des ONG ? au nom des Partis Politiques ? Au nom du Fait Religieux ? Je presume qu’il c’est au nom du fait Religieux. Alors d’autres questions. La FEME (protestants), l’Eglise Catho, les Coutumiers ont-ils été invité et pas vous ? Si c’est le Cas, je me joins à vous pour crier INJUSTICE et REPARATION. SINON, votre plainte aura manqué d’objectivité et de fair-play. Pourquoi ? Si c’est au nom du fait Religieux, vous auriez dû vous plaindre au nom du fait de la non-representativité religieuse et non au nom de votre seule et seule association. La FAIB est-elle la seule non-invitée ? Cher FAIB, eclairez-nous. Les Raeliens ont-ils été invités par exemple. Je pourrais être de coeur avec vous pour l’elargissement. Faut pas qu’on autorise les allosexuelles ailleurs et qu’on veuille nous interdire la polygamie et nous imposer certaines aberrations sociologiques. A ceux qui crient un retour à la RTA pure, j’voudrais leur dire que nous ne vivons plus dans une société agro-pastorale : à coté des ancêtres, il faut compter avec les robots et les fusées.
    "Dieu Reste Burkinabè"

  • Le 25 juin 2019 à 16:26, par Vision anticipation paix En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Il faut revendiquer et non deplorer,
    ouvrir l’oeil et exiger la prise en compte de nos aspirations pieuses.

  • Le 25 juin 2019 à 16:27, par Vision anticipation paix En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Il faut revendiquer et non deplorer,
    ouvrir l’oeil et exiger la prise en compte de nos aspirations pieuses.

  • Le 25 juin 2019 à 16:29, par Adama En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    bravo a la FAIB pour cette réaction de sagesse. Comprenne qui pourra. Il y’a un temps pour tous.

  • Le 25 juin 2019 à 17:19, par Mamoudou OUEDRAOGO En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Hey hey hey...
    Chers jeunes burkinabe, je ne dis pas d’être irreligieux mais faisons attention. La religion ne devrait pas être une source de haine ou de discussions haineuses entre nous. Les histoires de majorité, minorité, pantalons longs ou courts, barbes longues ou courtes... doivent être bannies et boutées loin de nous. Ce sont ces concepts qui donnent raison à ceux qui pensent que la religion est l’opium du peuple. Pendant que les jeunes chinois, américains au autres font des recherches pour perfectionner les smartphones que nous utilisons et même faire des explois dans d’autres domaines, nous, nous n’arrivons pas à construire la moindre chose ensemble pour motif que nous n’avons pas la même longueur de pantalon... Honte à toute génération qui n’apporte pas sa pierre à l’édification de sa nation.

  • Le 25 juin 2019 à 17:35, par lejuste En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Chèrs membres de la FAIB, avec tout le respect que je vous doit, je pense que le contexte actuel de delietement du tissu social vous commande de fair profil bas.
    Dejà au nom et pour le compte de votre prophète, des individus qui se réclame comme étant les vrais musulmans, ecument le nod du Burkina.
    Malgré la ligne de défense officielle que vous adoptez, tous ceux qui sont honetes savent très bien que le comportement des djihadistes est fondé sur le coran et qu’ils se calque exactement sur la vie de votre prophète mahomed.
    Ils font le djihad comme Mahomed, ils font le raping comme Mahomed et surtout, ils tuent les associateurs (chrétiens) comme lui.
    Maintenent, vous voulez nous imposer le mariage des mineurs (9 ans) comme ce que vote prohète a fait avec la petite juive ?

    faite pardon

  • Le 25 juin 2019 à 18:13, par KO En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    LA PETITION S’ADRESSE AUX BURKINABE ET NON AUX RELIGIONS. DE QUOI LA FAIB SE PLEINT-ELLE ? PARCE QUE LES AUTRES CONFESSIONS ONT ETE INVINTEES OU C’EST QUOI. SI TEL EST LE CAS ELLE A RAISON. DITES LE CLAIREMENT AUX GENS POUR LEUR PERMETTRE DE CONTROLER LEUR LANGAGE . VOUS NE POUVEZ PAS BALANCER UN ARTICLE COMME CELA DISANT QUE VOUS N’AVEZ PAS ETE CONSULTES SANS DIRE AUX GENTS SI OUI OU NON LES AUTES CONFESSIONS ONT ETE CONSULTEES . VOTRE COMPORTEMENT FRISE LE DESORDE. C’EST PARCE QUE LES AUTRES CONFESSIONS SAVENT POSER LEURS PROBLEMES QUE SOUVENT LA FAIB PENSE QU’ELLE EST NEGLIGEE PAR L’ETAT. ARRETONS DE DIRE QUE LES MUSULMANS SONT MAJORITAIRE 1 LE NOMBRE NE FAIT PAS LA FOI 2 AU BURKINA AUJOURD’HUI CETTE INFORMATION N’EST PLUS VERIFIEE

  • Le 27 juin 2019 à 11:38, par kaborbiiga En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    ma chère "jeunedame secret", vous me faites pitié, vraiment pitie !!! ONU, UNICEF, ça veut dire quoi ?
    la FAIB a eu le courage de reclamer son droit car en tant qu’une representation integrale des musulmans, c’est normal ! les autres religions n’ont qu’à reclamer, qui les empèche ????
    il faut souvent manier sa langue avant de parler ! vous etes pas obligé de parler si vous n’avez rien à dire !! n’importe quoi !!!!

  • Le 30 juin 2019 à 15:17, par jeunedame seret En réponse à : Relecture du Code des personnes et de la famille : La FAIB déplore « le fait qu’elle n’ait été ni impliquée ni consultée »

    Du calme kaborbiiga ; si tu as la foi, du calme ; car l’UNICEF et autres organismes des nations unies sont installés au Faso pour la santé et le bien-être de vos enfants que vous procréez sans moyens ni responsabilité ni fierté. Sache que dans ma cour des femmes musulmanes se faisaient vacciner clandestinement leurs enfants contre la polio, parce que leurs maris s’opposent à la vaccination. C’est un exemple. Et le Burkina vise une éducation autonome de sa population. Pas la création de problèmes pour négocier les solutions.

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