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Procès du putsch du CND : Les plaidoiries renvoyées au 23 avril prochain

Publié le jeudi 18 avril 2019 à 23h40min

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Procès du putsch du CND : Les plaidoiries renvoyées au 23 avril prochain

Prévues pour ce jeudi, les plaidoiries du procès du putsch du CND ont été renvoyées au mardi 23 avril prochain à la demande des avocats de la partie civile.

"Nous sommes dans l’incapacité de défendre nos clients aujourd’hui", a déclaré Me Souleymane Ouédraogo qui s’exprimait au nom des avocats de la partie civile. Les avocats ne sont pas prêts matériellement, a ajouté Me Ouédraogo.

Les avocats de la défense n’ont pas trouvé d’inconvénient à cette demande.

Pour le parquet militaire, cette demande n’est rien d’autre que celle de 14 jours sollicités au départ par les avocats.

Le président du tribunal, Seydou Ouédraogo, a tranché en renvoyant l’audience au mardi 23 avril 2019, à 9h 00.

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Vos commentaires

  • Le 18 avril 2019 à 10:31, par Nabiiga En réponse à : Procès du putsch du CND : Les plaidoiries renvoyées au 23 avril prochain

    Hi, Hi, Hi, Hi, à l’entame du proccès, les avocats n’ont pas voulu que rien ne se passe pour déterminer les coupables. Ils savaient ce qui les attendait. Maintenant, vos clients étant cuits, venez plaider la clémence car c’est la seule chose pour laquelle vous pouvez plaidez, vous ne voulez pas, vous tournez en rond. Le peuple triomphera à la fin.

  • Le 18 avril 2019 à 10:38, par wendlassida En réponse à : Procès du putsch du CND : Les plaidoiries renvoyées au 23 avril prochain

    C’ EST LA PARTIE CIVILE OU LA PARTIE DÉFENDERESSE QUI DEMANDE LE REPORT ? CA SERA CURIEUX QUE LA PARTIE CIVILE NE SOIT PAS A MESURE DE DÉFENDRE A TOUT MOMENT.

  • Le 18 avril 2019 à 10:59, par caca En réponse à : Procès du putsch du CND : Les plaidoiries renvoyées au 23 avril prochain

    Hé ! Nabbiga, le jour où tu va aussi tomber en disgrâce, je pense même que la terre des ancêtres du Burkina ne voudraient pas ton corps. Je relis bien l’article, ce sont des avocats de la partie civile qui demandent un report car ils ne sont pas matériellement pour défendre leur clients.

  • Le 18 avril 2019 à 16:25, par Nabiiga En réponse à : Procès du putsch du CND : Les plaidoiries renvoyées au 23 avril prochain

    Hi Hi Hi, pour tomber en disgrace il faut avoir abuser de la confiance de ceux qui l.ont place en moi. La ce sera une chute libre dans les caniveaux. Etant maoga donc honnete et integre, et pour qui la honte est a eviter a tout.prix a meme me suicider s il y a lieu, je ne.me vois pas tomber en disgrace. Pire je ne me vois pas tomber en disgrace et au lieu d assumer je cherche eperdumment a impliquer d autres personnes dans ma honte. Chapi
    Que.les verdicts tombent

    • Le 19 avril 2019 à 13:40, par caca En réponse à : Procès du putsch du CND : Les plaidoiries renvoyées au 23 avril prochain

      @Nabiiga, je ne vois pas comment tu trouveras la joie après les plaidoiries du putsch manqué. Je pense que la meilleure chose pour toi est de faire la paix avec soi-même et avec Dieu. Ce soir est la soirée symbolique qui retrace la passion de Christ. Il est encore pour vous de retrouver la richesse intarissable de l’eau vive en lui. Votre haine contre les accusés ne vous servirez en rien et la honte de la vie consiste de n’est plus se reconnaitre quand les accusés retrouveront la liberté. Un homme fort c’est celui qui reconnait sa faiblesse. Voyez vous que les internautes cafards ont commencé à prendre leur distance. Le putsch était un fait, le procès d’un autre fait, maintenant l’heure est au libation afin d’être libre.
      Je vous souhaite une joyeuse Pâques pleine d’espoir !

  • Le 19 avril 2019 à 09:19, par Guinkouma En réponse à : Procès du putsch du CND : Les plaidoiries renvoyées au 23 avril prochain

    NABIIGA, Je peux comprendre pourquoi tu en veux aux accusés. Je te demande de les liberer de ton coeur pour ton propre bien et pour être agréable à Dieu. Amitiés

    • Le 19 avril 2019 à 14:08, par Tilaï En réponse à : Procès du putsch du CND : Les plaidoiries renvoyées au 23 avril prochain

      Mes amitiés à nos 2 nostalgiques de Caca et Guinkouma :
      1°)- Les avocats de la partie civile n’ont certainement pas demandé le report parce qu’ils ne sont pas en mesure de défendre leurs clients. Sinon, ils l’auraient fait depuis le début et non à la fin où tout est maintenant décanté, laissant les 2 poltrons de généraux nus comme des vers :
      2°)- C’est peut-être vous qui avez besoin de libérer votre cœur et non Nabiiga qui n’a fait qu’exprimer un point de vue logique et dépourvu de haine, contrairement à vous.
      Bon rétablissement dans votre vie pleine de souvenirs mélancoliques mais révolus à jamais.
      Un philosophe disait : "Le souvenir d’un bonheur n’est plus un bonheur, mais le souvenir d’un malheur est toujours un malheur". Conclusion : Souvenez-vous amèrement de vos temps glorieux du règne Compaoré, mais souffrez que ces temps sont définitivement révolus.
      Dieu bénisse le Burkina !

  • Le 19 avril 2019 à 16:29, par Nabiiga En réponse à : Procès du putsch du CND : Les plaidoiries renvoyées au 23 avril prochain

    ....’ tu en veux aux accusé’. Tu utilises mal cette expression française ’en vouloir à quelqu’un’. Ce n’est pas comme cela il faut l’utiliser. Je n’en veux pas à personne encore moins ceux dont tu parles. Je ne les connais pas personnellement en dehors du fait qu’un moment donné dans l’histoire de notre pays, ils furent ses figures dirigeantes. Seulement voilà, dans l’exercice de diriger le pays, ils ont fait des mauvaises choses tels l’assassinat de Norbert, d’Oumarou à ne mentionner que ces ceux-ci (il y en a d’innombrables victimes de ces derniers). Sur le plan économique, c’était encore eux qui contrôlaient l’économie nationale. Aucun business ne pourrait voir le jour au Burkina sans que ces derniers, (surtout François Compaoré) fassent partie, de gré ou de force à cette business. Mais pourquoi ? Le pays leur appartenait. Furent-ils plus Burkinabè que toi et moi ?

    Je fais partie de ceux-là qui veulent que les accusés s’expliquent sur ce qui les a motivés à commettre ces actes ignobles sur le même peuple de qui ils tiraient la justification de leur gestion de notre pays. Ça, ce n’est les en vouloir.

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