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Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

Publié le jeudi 4 avril 2019 à 23h15min

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Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire »,  déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

L’une des conséquences immédiates du phénomène terroriste au Burkina est sans soute la mise à rude épreuve de la cohésion sociale. Si les prémices étaient bien visibles dans certaines parties du pays depuis les premières attaques terroristes, la situation s’est exacerbée avec le drame de Yirgou.

Depuis lors, les cas malheureux se succèdent dans le pays, avec leurs lots de désolations. A ce jour, ils sont plusieurs milliers de Burkinabè à s’être déplacés, et luttant contre la faim, la soif, la misère et le dépaysement. « Nous ne pouvons plus faire les marchés, parce qu’on ne sait plus à quel moment les tueries peuvent arriver. Nous qui nous débrouillions dans des petites réparations d’engins pour subvenir à nos besoins entre deux saisons, sommes obligés de cacher notre matériel, parce que lorsque vous réparez même un vélo, vous pouvez être tué après pour, dit-on, avoir ‘‘apporté soutien’’ à un terroriste puisque vous ne pouvez pas connaître tous vos clients. Si tu n’as pas la chance aussi que dans une course poursuite, des terroristes entrent dans ta cour pour se réfugier, on arrive et on vous canarde tous. De la même façon, pour une simple conversation avec quelqu’un, vous pouvez être éliminé par les terroristes pour, disent-ils aussi, avoir donné des informations aux forces de défense et de sécurité. Nous sommes pris entre deux feux, seul Dieu peut nous sortir de là. Plus d’agriculture, plus d’activités lucratives, plus d’élevage, nos déplacements sont très limités, nous sommes contraints désormais à vivre la faim et la soif ». Telles sont les confidences des habitants d’un village du nord. Des propos symptomatiques de la situation qui prévaut aujourd’hui et qui doit interpeller davantage le gouvernement et chaque Burkinabè sur ce que vivent, comme clavaire, leurs frères des régions concernées.

Que faut-il faire face à la situation et à la proportion qu’elle prend ?

En tout cas, le ministre d’Etat, ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Cohésion sociale, Siméon Sawadogo, lance un appel à « tous ceux qui peuvent appuyer dans la recherche de solution, à le faire ».

En effet, profitant de la tribune de presse dressée à la faveur de la rencontre entre le président du Faso et l’opposition politique en cette fin de matinée du 4 avril 2019 au perron du palais présidentiel, Siméon Sawadogo a vivement déploré les évènements que vit le pays depuis un moment. Et c’est entouré de la délégation de l’opposition politique que le ministre a d’abord présenté « les condoléances de toute la nation » aux familles éplorées dans les zones d’Arbinda et de Zoaga.

« Ce qui s’est passé est inacceptable, c’est ignoble. Nous invitons les uns et les autres à cultiver le vivre-ensemble et demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire. Si nous ne cultivons pas la tolérance, si nous n’arrivons pas à travailler pour aboutir à une cohésion sociale, nous ne pouvons pas travailler pour le développement. Et ce qui s’est passé à Arbinda et à Zoaga est inacceptable », a exprimé en substance, et la mine grave, le ministre d’Etat Siméon Sawadogo.

Oumar L. Ouédraogo
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 4 avril 2019 à 21:29, par LAGUI ADAMA En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Si les TERRORISTES des 30-31 Octobre 2014 se repentissent ouvertement et sincèrement en demandant officiellement pardon au PEUPLE et à son Excellence Blaise Compaoré Qu’Allah le bénisse et le protège Alors ensemble nous vaincrons la poisse de roch marc christian kaboré et son MPP de malheur qui rongent tristement notre PEUPLE Vive la PAIX Vive le PEUPLE Vive le RESPECT INCONDITIONNEL DE LA CONSTITUTION Victoire au CDP Qu’Allah bénisse et protège son Excellence Blaise Compaoré et sa noble famille

  • Le 4 avril 2019 à 21:52, par L’observateur En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Franchement, il faut être dans ces zones pour comprendre les difficultés que les populations endurent. Les gens sont à Ouagadougou et tiennent les discours populistes, irréalistes (pourvu que la situation ne les touche pas). Mais ils oublient que personne n’est épargnée et que les populations de la ville peut vivre pire que celles de ces zones peuvent. Il faut savoir lire entre les lignes des évènements. Chacun a intérêt à mettre de côté son égo et sa passion.

    • Le 5 avril 2019 à 14:43, par Yako En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

      Dans un pays normal face au risque d’effondrement national,il ya deux solutions : Soit le president demissionne ou il est demis par l’une des desux institutions : Assemblee nationale ou Armee nationale.Que Dieu sauve le Burkina Faso

      • Le 5 avril 2019 à 17:04, par KLADJOU En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

        Yako, ben malheureusement votre Compaoré en 30 de pouvoir n’a laisser que ce pays là comme héritage dont les effets endeuillent les burkinabè chaque jour ! C’est plutôt à lui que tu dois t’en prendre et non à ceux que le système Compaoré et ses jihadistes ont décidé d’empêché de gouverner parce qu’ils ont contribuer à les chasser et bruler leur maison. Mais ils perdent leur temps. J’étais en Algérie dans les années 1992, c’est près de 150 000 morts que les jihadistes ont provoqué par des attentats, des exécutions sommaires etc. Mais où sont-ils aujourd’hui ? à 2 mètre en dessous du sol pour la plus part ! Arrêtes de nous raconter des inepties maintenant. Dans la vie d’une nation il y a des hauts et des bas, mais le peuple et l’Etat nation ressortent toujours plus fort. Mais sachez que pour le criminel Compaoré et ses larbins de diendéré et autres voyous de grands chemins nourris de la charogne et du sang des burkinabè c’est T E R M I N E. Vous pouvez racontez ce que vous voulez advienne que pourra mais plus question devoir ces criminels ici aux affaires.

        • Le 6 avril 2019 à 09:30, par Yako En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

          @KLADJOU, tu n’es pas coherent avec toi meme.En effet,face au peril djiahiste du FIS l’armee a pousse le president Chadli a la demission c’etait en janvier 1992.En septembre 1998 le president Liamine Zroual a du subir le meme sort face aux massacres repetitifs induisant des elections anticipees.Jeudi 4 avril 2019 l’armee crayant la guerre civile qui se prepare oblige le president Bouteflika a rendre le tablier.Donc tu racontes des inepties car la situation Algerienne confirme bien le role patriotique que joue cette institution dans la stabilite du pays.Meme en 1979 c’est tjrs l’armee qui impose Chadli comme solution de compromis entre les differentes tandences legitimistes de la guerre d’independance.Cher KLADJOU ces annees de plomb je les ai vecu en partie a partir de ma fenetre sise quartier club de PIN.Bien a toi jeune homme.

  • Le 4 avril 2019 à 22:01, par vico vico En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    C"est une situation malheureuse cette mais un Pays tend vers sa sortie des PPTE dans le monde, il faut un vécu pareil. Diagnostiquant tout ce qui passe au Burkina depuis le retour véritable de l"État de droit démocratique, on constater que c’était une traversée obligatoire : liberté d’expression assurée a tous, conduisant a l’incivisme parce qu’un peuple ignorant, ignorance même de ses intellectuels. Système antidémocratique et barbare installé depuis une trentaine d’année obligent et personne n’osait dire non de peur d’en être.....:Mais après ce passage de l’ouragan nous allons amorcer le développement avec bien sûr, une nouvelle génération.

  • Le 4 avril 2019 à 22:22, par L’Intègre En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Le mal de ce pays, c’est le MPP. Il faut avoir le courage dit haut ce que les gens pensent bas. Regardez-les, même jusqu’au militant lambda, c’est l’arrogance, c’est la suffisance, c’est le mensonge, c’est l’offensive, etc. Pourtant, le peuple observe tout ça, encaisse mais ne dit rien pour le moment. Ce qui nous arrivé n’est pas du tout insurmontable, tout dépend de comment on s’y prend.

  • Le 4 avril 2019 à 22:28, par versus En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Vico vico, est-on obligé de passer par ces conflits communautaires pour cela ? Mesurez-vous un peu ce qui se passe au Sahel, une partie du nord, à l’est ? Non, ça va au-delà de ce dont vous parlez.

  • Le 4 avril 2019 à 22:31, par aboubacar En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Aveu d’impuissance qui en dit long sur la complexité du phénomène. Il faut faire en sorte que les populations ne se rendent pas justice elles-mêmes. La colère est aveugle. La justice mais avant la police ou la gendarmerie doit agir pour éviter ces tueries qui ne sont pas justifiées (en tout cas pas toujours). L’Etat doit trouver les moyens pour permettre aux FDS d’anticiper et à la justice de punir les criminels de tous bords. Mais là on a un gouvernement mou, avec des ministres préoccupés par une course effrénée à l’enrichissement.
    L’artiste du nord

  • Le 4 avril 2019 à 22:37, par Sidbala En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    La situation du pays est très très grave, nous en somme convaincu, ce n’est pas seulement ceux là qui sont dans les zones rouges qui sont affectés, ils le sont plus que nous, mais de nos jours voyager à l’intérieur du pays est un cochemar pour tout le monde.

    Le president Roch et son MPP doivent savoir que gouverner c’est prevoir comme on a coutume de le dire. Les burkinabè ont montré aux yeux du monde le 30 et 31 octobre 2014 qu’ils avaient le secret de la democratie et du savoir vivre, comparaison n’est pas raison, il y a des pays qui ont pri le risque de changer par la violence leur mode de gouvernance et malgré les moyens qu’ils disposent, ce changement s’est terminé par le KO, sitons entre autres la lybie et la tunisie.

    Le fameux coup d’état du 30 et 31 octobre au Burkina s’est soldé par le dementèlement pur et simple de la structure sociale et politique du pays, résultat c’est le bas peuple et quelques intellectuels très mals inspirés qui se sont accaparés du pouvoir.
    Les actions terroristes ont eu le temps de s’installer pour la simple raison que le terrain leur était favorable, maintenant il sera trés diffile de les déloger. ET pour ne rein arrenger le régime MPP et son président ont passé tout le temps à fustiger Blaise COMPAORE d’être celui qui est à la base de cette situation.

    C’est très facile de tenir de tels propos quand on est en position de faiblesse et surtout d’incapacité notoir à regarder les choses en face, nous sommes dans une dynamique de géopolitique et de géospaciale si bien que ceux qui y sont préparé peuvent garder leur place, dépuis la guerre du golf jusqu’au printemps arabe les dirigeants avertis ont pri les disposition pour le tsnamis ne bouverse pas la stabilité de leur pays en faisant des compromis et des accords, cà c’est de la stratégie, ce n’est pas une question d’hommes et d’armement, mais c’est savoir prevenir.
    Blaise COMPAORE l’avait bien compri en autorisant la création du RSP qui était une force dissuasif et performant dans les questions de terrorismes, et que l’actuel président a même signé l’acte de naissance,
    Et c’est toi ROCH aujourd’hui qui dit que le RSP était un tigre sur papier ? Ce n’est pas simple

    La situation sécuritaire est très compromise aujourd’hui, le terrorisme a la peau dure, elle n’attaque pas à visage decouvert en plus il dispose de tous les moyens pour faire changer le combat de plusieurs facettes, voilà c’est maintenant un conflit communautaire qu’est ce qui prouve que bientôt il ne sera pas religieux ou familliale ?

    Il faut que Roch s’entoure de gens sérieux qui ont vraiment l’amour de la patrie, qui ne sont pas des revenchards et des va t’en guerre pour la réconciliation des fils et filles de ce pays soient une réalité, c’est dabord là qu’il faut commencer avant de parler de forces militaires, il faut que chaque maillon de la chaine se sente concerné par le devenir de la patrie, la question militaire ne peut venir qu’en second plan.

    Si aujourd’hui c’est ethnie qui est stigmatisée, demain c’est le tour à qui ainsi de suite.
    EN TOUT LE FOSSE EST TRES PROFOND ENTRE LE PEUPLE ET SES DIRIGENTS ET CE N’EST A L’AVANTAGE DE PERSONNE

    Tous ceux qui de près ou de loin on contibué à mettre le pays sens de dessous dessus, on maintenant cette réalité pour s’en conaincre de leur bêtise. Quand le musucien ZDES cantait il y a de cela plus de dix ans je cite : les barbus frapent à nos portes. Mais jusqu’à ce que Blaise COMPAORE quitte le pouvoir ils ne sont pas rentés. Voilà juste son départ et ils ont pri place cela veut qu’il les mettrisait.

  • Le 4 avril 2019 à 22:51, par Sorbonne En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    #ceux qui s’est passé à ARBINDA ET ZOAGA est inacceptable #oui monsieur le ministre c’est totalement vrai. Ce qui s’est passé a YIRGOU est encore plus inacceptable ça aussi il faut le redire si ça avait été déjà dit et il faut reconnaître l’hésitation que les plus haute autorités ont eu avant même de condamner les massacres de Yirgou( certaines avait d’abord demander pardon aux présumés assassins). Tant que vous n’aurez pas le courage de d’appeler un chat un chat alors vos appels à la cohésion sociale risquent de ne pas franchir les murs de kossiam.

  • Le 5 avril 2019 à 00:02, par Un Burkinabê En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Monsieur le Ministre d’Etat, vous devriez démissionner.

  • Le 5 avril 2019 à 01:30, par Liberal En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Tout cela pour ca ? Quand celui qu’on appelle la solution demande des solutions par la voix de son ministre de l’administration territorial c’est que l’affaire est sérieuse. Nous allons droit vers un gouvernement d’union nationale et une plus grande inclusion pour sauver la nation ! Président Rock n’écouter plus ceux qui ont les discours haineux autour de vous l’heure est plus que grave.

    Les dirigeants en place sont en train de comprendre enfin qu’ils ne peuvent gouverner seule, sans les autres ! Le pays nous appartient tous et tous ensemble nous pouvons rétablir la situation actuelle. Le régime MPP doit se rappeler qu’il a gagner les élections avec 52%, il y’avait 48% d’électorat à conquérir. Après les chasses aux sorcières, les règlements de comptes et la grande détérioration du climat sociopolitique le régime MPP se rend compte qu’il faut l’union de tous les fils et filles du BF pour vaincre la situation actuelle ? Au moins il y’a des discours haineux de moins en moins, et les vuzezelas du MPP ont fini par se taire enfin ! Merci au président Rock pour cette prise de conscience, s’il continuait à écouter son MPP (qui en fait est un regroupement d’aigris, de revanchards, et un groupement des ennemis de BC) il allait continuer de foncer droit dans la boue. Que Dieu bénisse le BF. Vive la réconciliation nationale, vive l’union de tous les burkinabés ! Tous ensemble nous vaincrons !

  • Le 5 avril 2019 à 06:54, par A qui la faute ? En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Démission ! qui peut vous aider ? C’est qui qui touche des millions de francs et logé, nourri, blanchi pour ses compétences. Vous devriez être au dessus de la mêlée

  • Le 5 avril 2019 à 07:56, par TANGA En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Ainsi donc, les séparatistes commandés par l’Impérialisme ont réussi à semer la mauvaise graine sur nos sols ; LES CONFLITS COMMUNAUTAIRES.
    Ce ’est que par là qu’ils pouvaient espérer créer les problèmes.
    C’est à nous de ne pas laisser la mauvaise graine germer. Il faut un containment et en même temps un rool-back. C’est à dire qu’il faut contenir le phénomène pendant que nous le repoussons pour puis l’anéantir avec les voisins.
    Amadou KAAFRE (KOUFFA) n’attendait que ça pour revendiquer un pays. Il a été appuyé par nos ’’amis’’ de la logistique avancée, ils débarquent les assassins en milieu peulh et reviennent les chercher après les exactions qu’ils auront commis avec l’aide de leurs amis peulhs sur place. Automatiquement, il y a représailles et ce sont des innocents qui meurent. Leur pensée : Ne faut il pas casser des oeufs pour faire des omelettes ?
    Le fait que un pays créé ne sera pas viable ne nous regarde pas mais ce pays ira e guerre contre le Burkina et ou le Mali pour s’agrandir puis après contre le Niger. Cela se fera sur 15 ou 20 ans le temps que les Impérialistes se sucrent en livrant des armes. Nos trois pays (Burkina, Mali et Niger) feront la une des journaux comme pendant les famines au Soudan, Ethiopie etc... Ces gens là n’ont rien à faire de nous ! N’ont ils pas dis êtres prêts à utiliser la bombe si nous voulions quitter leur girons ?
    Alors, il nous faut : débarquer de petits groupes d’hommes légèrement armés de moyens vieux comme on ne peut pas avoir mieux (AK47, MAS 36 avec lunettes, FSA, G3 AA52 ...) dans chaque hameau, dès que ces hommes verrons un objet volant, qu’ils l’abattent et finissent avec les occupants de l’objet ; qu’ils finissent aussi avec les véhicules légers rapides (pouvant faire 200km/h) qui serons débarqués par X.
    On dit chez nous que celui qui tourne pour chercher oubli que celui qui est blotti le voie ; ainsi, étant inconnu fondu dans la masse, nos hommes pourrons détecter les mauvaises graines des villes et villages et des accidents peuvent arriver à tout le monde. Un malade peut aller se soigner et tracer deux jours après. Tout est possible vu que nous somme la cible de X qui ne veut pas que nous vivions. Bref.
    Tout le monde doit donner quelque chose pour l’effort de guerre maintenant.

  • Le 5 avril 2019 à 07:57, par sandokan En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Si le cas de Yirgou avait été bien géré, de tels cas n’allaient pas se reproduire. M. Le Ministre, quels sont ceux qui pouvaient nous aider depuis plus de trois ans que le terrorisme sévit et qui ne l’ont pas encore fait pour que vous en appeliez à eux ? Si vous refusez de vous assumer en prenant des décisions fortes là où il faut et ne le faites pas, qui va venir le faire avec une baguette magique à votre place ? On a pas besoin d’être un diplômé pour savoir que pour juguler les affrontements communautaires dans un contexte de terrorrisme il fallait restaurer de l’autorité de l’Etat par tous les moyens y compris par la force...de droit. A Yirgou, on a tergiversé et on continue de louvoyer parce qu’on ne veut pas avoir la chefferie ou les Koglweogo sur le dos. Voilà que l’histoire se repete et on crit à l’appel au secours ? Il faut être serieux.

  • Le 5 avril 2019 à 08:05, par Le petit En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Mr le ministre dites à ceux du Sahel qu’on ne pactisé pas avec le diable. La seule voie qui reste c’est de ne pas collaborer avec ces malfrats et de dénoncer les foyers djihadistes. C’est dommage, mais avec le temps, les sahéliens sauront que ces djihadistes sont des ulisionnistes. Comment des gens disent de ne pas enseigner la méthode des blancs et vous utilisez des armes des blancs pour tuer vos frères. En quoi une méthode islamique peut faire avancer un pays où le développer sans les autres connaissances ? Les musulmans seuls peuvent nous faire avancer dans ça. Ramasser nos talibets avec leurs maîtres coraniques aller mettre dans les pleines agricoles du Burkina et vous verrez que le Faso ira mieux. Certains intégristes pensent que cette situation va les arranger mais c,est faux. Il faudrait aussi que les présidents africains traqtent les malfrats qui sont des conseillers dans d,autres pays.

  • Le 5 avril 2019 à 08:30, par HUG En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Mon pays n’a jamais connu autant de malheur que sous la gouvernance du MPP et acolytes. Que DIEU nous vienne en aide. eN Janvier c’était YIRGOU et aucune arrestation, maintenant c’est ZOAGA et Arbinda et à chaque fois on sort dire on va faire des enquêtes. Songez maintenant à prévenir que de cherchez à guérir car les gouvernements responsables préviennent toujours et guerisent rarement

  • Le 5 avril 2019 à 08:44, par Bigbalè En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Malheureusement, il y a encore des Burkinabè qui n’ont pas compris que ce qui se passe n’a rien à voir avec le système de gouvernement du MPP. Yirgou, Zoaga, Arbinda,etc. c’est plus une façon de prendre en otage la vie du Burkina Faso et les forces obscures (Djihadistes et autres complices politiques locaux) s’en délectent à cœur joie. Quand le Burkinabè comprendra que son avenir est menacé, il réagira mais on espère que ce ne sera pas trop tard !! . Aucun gouvernement ne pourra placer un policier ou un gendarme par village, par concession et par ménage pour assurer leur sécurité. Au lieu de gueuler à longueur de journée contre Rock et son gouvernement, on a intérêt à nous défendre et défendre nos enfants !

  • Le 5 avril 2019 à 08:54, par Substance Grise En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Ce ministre Siméon Sawadogo qui a été Haut comissaire ; deputé ;gouverneur sous le regime CDP pendant près de 15 ans devrait à partir de son experience s’il y’a faire des propositions concretes au Président Rock Marc C Kaboré pour in apaisement du climat social
    C’est pour ça on vous dit depuis de ne pas regarder la couleur politique des uns et des autres mais de mettre les hommes et les femmes qu’il faut à la place qu’il faut
    Les gens continuent avec les mêmes mauvaises pratiques et comportements qu’ils ont eu pendant 27 ans avec Blaise Compaoré si non pire
    On mentira au Président Rock Marc comme on le faisait à Blaise Compaoré et le peuple qui n’a pas de voix observe de manière impuissante
    C’est pas forcement parce qu’on du parti au pouvoir ou de la majorité qu’on est un non exemple. On se connait tous dans ce pays et on connait le CV de chacun moralement et socialement.
    Alors tous que vous êtes pouvoir comme opposition reparez sans oublier ces hommes coutumieux et religieux vos erreurs pour que le Burkina existe après vous

  • Le 5 avril 2019 à 09:09, par Camarade Fousseni En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Yirgou, Zoaga, Arbinda=aux exécutions arbitraires. Regardez, à Yirgou, les Kogléwéogos ont réagit par vengeance ; ils ont poursuivi les peuples et ils les ont tuer avec leur simple conviction que ces derniers sont terroristes ou complices de terrorisme. L’autre côté, on est allé sur la base de la même conviction, réveiller des gens et les butter sommairement. Juste entre ces deux moments, un responsable du Pays, Magistrat et aussi Militaire, a fait une déclaration aux Kogléwéogos en leur laissant entendre que : les ennemis du gouvernement sont aussi les ennemis des Kogléwéogos et vis-versa. Comment et pourquoi ont continue à rêver sur une suite juridique sur Yirgou ? Mais, comme quelqu’un du MPP l’a dit, si tu n’est pas d’accord avec cette façon de tuer, tu est contre la nation. que Dieu nous donne 2020 en bonne santé pour chasser ces incompétents du pouvoir !

  • Le 5 avril 2019 à 09:17, par Bazèga Fils En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Bienvenue au Burkina, là où les paroles ne sont pas suivi d’actes et les promesses n’engage que les pauvres populations. Tout le temps il y’aura une enquête qui sera ouverte, mais il n’y a jamais de fermeture. C’est ce qui arrive lorsque nous sommes dirigés par des gens qui ne prennent pas au sérieux la république !

  • Le 5 avril 2019 à 09:45, par VP En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Moi VP, j’ai mes solutions que voici:Lorsque des évênements malheureux comme les massacres et les tueries sauvages de Yirgou, Arbinda, Nafona et autres localités surviennent, n’onobtant l’ouverture d’une enquête judiciaire et les mesures prises par l’Autorité, il y a surtout une enquête dite administrative afin de déceller les failles du dispositif et les erreurs de ceux chargé de faire éviter ces morts.Ceux qui sont commis aux tâches administratives et de sécurité doivent s’expliquer afin de situer leur dégré de négligeances et prendre des sanctions.
    Mais chez nous ici rien.Personne n’est inquiété.

  • Le 5 avril 2019 à 09:56, par HUG En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Le mal que nous vivons tire sa source du pouvoir du MPP. Nous savons qu’on ne peut pas mettre derrière chaque Burkinabè un gendarme ou un policier ou un militaire car dans aucun pays du monde cela ne s’est pas encore réalisé et ne se réalisera jamais. A yirgou, zoaga et arbinda il y avait des signes avant coureurs. La question qu’on est tentée de se poser est la suivante : En tant le premier garant de la sécurité des burkinabés qu’est ce que le pouvoir du MPP et acolytes ont fait pour déjouer ce qui est arrivé ? En prêtant serment qui a juré d’assurer la sécurité de tous les burkinabés ? Dites moi depuis ce jour est ce qu’une seule personne présumée d’avoir tué ses semblables a été arrêtée ? Pensez vous cela normal. On dira que la justice est indépendante mais quand on a une justice nonchalante il revient à l"exécutif de la rappeler à l’ordre. Mais on sort dire qu’on faire une enquête mais je parie que ces enquêtes ont une maigre chance d’aboutir. C’est normal car on ne fait pas du vieux avec du nouveau.

  • Le 5 avril 2019 à 10:52, par MOREBALLA En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Le déficit de communication au bénéfice de la communauté peul est un des facteurs à l’opposition de cette communauté au reste. Les terroristes ont utilisé à fond le repli identitaire, agrémenté à satiété par le maillon faible et commun à toutes les autres communautés qu’est la question foncière. La communauté peul est une entité de population sans terre, cela ne se discute pas. Les terroristes ont fait comprendre à nos chers peul, qu’eux ils sont la solution à leurs problèmes. Les décideurs ont fermé les yeux à l’image de l’autruche et faire une équation très simple et la laisser perdurer pour accoucher une équation à multiples inconnus doublés de paramètres plus que complexes. Il est utopique de s’armer d’arguments pour espérer la création d’un pays uniquement composé de peul et des dérivés peul, quelque soit le nom de référence que portera ce pays de la terre promise. Autant il urgent que l’armée sécurise les zones à forte peuplement peul, autant il est urgent de développer des canaux de communication adapté pour sensibiliser cette composante importe de notre nation que le projet de création d’une sous nation essentiellement peul est une utopie et à court terme entraînera un désastre au sein de cette communauté. Le son des canons doit être moins audible que la tonalité de la plénitude de la sagesse peul. Les masques doivent tombés, plus encore les allures religieux du terrorisme dans notre pays. Demain, il sera assez tard pour agir, c’est maintenant. Les affrontements dits communautaires de Yirgou et de Arbinda sont des indices minimes de ce qui pourra advenir dans d’autres contrés où il sera quasi impossible d’arrêter. Nous serions tous responsables de l’éclatement d’une guerre intra communautaire aux allures religieux en plus.

  • Le 5 avril 2019 à 10:57, par TANGA En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Il faut que l’on se réveil dans ce pays là.
    Qui vous a dit qu’il s’agit de djihad ?
    Ce sont de terroristes un point c’est tout. Ils utilisent tous les moyens pour brouiller toute chose pouvant mener à eux et pour éviter que la communauté internationale ne vienne avec de gros moyens pour les déloger et les éliminer.
    Ces terroristes là ont comme pour objectifs :
    - La destruction de la communauté musulman dans nos pays, si non comment expliquer que ce soient les imams, le mosquées et les musulmans qui sont les cibles favorites.
    - La division de nos pays
    - L’Exploitation de nos pays.
    Si nous convenons que c’est ça la vérité, nous arrivons au résultat suivant : Ce sont des touaregs et des peulhs qui veulent un ou des pays, ils sont appuyés par des djihadistes déchus en Syrie, Irack etc., Ils reçoivent des aides d’entités bandits aux armées de gueux dont l’intérêt est que nos pays bradent les concessions minières afin d’avoir de l’argent pour acheter des armes avec eux (leurs pays).

  • Le 5 avril 2019 à 12:55, par Yobi En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Mr le ministre, parmis ceux qui peuvent vous "appuyer" y a mdbhp. Mettez votre égo de côté et approchez-les. Eux au moins ils sont courageux et vous diront la vérité, même si ça va rougir vos yeux. Mr le ministre, je suis au sérieux !

  • Le 5 avril 2019 à 14:17, par shalom En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Bonjour. Je pense que la meilleure façon de faire face, c’est de prévenir. C’est entreprendre la sensibilisation des populations en milieu rural afin que lorsque des terroristes tuent des chefs, des responsables religieux etc., qu’elles ne se vengent pas. En se vengeant, elles aident les terroristes à atteindre leurs objectifs. Un des objectifs des terroristes est de créer le chaos afin plus tard d’occuper l’espace laissé vacant par les populations. Les terroristes cherchent à s’implanter, à occuper un territoire. La campagne de sensibilisation doit concerner toutes les communes rurales du Burkina Faso.

  • Le 5 avril 2019 à 14:32, par Maryse En réponse à : Conflits communautaires : \xab Nous demandons \xe0 tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire \xbb, d\xe9clare Sim\xe9on Sawadogo, ministre d\u2019Etat

    Un article paru, ce jour sur Net Afrique lève un coin de voile sur de présumés commanditaires et exécutants des exécutions sommaires et extrajudiciaires de Banh ! On comprend alors pourquoi, depuis le communiqué du gouvernement à la suite de la publication du rapport du MBDHP, promettant de revenir là dessus, c’est un silence sérieusement suspect, voire coupable. Ça urge de communiquer, car il semble que des partenaires d’appui du BURKINA attendent également, et même, commencent à vouloir se fâcher. Alors, éclairez nos lanternes avant d’appeler à l’aide !

  • Le 5 avril 2019 à 19:09, par mninda En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Vous verrez le gouvernement ne bougera pas d’un centimètre.Il attendra tranquillement qu’il y ait encore d’autres massacres communautaires dans une autre province ou région pour venir nous répéter les mêmes élucubrations de présentation de condoléances et autres balivernes aux familles éplorées et continuer comme si de rien n’était dans sa gouvernance mouta mouta sans état d’âme . Finalement on est vraiment tenté de se laisser convaincre que les dirigeants actuels du pays ont la poisse à moins qu’une malédiction ne se soit abattue sur le FASO

  • Le 5 avril 2019 à 19:19, par mninda En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Quelqu’un l’a déjà dit, ces propos du ministre Siméon SAWADOGO sont un aveu d’impuissance . Et lorsqu’on est un homme digne ,ayant le sens de l’honneur et qu’on en arrive à reconnaitre publiquement qu’une situation vous dépasse et dépasse vos capacités ,l’humilité qui a prévalu à la reconnaissance de cette incapacité devrait aussi se concrétiser par une démission de son poste de ministre d’Etat . A défaut, devant un tel aveu ,le président du Faso et son premier ministre devraient en tirer toutes les conséquences pour le dit ministre en le remplaçant à son poste . En tous cas , demain ,si la situation évolue de mal en pis ,personne ne devrait en vouloir à Siméon du moment qu’il a reconnu son incapacité devant l’ampleur de la mission à lui confiée ,mais à ses deux supérieurs qui doivent être tenus pour responsables de cette exacerbation de la dégradation du climat du vivre ensemble dans toutes les régions du pays .

  • Le 5 avril 2019 à 19:37, par TOERE En réponse à : Conflits communautaires : « Nous demandons à tous ceux qui peuvent nous appuyer, de le faire », déclare Siméon Sawadogo, ministre d’Etat

    Depuis que ces affrontements intercommunautaires ont commencé depuis YIRGOU ,quelle action réelle de sensibilisation a été entreprise à travers l’ensemble du territoire national auprès des populations pour les prémunir contre les pièges des terroristes . Qu’est-ce qui empêche le gouvernement d’organiser par exemple des tournées dans toutes les provinces ,voire dans toutes les communes du BURKINA FASO pour prôner les valeurs de la cohésion nationale,du vivre-ensemble ,les méfaits de la stigmatisation des autres etc.. On s’assoit tranquillement à OUAGA ,on élabore tranquillement un spot publicitaire oisif que beaucoup de ruraux ne peuvent voir à la télé ou comprendre car diffusé seulement dans les trois principales langues du pays , et on croit pouvoir résoudre une situation aussi surchauffée avec de telles moyens ? Il faut être un gouvernement de naïfs ou d’ignorants des réalités sociales de ce pays pour se comporter ainsi . Oubien ,ces fameux membres du gouvernement ont peur de descendre dans les provinces et communes . Regardez moi ces peureux comme ça ! KAI

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