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Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

Publié le jeudi 20 décembre 2018 à 11h00min

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Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

Accusé de trahison, de complicité d’attentat à la sûreté de l’Etat, de meurtres et de coups et blessures volontaires, le général Djibrill Bassolet a plaidé non-coupable devant le tribunal militaire de Ouagadougou. A l’audience de ce mercredi 19 décembre, sa défense a demandé au président Seidou Ouédraogo de surseoir à statuer car elle a introduit une demande d’inscription en faux contre un certain nombre d’actes dont deux rapports d’expertise et une prestation de serment. Elle a évoqué l’article 629 du Code de procédure pénale.

Les débats sur l’expertise téléphonique des supposées conversations téléphoniques entre le général Djibrill Bassolet et Guillaume Soro, le président du parlement ivoirien, refont surface. Tombées dans le domaine public le 13 novembre 2015 et remises sous scellé trois jours plus tard au juge, ces écoutes ont été expertisées par l’Allemand Hermann Künzel. Son rapport, versé dans le dossier depuis le 14 décembre 2016, foi des conseils de l’ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, a été falsifié par suppressions et rajouts de parties.

Cette thèse, ils l’ont toujours soutenue depuis l’instruction, la Chambre de contrôle jusqu’à la déposition devant la Chambre de première instance du tribunal militaire de Ouagadougou, où ils ont demandé au juge, ce mercredi, de surseoir à statuer car une plainte a été déposée au Tribunal de grande instance pour faux.

La pile de dossiers du putsch de septembre 2015

« Deux pas en avant et quatre pas en arrière »

« Pourquoi est-ce à la veille de l’interrogatoire de Bassolet que la défense se rend compte qu’il y a des pièces fausses dans le dossier ? On brandit à tout moment des éléments procéduraux pour arrêter le cours des choses », a déduit le parquet militaire en arguant que la défense aurait plutôt dû demander une contre-expertise pendant l’instruction, plutôt que de poser une plainte à l’étape des auditions. « L’article 629 du Code de procédure pénale qu’ils ont lu ne vous oblige pas à surseoir… On ne peut pas faire deux pas en avant et quatre pas en arrière et venir dire que c’est le parquet qui tourne en rond », a martelé le procureur.

Voici ce que dit le fameux article 629 brandi par la défense au cours de l’audience : « Si au cours d’une audience d’un tribunal ou de la Cour, une pièce de la procédure ou une pièce produite est arguée de faux, la juridiction décide, après avoir recueilli les observations du ministère public et des parties, s’il y a lieu, ou non, de surseoir jusqu’à ce qu’il ait été prononcé sur le faux par la juridiction compétente. Si l’action publique est éteinte ou ne peut être exercée du chef de faux, et s’il n’apparaît pas que celui qui a produit la pièce ait fait sciemment usage d’un faux, le tribunal ou la Cour saisi de l’action principale statue incidemment sur le caractère de la pièce prétendue entachée de faux ».

Me Bonkoungou Dieudonné

Les griefs de la défense

« Si nous faisons un débat de bonne foi, ce monsieur (Djibrill Bassolet) devant vous ne fera pas plus de trois heures à votre barre », a déclaré Me Dieudonné Bonkoungou. Il a fait remarquer que le dossier sur son client est « sale et souillé » et compte deux rapports. « Le premier a été ouvert en présence de l’accusé et de ses avocats et sur lequel des observations ont été formulées. Sans que personne ne le sache, lorsque la procédure a été close, nous avons vu dans le dossier un deuxième rapport, un acte de prestation de serment sans date. Cela ne nous a pas intrigués.

Mais ce qui nous a interpellés, c’est que dans le premier rapport, il est écrit ‘repris par l’expert… ’. Et on nous a renvoyés à une côte. Nous y sommes allés et les références n’étaient pas exactes. Nous avons interpellé le greffier qui nous a dit de voir une autre référence qui contient le nouveau rapport. Aux pages 4 et 12, un des éléments de critique de M. Bassolet a été corrigé », a expliqué Me Bonkoungou. Et de poursuivre : « Aussi, à la page 12, la signature de l’expert est différente de celle usuellement apposée par l’expert sur d’autres actes.

Ce qui est davantage curieux, c’est que la prestation de serment qui est intervenue bien après et qui devait au moins contenir la même signature que celle apposée dans le dernier rapport, est aussi différente, mais ressemble à celle précédente apposée sur d’autres documents ». L’avocat et ses collègues de la défense pensent, en attente de confirmation, que l’expert a dû reprendre son rapport « pour purger les vices et le rendre valable ». « Ce n’est admissible ni en procédure pénale, ni en procédure civile », a-t-il martelé.

Un raisonnement par analogie qui ne passe pas

A défaut d’appliquer l’article 629 du Code de procédure pénale, la défense a demandé au président du tribunal d’écarter la pièce. Tel est le raisonnement par analogie fait par Me Bonkoungou, suivant l’article 158 du Code de procédure civile qui dit que « si l’une des parties dénie l’écriture ou la signature qui lui est attribuée, ou déclare ne pas reconnaître celle qui est attribuée à un tiers, le juge vérifie l’écrit contesté à moins qu’il ne puisse statuer sans en tenir compte. Lorsque l’écrit contesté n’est relatif qu’à certains chefs de la demande, il peut être statué sur les autres ».

Pour Me Prosper Farama de la partie civile, l’évocation du Code de procédure civile ne tient pas comme base légale car l’inscription en faux et la vérification d’écriture sont deux choses différentes. « A cette allure, on va évoquer le Code du commerce pour juger des gens dans ce tribunal », ironisera-t-il.

Sortie des avocats en fin d’audience (Photo d’archives)


Suspension de plus de deux semaines

Son collègue, Me Guy Hervé Kam de la partie civile, a rappelé que toutes les irrégularités contre le rapport d’expertise ont pourtant été soulevées par la défense de l’accusé et tranchées par les juges au niveau de la Chambre de contrôle. « Ce rapport d’expertise est juridiquement irréversible », a-t-il soutenu.

Si dans le dossier, il ressort que l’expert allemand a démissionné du fait des pressions du ministère des Affaires étrangères de son pays qui craignait des brouilles diplomatiques, Me Guy Hervé Kam a par ailleurs avancé qu’il y a certainement eu une pression également de la part de certaines personnes qui ont envoyé à l’expert Künzel, la copie du rapport de l’expert privé de la défense de Bassolet.

La décision du président du tribunal est attendue le vendredi 21 décembre 2018 à 10h. Ce dernier prévoit également de se prononcer sur la demande de mise en liberté provisoire de l’accusée Minata Guelwaré. Et au regard des fêtes de fin d’année et à la demande des différentes parties au procès, le président du tribunal a décidé d’une suspension du procès à compter du vendredi, jusqu’au lundi 7 janvier 2019.

HFB
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Vos commentaires

  • Le 20 décembre 2018 à 03:05, par Ahmed En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

    Les procédures ne disculpent pas Mr Bassolet. Des vrais faux documents de santé ont circulé pour dire que Djibril est mourant. Il fallait forcément l’évaluer. Des marcheurs sans connaître le fond du dossier sont sortis pour demander sa libération. Avançons. Il n’y a plus d’échappatoire. Ou les experts devraient déposer leurs signatures pour que maître Bonkoungou constate l’authenticité des documents d’expertises des écoutes téléphoniques ? Pourquoi revenir sur des évidences ? Tout le monde sait que c’est lui Bassolet et Soro qui conversaient pour un plan de réussite du coup d’État. Creusant le fond pour situer sa responsabilité

    • Le 20 décembre 2018 à 09:10, par Mogdrekindé En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

      Dès l’annonce du début de l’interrogatoire de cet inculpé (Général de Bassole) avait d’ores et déjà et ce, avant le commencement des débats, entrevu des "manœuvres probables" de la part de ce Monsieur avec bien entendu, sa Défense pour que les choses n’évoluent pas, n’avancent pas. Et cela, en connaissance des choses.
      Ce Monsieur (Général de Bassole) accepte la présence à ses côtés des Avocats parce que les procédures en matière de Procès criminels lui imposent d’avoir une défense. Autrement, il n’en a vraiment pas besoin et because ? i)-éminent juriste de formation avant d’être un Pandore, il est à la base, un Juge militaire qui sait ce qu’il dit, ce qu’il fait et surtout comment faire pour tordre le cou à la vérité ; ii)-connu pour ses jongleries et ses mouta-mouta, il sait comment renverser les choses et compliquer par des, des et des (.....) et s’en sortir, même s’il faut enfoncer, sacrifier quelqu’un.
      La vie de quelqu’un/des autres n’est absolument rien pour lui ; l’essentiel pour lui restant d’avancer, avancer et atteindre ses objectifs nonobstant l’apparition de "victimes" ; victimes qu’il aime à qualifier de "Victimes collatérales".
      C’est pourquoi, nous inviterons tous les burkinabé à une très grande vigilance quant aux écoutes, aux déclarations, aux analyses et appréciations qui se distilleront des débats et surtout des résultats qui en sortiront. Même pas une virgule, un point-virgule ou encore un point ne devrait être occulté car, ce Monsieur est fortement connu pour ses arts de manipulations, d’embrouillages des opinions publics et surtout de tromper. Il faut donc faire "très attention" à ses déclarations, à celles de sa Défense et surtout du Ministère Public (Parquet) car ce Monsieur est capable d’organiser et compter sur une "complicité" imprévue qu’il tissera et attendra de ses Cadets et Subordonnées hiérarchiques aujourd’hui chargés de le juger. Il est très dangereux et vraiment très dangereux.

    • Le 20 décembre 2018 à 19:39, par Komyianga En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

      Dans un pays sérieux, Bassolé n’aurait même pas à passer 3 jours en garde-à -vue à plus forte raison se retrouver devant ce tribunal de Bricolage. C’est un abus et des gens paieront pour ce montage. Ils peuvent continuer à se la couler douce en attendant leur tour.

  • Le 20 décembre 2018 à 07:24, par Mafoi En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

    On n’avait pas besoin de perdre son temps avec un expert allemand pour ça.Est-ce que ce putschiste conteste aussi l’autre bande sonore où il conversait,fanfaronnait avec dame Rebecca la Togolaise ?En tout cas elle au moins,a des couilles dures puisqu’elle se reconnait dans cette bande sonore

  • Le 20 décembre 2018 à 08:13, par La cité En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

    Le peuple burkinabè a maintenant une idée claire de ce qu’est la Justice militaire d’une part et d’autre part ce que c’est la justice à double vitesse.
    1) Après plusieurs mois de procès, le tribunal n’a pas réussi à éclairer le peuple burkinabè sur les commanditaires du putsch manqué.
    2) le putsch serait intervenu suite à un mouvement spontané de révolte des soldats du RSP qui pendant longtemps ont été acculés par l’aile militaire de la Transition (dirigée par le Lieutenant Colonnel ZIDA et des oscs telles que le "Balai Citoyen", le CAR, l’osc de Tankoano, le MPRESCA et bien d’autres.
    3) Toute la hiérarchie militaire a validé l’arrestation des autorités de la Transition. Elle a donné une orientation de créer un organe politique pour gérer la situation et éviter la vacance du pouvoir étant donné que tous les organes de la transition étaient inconstitutionnels.
    4) L’instruction du procès a été faite entièrement à charge par le juge d’instruction qui a respecté les désidérata de l’aile militaire de la transition qui voulait broyer du RSP.
    5) Le Directeur du Tribunal militaire a passé un marché frauduleux à un information qui a travaillé sur instruction et a réussi à falsifié l’historique et le contenu des écoutes et sms des téléphones avec loisir.
    6) Un regroupement de partis politiques et d’osc dits de la "résistance" étaient à pied d’oeuvre pour causer de nombreuses victimes parmi les enfants dans le but de mettre cela sur le dos du RSP. Une liste des membres avec les numéros de contacts existent. Bien que le contenu de nature criminel de leur procès verbal de réunion existe, le juge d’instruction a refusé d’investiguer sur cette piste. La victime désignée est toute trouvée.
    7) Le procès a révélé la grandeur d’un homme d’Etat : le Général Juilbert Diendiéré
    8) Ce procès va affaiblir le commandement de notre armée.
    9) Au delà de ce procès, le peuple burkinabè a besoin d’une véritable réconciliation. Les autorités actuelles n’ont pas cette grandeur d’homme d’Etat pour enclencher cette réconciliation.

  • Le 20 décembre 2018 à 08:46, par yat En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

    Cette affaire est tellement sérieuse que les acteurs devraient se mettre eux même au sérieux. Comment un document d’expertise peut avoir deux signatures différents. Respectez un peu le peuple qui a souffert pendant le coup d’état !!

  • Le 20 décembre 2018 à 09:12, par Maam En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

    La storia infinità (L’Histoire sans fin) ; c’est cette histoire d’écoutes téléphonique.
    Il faudra se mettre d’accord (les deux parties) pour dire que c’est authentique ou que ça ne l’est pas ; c’est tout. C’est comme cela par ce que de nos jours avec les nouvelles technologies, tout est possible. On peut fabriquer du n’importe quoi avec la voix de n’importe qui. Ce qui ne veut pas dire que les gens ne peuvent pas faire des bêtises aussi.

    • Le 20 décembre 2018 à 10:12, par Burkindbila En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

      Effectivement les vrais Burkinabè savent faire la différence entre une vérité et un mensonge tendant à disculper une personne par un acte volontaire ou involontaire tuer des personnes humaines.
      On n’a pas besoin d’un avocat pour montrer cela aux vrais Burkinabè car comme le dit la citation : "On ne nait pas avocat, on le devient" Vous comprenez cela quand même ?

  • Le 20 décembre 2018 à 09:42, par Le Duc du Yatenga Nouveau En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

    En tant que Duc, je prononce les verdicts par étape. A cette étape Djibi est condamné à 15 ans de réclusion criminelle pour ce que ses avocats sont en train de raconter. Nous nous retrouverons à la reprise, nom d’un Duc !

    • Le 20 décembre 2018 à 15:30, par Diallo En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

      Juste pour comprendre ;
      On l’accuse de quoi ? le coup d’état ?. les écoutes ? Si ce sont les écoutes, sont-elles authentiques ? ne sont-elles pas authentiques ?
      Oui bien il y a le doute.
      Quelles sont les conclusions de l’expert ?
      Sur le plan juridique, j’ai compris que si le doute existe, alors, on fait quoi........

      Qu’on s’en tienne au droit burkinabe et à ses regles. Sans quoi, ce sera des foires a zele, pour avoir bien manger, ou en attente du gombo qui tombera.

      Un profane en droit scientifique.

  • Le 20 décembre 2018 à 10:11, par issa En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

    INTERNAUTE NUMÉRO 2 LA CITE/RELIS TOI MÊME TON ÉCRIT ET REVOIS TES INCOHÉRENCES:morceau choisie :

    Toute la hiérarchie militaire a validé l’arrestation des autorités de la Transition. Elle a donné une orientation de créer un organe politique pour gérer la situation et éviter la vacance du pouvoir étant donné que tous les organes de la transition étaient inconstitutionnels.
    DONC C’EST VOTRE COUP D’ÉTAT QUI EST CONSTITUTIONNELLE ? PATHÉTIQUE !

  • Le 20 décembre 2018 à 10:19, par Achille De TAPSOBA En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

    HOMMAGE A NOS MARTYRS du 30, 31 Octobre 2014 et 16,17 Septembre 2015

    Personne ne doute de l’authenticité des écoutes téléphoniques sauf si on est de mauvaise foi. "Ange" Djibril homme très saint et sans le moindre péché, lors de l’instruction, a reconnu formellement avoir eu des conversations téléphoniques avec le rebelle Soro. En rappel, dans la précipitation, Soro et "ange" Djibril ont fait un faux montage audio pour brouiller évidemment les pistes en avançant la thèse que c’est la version originale des écoutes téléphoniques, ils ont fait chou. blanc. Soro étant faux et "ange" Djibril étant faux depuis le PM Kadiogo naturellement ils vont toujours faire du faux toutes leurs vies pour atteindre la gloire. 1er échec

    Le deuxièmement mensonge orchestré urbi et orbi par son camp est son état de santé.Depuis 2015, "ange" Djibril est bien vivant et bien portant et nous lui souhaitons longue vie pour répondre aux crimes devant les juges qu’il a commis en tant que le cerveau du putsch. En nous faisant croire que son état de santé nécessite d’urgence une évacuation à l’extérieur,les pèlerins de l’impunité(nafa et les franc-maçons) voulaient subtilement soustraire "ange" Djibril de la justice. Les juges ont vite compris le plan machiavélique de ses partisans. 2è échec.

    Enfin, des témoignages viennent accabler davantage "ange" Djibril. Certains officiers ont été contactés par le "putschologue" Djibril pour prêter main forte au rsp en difficulté. Ces derniers ont fait des aveux devant le juge.

    Comme "ange" Djibril est un grand abonné de la manipulation et de la ruse, il a engagé des mercenaires de la plume(juristes, avocats, journalistes,franc maçons...) pour le faire sortir des griffes de la justice car la bataille médiatique est l’enjeu important dans un procès. Pour cela, il s’est invariablement lancé avec ses mercenaires et ses évangélistes de l’impunité dans une course folle de la guerre de communication sur les médias(faso.net,Rfi,France 24...)sans visiblement succès.

    Après le fleuve de mensonges du monstre froid Dienderé sur la ZIDAPHOBIE, nous assisterons doucement un barrage de mensonges de "ange" Djibril. L’ami des djihadistes "ange" Djibril avait la boulimie du pouvoir après la fuite de son mentor Blaise Kouassi Compaoré, du coup, il a utilisé son "général" vaurien Dienderé comme lui-même l’a qualifié pour faire le putsch le plus bête du monde.

    Nous sommes désolés, avec un cœur sidéré, de voir au BURKINA que nous avons des "généraux" félons affairistes assassins et trafiquants d’armes dans les pays en guerre qui tuent les PAUVRES ENFANTS du pays pour vouloir accéder au pouvoir pendant qu’en France ce sont de braves militaires à l’instar lieutenant-colonel Arnaud Beltrame,(Héros et Martyrs),sorti major de de sa promotion à la gendarmerie à Saint-Cyr en 1999, qui s’était proposé comme otage auprès d’un jihadiste pour avoir sauvé des vies. Jamais la France n’oubliera son héroïsme, sa bravoure, son sacrifice.

    Nous ne marchandons pas avec les apôtres de l’impunité. Le Brave Peuple veillera naturellement à ce que les grands criminels ne courent pas dans la nature en se moquant des familles des MARTYRS et du BRAVE PEUPLE. Pas de prime pour l’impunité,la loi s’applique à tout Burkinabé.

    LA VÉRITÉ TRIOMPHERA SUR LE MAL OU L’IMPUNITÉ(le mensonge) UN JOUR

    A NOS MARTYRS QU’ILS SE REPOSENT EN PAIX. QUE JUSTICE LEUR SOIT RENDUE RAPIDEMENT

    JUSTICE POUR NORBERT ZONGO
    JUSTICE POUR THOMAS SANKARA
    JUSTICE POUR SALIFOU NEBIE
    JUSTICE POUR DAVID OUEDRAOGO
    JUSTICE POUR DABO BOUKARY

    QUE LE SEIGNEUR BÉNISSE LE BURKINA QUE NOUS AIMONS TOUS.AMEN
    PAIX ET SUCCÈS A TOUS LES BURKINABÉS . AMEN

    ACHILLE DE TAPSOBA LE BOBOLAIS (pur produit de Thom SANK et de Norbert ZONGO)

  • Le 20 décembre 2018 à 10:37, par Ka En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

    Comme je le disais dans une de mes critiques fondées, la dernière acte des interrogatoires des juges du tribunal militaire aux deux manipulateurs de l’histoire du régime Compaoré commencent à prendre fin avec un faux général de la gendarmerie fabriqué et récompensé par ce qu’il a étouffer l’affaire Norbert Zongo et David Ouédraogo pour une famille sadique nommé Compaoré. Mais comme disait un internaute de bonne foi sur ce forum, on ne rase pas facilement la tête d’un honorable avocat albinos ou celle d’un Nabiiga comme moi, d’un collectif qui luttaient pour l’injustice et l’impunité des crimes crapuleux pour montrer a la télé, sans des conséquences divines.

    Les trois coups de l’ouverture des rideaux du théâtre de la salle des banquets a été faites mercredi matin avec un acteur menteur qui se disait homme fort de la gendarmerie nationale Burkinabé, mais manipulateurs et peureux de notre service de défense durant 30 ans. Je reconfirme comme je l’avais déjà dit, que les mensonges, les ruses pour berner les juges et le peuple Burkinabé vont s’abattre comme une pluie torrentielle sur cette dernière acte d’un jugement teste pour un nouveau Burkina démocratique attendu par un peuple averti.

    Déjà les premiers jours de ce jugement tant attendu, tous les officiers du RSP y compris leur responsable poltron général, sauf l’adjudant Jean Florent Nion un vrais soldat qui a assumé ses actes, tous les autres ont décliné leur responsabilité dans ce coup d’état minable qui a causé des morts : Et voilà qu’un manipulateur né, et faux général de la gendarmerie, remette tous les prétextes pour refuser de se remettre en cause, en voulant trouver des droits juridiques bidons et vides pour sauver sa peau. Quelle honte d’accuser les autres de ses propres bêtises, et confier l’argent volé du peuple Burkinabé a des avocats afin que ces derniers se goinfrer insolemment, et donner des leçons de droit aux juges militaire et au peuple Burkinabé meurtri ?

    Il est temps que nos honorables juges fassent savoir a Djibril Bassolé le manipulateur et malade imaginaires avec ses avocats nourris par l’argent volé de l’état Burkinabé, qu’il faut cesser de prendre les parents des victimes et le peuple Burkinabé pour des idiots et des aveugles : Le jour et la nuit ne sont pas à comparer. Il en est de même entre le diable et l’ange, entre un manipulateur criminel faux général et un honnête citoyen lambda. Car, après avoir avec son introverti mentor tué et pillé leur propre pays pour s’enrichir, on veut maintenant être un ange et un donneur de leçon de droit pour sauver sa peau. C’est seulement en Afrique que cette espèce humaine peut être, et pouvoir manipuler des juges dans une salle de tribunal devenue une salle de théâtre nationale pour faire tarauder les parents des victimes.

    • Le 20 décembre 2018 à 13:42, par Zine’fils En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

      Je trouve beaucoup de plaisirs à lire les internautes, leurs analyses sur les sujets de l’actualites en particulier m.ka. Cependant un mot me tracasse à chaque fois que je vous lis le mot "mes critiques fondées" semble être une auto appréciation qui à mon sens dénature le post.très paternel

      • Le 20 décembre 2018 à 16:00, par Ka En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

        Merci Zine’fils de me lire : Ta remarque mérite un mot de part. Si souvent je répète ma critique fondée ou mon auto critique qui est rare dans ce forum puisque je ne réponds pas aux internautes de mauvaise foi comme cet internaute de multiples pseudos ‘’’Vérité vraie’’’ qui me suive comme une mouche, mes critiques sont rarement taxés ou contester par les internautes de bonne foi. Si une de mes critique aura été contredite par une ou un internaute de bonne foi sans plusieurs pseudos pour berner le monde comme ce dernier dit fausse Vérité pour saboter mes critiques, je ne répèterai pas ma critique fondée de telle analyse. Cher internaute de bonne foi Zine’fils comprend moi, car, dans le forum de Lefaso.net, lorsque tu es honnêtes et tu dénonces ce qui est réel et véridique, il se trouve des idiots pour te dénigrer gratuitement sans même comprendre ce que tu dis. Encore une fois merci de me lire, et surtout continu pour t’enrichir de la vérité du vieux Ka.

  • Le 20 décembre 2018 à 11:48, par Vérité vraie En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

    Ka, voilà ton vrai visage (ta tête a été rasée pendant le long règne de Blaise Compaoré) Donc je comprends maintenant pourquoi tu es dans la revanche et la haine et "kiffré", tu ne veux pas pardonner. Le Tribunal Militaire n’est pas dans cette logique et c’est tant mieux !

    Pour s’en tenir à la vérité pure selon les préceptes de Dieu qui inspire les hommes de loi comme le Tribunal Militaire, tout le monde sait que le Général DIENDERE a été mis devant le fait accompli après le coup de force de quelques sous-officiers et officiers du RSP (manipulés par qui ? mystère et boule de gomme).

    Devant ce fait accompli, le Général DIENDERE a consulté et voulu impliquer la hiérarchie militaire et les sages qui lui ont dit, peut-être par peur de représailles par la bouche de son éminence Monseigneur Paul OUEDRAOGO : "le pouvoir est vacant...prenez donc vos responsabilités...".

    C’est à partir de cette déclaration faite devant la hiérarchie et le conseil des sages, que le Général Gilbert DIENDERE a pris la tête des événements avec le CND. La suite du film, tout le monde l’a vu soit à la télé soit à travers les journaux. Ne venez donc pas nous inventer d’autres mensonges parce que vous avez la haine du Général DIENDERE qui ne vous a rien fait dans le seul but de nous perdre en conjecture et distraire parallèlement le peuple.

    Donc, ne venez pas nous dire que le Général DIENDERE a organisé, planifié et perpétré un coup d’Etat. C’est ARCHI-FAUX et contraire à la vérité que le peuple burkinabè veut, à tout prix, savoir. C’est légitime. Du reste, le Tribunal Militaire connaît déjà cette vérité...et c’est tant mieux. Reste à voir si les politiciens ne vont pas influencer ce Tribunal ? Sinon le Tribunal sait tout ce qui s’est effectivement passé de A à Z.

    Voyez-vous, la justice même terrestre ne peut pas être comparée aux rumeurs et calomnies de certains internautes revanchards, malveillants et méchants gratuitement comme ce monsieur Ka qui baigne dans son caca depuis qu’il est sur ce forum. Quelle que soit la longueur de la nuit, le jour finit toujours par se lever avec son soleil ardent.

    Merci au Général Gilbert DIENDERE d’avoir dit strictement la vérité, n’en déplaise aux oisillons de mauvaise augure comme Ka, l’éternel haineux devant Dieu qui répondra bientôt de l’ensemble de ses oeuvres sur ce forum devant Dieu le Père Tout Puissant. Là il ne fera plus le malin, car le diable sera prêt pour l’accueillir en enfer. Mais qui suis-je pour juger KA pour ses malfaisances sur ce forum ? Il faut laisser cette tâche facile à Dieu.

    • Le 20 décembre 2018 à 14:14, par Tilaï En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

      "Vérité vraie", tu t’en prends à Ka pour un rien :
      - Un Général mis devant les faits accomplis par des soldats (ses subalternes) est-il obligé d’accompagner ces derniers dans une telle aventure contre son propre pays ?
      - Le péché ultime de tes 2 félons de généraux est d’avoir tourné dos au peuple burkinabè au moment où celui-ci avait besoin de leur autorité.
      Mon cher "Vérité vraie", vas soigner tes blessures de guerre et laisse-nous aussi panser nos plaies encore béantes !

    • Le 20 décembre 2018 à 14:40, par Mafoi En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

      @Vérité vraie,malheureusement tu t’es réveillé trop tard pour raconter tes vérités mensongères mais elles ne prendront jamais puisque l’audition de ton général en carton est terminée en attendant les confrontations avec les témoins.Maintenant on est avec l’autre général en plastique qui se croit le plus intelligent de la planète et c’est de ce que @Ka et aussi @Achille De TAPSOBA ont tenté de mettre en lumière sa roublardise,son cynisme alors que sans le connaitre en profondeur,il représente le gendre parfait.Parce que cette vérité qui ne souffre d’aucune contestation ne te plait pas,tu te mets à divaguer comme ton général en plastique pour divertir les esprits fragiles ou les prostitué(e)s sans pudeur qui te croiront certainement mais pas la majorité des lucides sur ce forum.Alors pour resituer le débat du jour,la conversation téléphonique de ce général en plastique avec le rebelle soro est-elle authentique oui ou non.La réponse est OUI....OUI...OUI.........et 1000 fois OUI.D’ailleurs tu peux toujours aller l’écouter sur Youtube et une autre conversation avec la maîtresse de l’autre criminel faure gnassingbé qui a au moins eu le courage de reconnaître authenticité de la conversation contrairement à cette couille molle qui use de tous les subterfuges pour se tirer d’affaire et il se dit général.Un général qui se fait mener par le bout du nez par un civil bien que rebelle mais qui ne sait même pas démonter une kalach.C’est tout simplement pathétique

    • Le 20 décembre 2018 à 16:14, par Sawad En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet

      Vérité vraie, votre pseudonyme interpelle plus d’une personne. C’est présomptueux. Le scénario du putsch que vous avez relaté est une hypothèse parmi tant d’autres. DIENDERE pourrait avoir été mis effectivement devant le fait accompli par ses sous-officiers mais quand il le fait savoir à la hiérarchie, le coup d’État était déjà "consommé". Des lors que le president est arrêté , il ya coup d’État. Que peut faire la hiérarchie militaire, si ce n’est être en apparence, complaisant avec les putschistes ?. Et qui vous dit que la hiérarchie militaire a reellement cru Diendere ? Et il ya mille et une raisons pour qu’elle ne donne aucun credit aux propos du general. Souvenez-vous, que Blaise et Diendere ont affirmé par le passé, la meme chose lors des tueries du 15 octobre. Si en plus, le colonel major KIERE, dit avoir eu peur des éléments du RSP (ses propres chiens enragés ), il est normal que les chefs militaires aient eu également peur et adopté une attitude attentiste. Le 27 octobre 87, les aînés pourront vous dire ce qu’il est advenu à la BIA du lion du boulkiembde pour s’etre opposé verbalement au carnage du 15 octobre. Koudougou a été martyrisé pour ça . Si les chefs militaires etaient tant conciliants comme vous le suggérez, dites moi alors pourquoi ni la gendarmerie, ni la police, ont contribué au maintien de l’ordre ? Le RSP était bien isolé.
      SAWADOGO

  • Le 20 décembre 2018 à 12:51, par Nabiiga En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Face à cette polémique sur des questions procédurales de la défense de l’autre soi-disant général, et le fait de n’avoir pas eu une seule personne parmi les accusés pour admettre son rôle dans le coup d’état, que tout le monde rentre ; c’est fini. Il n’y a pas eu de coup d’état, rien ne s’est passé au Burkina surtout, il n’y a pas eu de morts encore moins des blessés. La destruction des biens, on n’en parle même pas. Rentrez chez vous.

    Qui aurait cru que ceux qui nous terrorisaient, nous volaient en plein jour, nous traumatisaient et pour qui le Burkinabè fut un terrain conquis, étaient des peureux à commencer par Gilbert et ses milices appelés abusivement des commandos. Si autant que les écoutes téléphoniques avec Soro, (l’autre bandit et égoïste dont les ivoiriens sont aux prise avec) est sujet de débat sur leurs admissibilités, que dit-on des autres écoutes téléphoniques avec les autres tels les togolais et la hiérarchie militaire ivoirienne. S’il faut écarter les premières pour des raisons de procédure, autant écarter toutes les écoutes téléphoniques du dossier et conduire Gibril chez lui tout bonnement comme un roi. Qu’il y ait même des dénégations à ce procès, offensent déjà lambda burkinabè.

  • Le 20 décembre 2018 à 13:41, par Le vigilant du Sahel En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Cette histoire des écoutes téléphoniques est assise sur des bases nébuleuses. En effet, en écartant Guillaume SORO, je ne vois pas comment on pourrait confondre Le Général Gendarme dans ce dossier ? La justice bourgeoise est faite pour les tenants du pouvoir et pour les riches. Les avocats le savent et jouent très bien le jeu. Aucune vérité ne sera dite. C’est très clair Le comble c’est que nos maigres ressources sont utilisées pour écouter des mensonges de haut niveau. La preuve, peut-on s’attendre à ce que les petits délinquants qui croupissent à la MACO pour des pécatilles aient cette faveur d’être jugés avec toutes les commodités qui sied.? Au départ il y’avait l’injustice, à l’arrivée il y’aura l’injustice.

  • Le 20 décembre 2018 à 15:08, par Tilade Sina En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Bjr à tous, sans parti pris :
    1/ Gilbert en tant que Patron aurait dû dire à ces officiers et sous officiers qui l’ont mis devant les faits accomplis de libérer immédiatement les otages.
    2/ Donc Gilbert ment en disant qu’il a fait le coup parce que Zida voulait faire un coup d’etat.?
    A mon humble avis nous devons jouer notre ballon à terre et essayer de comprendre certaines choses pour une véritable réconciliation. C’est vrai les hommes sont morts mais n’ en tuons plus.

  • Le 20 décembre 2018 à 16:17, par Ahmed En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Le vigilant du Sahel. Certainement que vous n’avez pas écouté les conversations de Djibril et Soro . vous aurez compris pourquoi les avocats de Bassolet se battent pour faire retirer les bandes sonores de la trahison. A côté il y a un entretien avec une certaine REBECCA au Togo qui par honnêteté à reconnu les faits. Dans le procès vous saurez que c’est DJIBRIL BASSOLET qui est le véritable cerveau du coup d’État. Sur sa page Facebook il avait dit qu’il sera candidat mais pas en 2020 mais en 2015. C’est sur quelle base ? Le pauvre Gilbert s’est laissé piégé par une rancune contre Zida qui a refusé de jouer leur jeu. vous verrez

  • Le 20 décembre 2018 à 16:51, par Bougoumbarga En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Aux Avocats de la Défense du Général Bassolet (Me Bonkoungou et sonsort) ! Sans en être surpris de vos comportements par devant ce Tribunal où votre client se trouve et doit répondre de ce qui lui est reproché, parce que simplement beaucoup de personnes (lecteurs, internautes et même celles présentes dans la Salle d’audience) conviennent des délations que vous ferez pour, non seulement divertir le Tribunal et le peuple, mais aussi et surtout chercher à extirper votre client dans ce sable mouvent qui le retient bien pour une future prison, nous venons par la présente vous suggérer d’arrêter de "frapper sous la ceinture" (langage emprunté au Procureur Zanré pour laisser avancer les choses. Nous vous invitons à ce titre de vous comporter en tant que vrais Pros de la défense, mais aussi en vrais intellos. Vos débuts commencent par bien faire avec vos délations du genre des "faux documents" qui sont apparus dans le dossier d’Instruction et ce, à posteriori comme si vous ne disposiez pas de ces documents par vous qualifiés de faux avant le passage de votre client à la barre. Mieux ! à lire les déclarations du Parquet, il ressort que ce sujet de Rapports sur les écoutes téléphoniques dont les contenus sont reprochés à votre client avaient été déjà traité par la Chambre de Contrôle qui avait vidé déjà, un délibéré, délibéré que vous n’avez pas contesté jusque-là.

    Particulièrement à Me Bonkoungou, nous nous autorisons de vous inviter à plus de discernement dans vos comportements, actions et déclarations dans cette Affaire de Putsch manqué dans laquelle votre ami et client s’y trouve embourbé car, on vous connait assez et on connait les deals que vous aviez faits avec lui de par le passé. Ex. Affaire Or de Carletti et consort. Si on n’en a jamais parlé c’est que d’une part, il s’est agis d’une affaire de commerce frauduleux engagé par un étranger sur notre territoire, même s’il y a laissé des plumes (sommes d’argent à lui, par vous et vos camarades dont ...., escroquées) et d’autre part, parce que votre "homme" très puissant à l’époque était capable des pires actions possibles pour faire taire des témoins potentiels.

    Alors s’il vous plait, nous vous demanderons de vous tenir à carreaux pour laisser le procès se dérouler correctement et convenablement sans inquiétudes car, comme vous le savez bien, le peuple burkinabé et clément et magnanime. Si au sortir des débats, preuves et justifications à l’appui il ressort qu’il est clean, votre client en sortira libre pour attaquer le porc au four, spécialité de sa région avec tout le monde. En vrai ami.....

  • Le 20 décembre 2018 à 16:56, par MX En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Un avocat c’est capable de remettre en cause l’existence du soleil ( c’est le reflet d’un objet non identifié dû au rayonnement d’un centre de luminosité non identifié parcourant un environnement semé de particules on identifiables). Méfiez vous toujours d’un homme qui s’habille avec une robe ! Et la robe est noire en plus !Quand est ce qu’on va où pour trouver la vérité ?

  • Le 20 décembre 2018 à 18:37, par Ka En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Mes chers amis internautes de bonne foi ’’Mafoi Tilaï et Sawad : Comme je le dis très souvent, l’extrémisme de ‘’’Vérité vraie,’’’ mais une fausse personne exprime la pensée de celui qui n’admet pas qu’on lui oppose une autre manière de penser. Je n’ai rien contre Djibril Bassolé, car il ne mérite ni ma haine, ni ma reconnaissance : Car, tous les êtres humains de ce monde ne se ressemblent pas, comme ceux qui ont choisi le pouvoir pour gouverner, sont divisé en deux catégorie : ‘’’La première catégorie comme Mandela, Thomas Sankara, Obama, Lumumba, et tant d’autres qui ont choisi de gouverner avec le peuple dans la loyauté et d’un idéal pour le développement et l’émergence de leur pays : Et la deuxième catégorie des gouvernants sanguinaires comme Blaise Compaoré, Diendéré Gilbert, Djibril Basdolé et d’autres, qui ont décidé de tuer leur peuple et gouverner sans partage, dont personne ne peut les barrer la route de leur sadisme que seul le Dieu le tout puissant, et les soulèvements populaires du peuple souverain comme ce fut le cas de l’insurrection du 31 Octobre 2014 dont le peuple Burkinabé et sa jeunesse a dit que rien ne sera plus comme avant, avec comme porte-parole le valeureux I. Zida a la place de la révolution.

    Pourtant j’ai connu ce petit gendarme nommé I. Djibril Bassolé a ses début avec l’arrogance de citer théoriquement a ses paires de la gendarmerie nationale que la discipline et l’intelligence qui sont, entre autres, des qualités d’un bon militaire, et doivent être mis en avant le sens de l’honneur, la sincérité, le professionnalisme et le comportement. Et tout manquement doit être sanctionné selon la gravité des faits. Au sein de l’armée républicaine du Burkina, tous reçoivent la même éducation !

    Mais ce petit gendarme Djibril Bassolé, même avant d’être installé dans son nouveau bureau de ministre délégué de la sécurité nationale nommé par le petit président François le 16 décembre 1999, s’est jété a l’eau, et a décidé d’hériter le dossier de l’assassinat de Norbert Zongo, et l’étouffer pour les beaux yeux de François et Blaise Compaoré. Par la suite, comme récompense, il gravit les échelons jusqu’à être un faux général sans garnison : Comme se fut le cas de Gilbert Diendéré, après avoir canardé sans raison le valeureux Thomas Sankara et ses compagnons, est devenu le numéro deux du régime Compaoré et récompensé en prime le titre de général pour ses multiples assassinats. Tout dont je relates dans mes critiques, sont connus par les Burkinabé qui les ont vécu.

    Je n’ai aucune haine contre ces individus qui ne mérite ni la reconnaissance ni la haine de Ka. Mais avec mes critiques sur mes vécus du passé, c’est pour dire à toutes ou tous, celles ou ceux qui me lisent de se rappeler du passé qui n’est pas glorieux, et surtout de ne plus laisser ces criminels en puissance de continuer éternellement de le répéter. Encore une fois, merci à vous trois chers internautes de bonne foi, de m’épaulera dans ma vérité qui rougit les yeux, mais ne les crèvent pas pour que le monde soit meilleur.

  • Le 20 décembre 2018 à 20:49, par gohoga En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Merci Mr KA, tous nous savent que non seulement vous êtes un intellectuel de haut niveau, mais surtout témoin vivant de l’histoire de la Haute-Volta au Burkina. Merci encore que Dieu tout puissant vous donne la santé et long vie.

    • Le 21 décembre 2018 à 00:09, par Ka En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

      Gohoga : Merci de me lire : Beaucoup d’internautes de mauvaise foi me condamnent par ce qu’ils ne veulent pas voir la vérité en face. Ce n’est pas seulement au Burkina, mais aussi dans tout notre continent. C’est ce manque de voire les réalités du continent en face, que de porter des masques avec les gosiers larges, qui fait que l’Afrique reste embourbée depuis son indépendance dans son sous-développement.

      Emettant ici une opinion personnelle pour toi mon jeune internaute Gohoga, ‘’je dit que l’Afrique est malade de ses intellectuels : lorsqu’ils entrent en politique comme c’était le cas de Djibril Bassolé ou de Diendéré Gilbert, en passant par Hermann Yaméogo, Gilbert Ouédraogo et tant d’autres, ils ne sont pas différents des pires dictateurs du passé coloniale. Lorsqu’ils mettent leur savoir au service des détenteurs du pouvoir comme c’était le cas de Blaise Compaoré et son frère François, ils ne sont que d’ignobles courtisans.

      Je me suis toujours fait couvrir d’insultes parce quelques internautes de mauvaise foi quand j’évoque le sujet surtout en citant des noms, on me prend pour un pro régime mouta mouta, attaquant les intellectuels du pro régime du CDP de Blaise Compaoré. Ces personnes s’y trompent, car je tire à bout portant sur toutes ou tous les intellectuels de mauvaise foi des deux côtés. Car ces personnes qui voient que le bout de leur nez en soutenant des gouvernants dictatoriaux pour remplir leur gosier, même jusqu’à tuer pour ces dirigeants manipulateurs, ne savent pas en étant des intellectuels formés avec le denier du peuple, se mobiliser derrière un objectif concret qui va pour l’intérêt général, que seulement pour leur ventre. Et cela les obligent comme des chiens à exécuter les ordres aveuglement, même à étouffer les dossiers des crimes crapuleux comme celui de Norbert par Djibril Bassolé pour son mentor criminels en puissance. Merci de lire et continu. Que le souvenir de la naissance de Jésus Christ dans quelques jours, celui qui s’est fait crucifié pour laver nos péchés, te donne du courage dans tes activités de tous les jours, et te bénisse avec ta famille.

      • Le 21 décembre 2018 à 07:24, par Mogdrekindé En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

        Nous souscrivons à votre compréhension et développement pour ce qui est des comportements des Intellectuels de notre pays car en effet, bon nombre d’intellectuels pour ne pas dire tous autant qu’ils sont (en tout cas pour ceux qui sont des générations depuis les Indépendances de 1960 aux années 2015) ont perdu leur raison au profit de la recherche du Gain facile.

        A telle enseigne que, au lieu de mettre à l’épreuve ce qu’ils ont appris sur les bancs à la sueur des pauvres paysans burkinabé, par effet de comparaison éhontée, se bousculent à un point où ils sont obligés de se prostituer pour parvenir à des enrichissements malhonnêtes et surtout rapide n’en déplaise à l’ensemble qui s’appauvrit chaque jour davantage.

        Oui que ces personnes, depuis l’avènement du Régime de Blaise Compaoré allant de la Rectification au CDP en passant par l’ODP/MT, les Intellos que nous aimons à les qualifier estiment qu’il n’y a pas d’autres voies que la soumission au système dictatorial de Blaise Compaoré et ses chiens de garde (tous ceux qui ont été formés par B.C.) pour émerger, pour s’enrichir et vite sur la base de plusieurs facteurs que sont : i)-la comparaison avec ce qu’ils ont observé ailleurs dans les autres pays où ils y ont séjourné sur les rémunérations par eux estimées plus justes et plus stimulantes (à raison certainement) ; ii)-les comparaisons en interne avec les injustices observées dans les rémunérations accordées aux travailleurs. Disparâtres, le système Compaoré a su diviser les travailleurs et surtout les Intellos et Cadres pour mieux les exploiter, les gérer et les tenir en lesses.

        En exemples qui sont d’ailleurs nombreux, on retiendra les différences de salaires au niveaux des Serviteurs de la Fonction Publique (Primes mirobolantes appelées FONDS COMMUNS desservies à certains au détriment d’autres, les gros salaires attribués à des petits Députés parce qu’il n’y en a vraiment pas de grands parmi eux ; les larges différences jadis observées entre les militaires du RSP par rapport à l’ensemble de l’Armée etc.) Alors que des possibilités et des voies autres existent pour avancer tout en faisant avancer le pays à savoir, les possibilités à eux (intellectuels) données de par ce qu’ils ont appris de s’installer à leurs propres comptes et développer des "idées fortement rentables et enrichissantes" qui viendraient faire avancer le pays.

        Les politiciens, généralement faits et composés d’Incapables (incapacités prouvées déjà alors qu’ils sont toujours sur les bancs, mais qu’ils gardent en secret), ont réussi à convaincre ceux qui devraient être à la base de la production des richesses nationales que seule la Voie Politique peut les amener à l’enrichissement individuel et personnel. Pourtant, ils l’ont constaté, dans les pays où ils effectué leurs formations, que les intellectuels se ruent plus dans les Affaires privées qu’ils mettent en place.

        Ce qui a stimulé le Développement de ces pays. Si l’on décortique un peu le monde politique dans notre pays de nos jours, constat amère est fait et se fait que tous les politiques sans exclusive, ont été formés par Blaise Compaoré et son système ; système dictatorial qui, tout en assujétissant les gens, permettait à celui-ci, sa famille et ses collaborateurs de s’enrichir. Quelqu’un a dit jadis "Que la politique du Burkina Faso était la politique du Ventre", c’est-à-dire, "Mon ventre d’abord".

        On se rappelle dans les années 1986, un caissier des Impôts, après avoir vider le Coffre à lui confié, se sentant en danger a pris le mur en laissant comme message dans son Coffre une missive qui disait, nous citons : La Patrie ou la Mort, mon ventre d’abord". Cette connerie lui a coûté quelques années de prison, mais sans plus. Alors cher ami KA, nous pensons que vous avez raison sur toute la ligne, mais malheureusement, vous n’avez pas été compris et ne serez pas compris de bon nombre de nos compatriotes, notamment par les "pro-voleurs et inconscients" parce qu’on est en politique. Mais de quelle politique il s’agit.

        • Le 21 décembre 2018 à 13:08, par Ka En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

          Je dis ici chapeau mon ami internaute Mogdrekindé pour ta belle analyse, impartiale et simplement citoyenne. Une analyse enrichissante, dont je recommande à toutes et de tous les internautes de bonne foi de savourer cette analyse et de prendre des des dispositions pour qu’elle puisse paraître dans leurs critiques sur le forum de Lefaso.net, afin de mettre en garde tout intellectuel d’avoir un vrai idéal pour le développement du pays qui lui a tout donné.

          En lisant cette analyse j’ai eu des larmes dans les coins de mes yeux. Car, ça me rappelle de nos discutions avec mon ainé l’honorable professeur Alassane SERE qui vient de nous quitter ‘’paix a son âme :’’ ils étaient les premier boursiers des étudiants Burkinabé dans les années 1963 à aller en France, après c’était nous autres. Pendant un trajet d’un retour pour les vacance dans une troisième classe du bateau Jean Mermoz de Marseille à Dakar au mois juillet avec des étudiants Ivoirien et travailleur comme ouvrier en France a l’exemple de François Lougha devenu après un vrais artiste de la chanson Ivoirienne, durant les quatre jours de trajet, on parlait comme cette enrichissante analyse que nous révèle l’internaute Mogdrekindé, mais nous on avait un idéal et un objectif : ‘’développer ce que nous voyons en occident dans nos pays.’’ Ce que j’ai fait pour mon pays en tant que conseiller technique au développement de a travers quelques régimes et la révolution et la moitié du régime Compaoré jusqu’à à avoir une retraite méritée. Et tout dont je relate avec sincérité, ce sont mes vécus.

          Oui mon cher ami jeune internaute Mogdkindé, je confirme en disant ce que j’ai toujours dit toujours dans mes critiques. ‘’Le malheur de notre pays qui n’émerge pas vient de ce que nos intellectuels à défaut d’être dépositaires de la vérité n’ont même pas l’humilité d’en être assoiffés ; et ainsi faisant ils servent comme des agents de marketing payés pour fabriquer des vérités qui les éloignent de la réalité que de corrompre pour ses propres intérêts, au lieu de celui du peuple et l’émergence du pays. Notre chance, je parle au nom de mes promotionnels dont d’autres ne sont plus de ce monde, a notre retour des études en Europe, faute d’une institution de régulation sociale, nous nous sommes tourné vers comme il en existait dans nos sociétés traditionnelles, pour nous orienter. Et je peux confirmer que ces sociétés traditionnelles ne sont pas encore mortes, elles vivent, dictent nos réflexions et comportements, et elles sont un réservoir de sagesse encore utilisable pour redresser la barre de nos errements et de la mauvaise imitation du modèle occidental qui est là pour nous détruire disait le valeureux Thomas Sankara.
          La copie coller du système occidentale qui n’a pas été en un seul jour, est le mal en Afrique, et qui reste l’égoïsme des dirigeants qui prennent leurs peuples et leurs compatriotes comme des moutons ou leurs maîtresses. Et la seule solution pour les arrêtés ce sont Les soulèvements populaires comme celui du 31 Octobre 2014.

          Pour conclure mon auto critique cher Mogdrekindé, c’est que
          Dieu dans sa bonté infinie a doté l’Afrique de toutes les richesses, un sous-sol scandaleusement riche, un sol vaste et fertile et bien arrosé, un climat superbe d’été permanent, un soleil généreux, et enfin un peuple jeune et travailleur. Le seul problème, ce sont nos intellectuels et aussi de nos hommes politiques incapable, cupides et d’une pauvreté et misère d’esprit à nul autre comparable. Voici où se trouve le vrai problème de l’Afrique. Depuis des siècles, toute découverte et changement global sont en faveur de l’Afrique. Mais le mal qui nous ronge avec nos hommes politiques, empêchent l’Afrique de tirer les meilleurs opportunités de ces changements. Lorsqu’on parlait de biocarburants, l’Afrique était la mieux placée. De même en matière d’énergie solaire, l’Afrique est encore mieux placée. Avec la ruée vers les terres, l’Afrique présente encore les meilleurs atouts. Si nous avions des Gouvernants soucieux du devenir de leurs peuples, il y a ici matière à développement avec les terres. Mais la corruption a ciel ouvert reste la matière la plus développée de notre continent. Merci de me lire. Et bonne fêtes de fin d’année et que Dieu te bénisse avec ta famille mon ami Mogdrekindé.

      • Le 21 décembre 2018 à 07:32, par Vérité vraie En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

        Ka, tu es un proxénète et un fornicateur doublé d’un blasphémateur du Christ qui a souffert le martyr alors qu’il était innocent. Si tu invoques le nom du Christ Jésus tu ne dois plus avoir ces paroles dures et méchantes vis-à-vis de ces accusés qui souffrent quel que soit leur péché. Soit logique avec toi-même pour mériter le jugement divin, aies la crainte de Dieu même si tu crois vivre dans la
        clandesttinite du forum. Dieu te voit là où tu es. Soit tu arrêtes tes bêtises soit tu arrêtes de prendre Jesus comme témoin. Il n’est pas de ton bord et je pense même que tu es plus proche de satan par tes écrits que de Dieu qui est amour et miséricorde. Notre pays a besoin des bâtisseurs de paix même avec les bourreaux les plus impénitents car c’est de cette manière que ceux que tu cites comme Mandela ont construit la paix. Tiens-Le pour dit et change ton cœur petit vieux vaniteux. C’est ça les gwê comme disent les ivoiriens. Blaise n’est pas Kouassi petit lépreux. Blaise est du pays des Nakomssé qui ont perdu le pouvoir à Ouagadougou et se sont réfugiés sur ordre du chef à Ziniaré. Toi tu connais l’histoire de ce pays ? Va te coucher. Blaise va revenir se reposer à Ziniaré, sans jugement, voyager comme il veut au nom de la capacité extraordinaire de notre peuple aux vertus de la paix et de l’intérêt général. Tous ceux qui évoquent les crimes Sous le régime Compaore savent-ils le nombre de morts pendant la Constitution des royaumes mossis, bobo etc etc. ? Faut-il enfin un génocide rwandais au Burkina pour vous ouvrir les yeux ? Bon sang. Quand on entend Roch dire à l’ambasasse à Paris que les exilés se sont exilés seuls, on se dit que cet homme n’a pas encore pris la dimension du problème alors que le cardinal vient de prôner une fois de plus la sauvegarde de l’union par la réconciliation Que Dieu nous aide à sauver notre unité et notre solidarité dans l’amour fraternel Burkinabè. Ce n’est pas un rêve pour les haineux mais une réalité pour les femmes et les hommes de bonne volonté. La bonne foi se trouve à ce niveau et pas ailleurs dans la haine des vieux comme Ka.

      • Le 21 décembre 2018 à 07:41, par Mogdrekindé En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

        Nous souscrivons à votre compréhension et développement pour ce qui est des comportements des Intellectuels de notre pays car en effet, bon nombre d’intellectuels pour ne pas dire tous autant qu’ils sont (en tout cas pour ceux qui sont des générations depuis les Indépendances de 1960 aux années 2015) ont perdu leur raison au profit de la recherche du Gain facile. A telle enseigne que, au lieu de mettre à l’épreuve ce qu’ils ont appris sur les bancs à la sueur des pauvres paysans burkinabé, par effet de comparaison éhontée, se bousculent à un point où ils sont obligés de se prostituer pour parvenir à des enrichissements malhonnêtes et surtout rapide n’en déplaise à l’ensemble qui s’appauvrit chaque jour davantage.
        Oui que ces personnes, celles qui toutes autant qu’elles sont qui ont été formées par le Régime de Blaise Compaoré depuis l’avènement de son Régime allant de la Rectification au CDP en passant par l’ODP/MT, estiment qu’il n’y a pas d’autres voies que la soumission au système dictatorial de Blaise Compaoré et ses chiens de garde ont été tous formés par Blaise Compaoré pour émerger, pour s’enrichir et vite sur la base de plusieurs facteurs comparatifs que sont :
        i)-la comparaison avec ce qu’ils ont observé ailleurs dans les autres pays où ils y ont séjourné sur les rémunérations par eux estimées plus justes et plus stimulantes (à raison certainement) ;
        ii)-les comparaisons en interne avec les injustices observées dans les rémunérations accordées aux travailleurs. Disparates, le système Compaoré a su diviser les travailleurs et surtout les Intellos et Cadres pour mieux les exploiter, les gérer et les tenir en lèses.
        En exemples qui sont d’ailleurs nombreux, on retiendra les différences de salaires au niveau des Serviteurs de la Fonction Publique (Primes mirobolantes appelées FONDS COMMUNS desservies à certains au détriment d’autres, les gros salaires attribués à des petits Députés parce qu’il n’y en a vraiment pas de grands parmi eux ; les larges différences jadis observées entre les militaires du RSP par rapport à l’ensemble de l’Armée etc.) Alors que des possibilités et des voies autres existent pour avancer tout en faisant avancer le pays à savoir, les possibilités à eux (intellectuels) données de par ce qu’ils ont appris de s’installer à leurs propres comptes et développer des "idées fortement rentables et enrichissantes" qui viendraient faire avancer le pays.
        Les politiciens, généralement faits et composés d’Incapables (incapacités prouvées déjà alors qu’ils sont toujours sur les bancs, mais qu’ils gardent en secret), ont réussi à convaincre ceux qui devraient être à la base de la production des richesses nationales que seule la Voie Politique peut les amener à l’enrichissement individuel et personnel. Pourtant, ils l’ont constaté, dans les pays où ils effectué leurs formations, que les intellectuels se ruent plus dans les Affaires privées qu’ils mettent en place.
        Ce qui a stimulé le Développement de ces pays. Si l’on décortique un peu le monde politique dans notre pays de nos jours, constat amère est fait et se fait que tous les politiques sans exclusive, ont été formés par Blaise Compaoré et son système ; système dictatorial qui, tout en assujettissant les gens, permettait à celui-ci, sa famille et ses collaborateurs de s’enrichir. Quelqu’un a dit jadis "Que la politique du Burkina Faso était la politique du Ventre", c’est-à-dire, "Mon ventre d’abord".
        On se rappelle dans les années 1986, un caissier des Impôts, après avoir vidé le Coffre à lui confié, se sentant en danger a pris le mur en laissant comme message dans son Coffre une missive qui disait, nous citons : La Patrie ou la Mort, mon ventre d’abord". Cette connerie lui a coûté quelques années de prison, mais sans plus. Alors cher ami KA, nous pensons que vous avez raison sur toute la ligne, mais malheureusement, vous n’avez pas été compris et ne serez pas compris de bon nombre de nos compatriotes, notamment par les "pro-voleurs et inconscients" parce qu’on est en politique. Mais de quelle politique il s’agit.

    • Le 21 décembre 2018 à 07:03, par Vérité vraie En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

      Ka, intellectuel de haut niveau ! Je rêve. Normal aux pays des aveugles Le Borgne est le monarque

  • Le 20 décembre 2018 à 21:28, par Danhy Kab En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Je trouve curieux cette pression que l’Allemagne à faite sur l’expert. Qui est derrière cette pression ? Jusqu’à ce que l’Allemagne craigne une brouille diplomatique ? Avec qui ? Pas le BURKINA !?
    J’aimerais vraiment le savoir. Mais !
    LA FRANCE !?

  • Le 20 décembre 2018 à 23:59, par Razambwende En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Mes tres chers compatriote, soyons des artisans de paix et ne jetons pas l’huile sur le feu. Ne nous laissons pas posseder par la haine. Sachons pardonner et laissons Dieu le souverain juger chacun car de tous ceux qui jugent ou critiquent personne n’est propre sans peche. Le pardon est lien de l’amour alors que la haine est un vecteur de destruction de generation end generation. Alors le renard passe passe, chacun a son tour. Aujourd’hui c’est Djibril Bassolet mais demain ce sera toi ou lui ou X ou Y. Que la grace de Dieu fasse germer le pardon et l’amour dans les coeurs des Burkina bes.

  • Le 21 décembre 2018 à 06:21, par Vérité indiscutable En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Heureusement que la Justice ne suivra pas les passions des internautes pour rendre le verdict. Chacun pense connaître la vérité.
    Fatale erreur. Si tout était évident on n’avait plus besoin de Justice mes chers passionnés un peu déraisonnés !
    Ça aussi ça montre la faiblesse du peuple que nous sommes ; incapables de chercher à comprendre mais excité à faire valoir nos suppositions. Malheureusement supposition n’est pas égale à vérité et nulle part.
    Wait and see !

  • Le 21 décembre 2018 à 10:20, par ka En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Internaute Razambewendè : Merci pour ta critique qui peut toucher la race qui a le cœur de Jésus Christ comme toi et moi dont la bible et le coran sont nos livres de chevet. Mais est ce que cette critique touchera la race de loup comme Djibril Bassolé, Gilbert Diendéré, François Compaoré, qui sont comme des lions qu’on donne à manger aujourd’hui et demain si on ne leur donne pas ce qu’ils veulent, ils tuent qui ils veulent là où ils veulent ? C’est trop facile de dire de pardonner une fois que l’événement s’est produit, mais après ? Nous avions vu à l’stade du 4 Août l’introverti Blaise Compaoré demander pardon avec des larmes de crocodile a son peuple, devant les sages du pays, les chefs religions, même sa propre famille pour les crimes qu’ils ont commis lui et ses complices. Mais quelques temps après, nous avions vu l’honorable juge NEBIE passé dans ses crocs, par ce qu’il voulait refuser l’impunité et l’injustice surtout le tripatouillage de l’article 37.

    Mon cher ami, voilà un raccourci pour les diables comme X et Y au Burkina, dès qu’ils ont le pouvoir et la liberté, des individus comme Djibril Bassolé et Dendéré Gilbert, ils deviennent que des milices tribales. Je suis parfaitement d’accords avec toi car, Dieu est Amour et Paix ! Lorsqu’on à la foi on ne peut qu’agir comme toi, aller vers l’autre, offrir et partager. Que l’on soit chrétien, musulman ou juif et même d’autres religions (non monothéiste) la seule valeur est celle de la fraternité et cela s’est encore vu avec la main tendu du peuple Burkinabé a Blaise Compaoré, en lui disant de ne pas toucher a l’article 37 qui reste un vrai avocat pour l’alternance politique de notre pays. Tant mieux, Dieu est toujours à l’œuvre parmi nous. Merci quand même de vouloir rassembler les agneaux en ces fêtes de Noël et du nouvel an qui sont à nos portes. Je profite souhaiter a toutes et à tous Joyeux Noël, et que Dieu nous bénisse avec le pays que nous aimons.

  • Le 21 décembre 2018 à 20:07, par YIRMOAGA En réponse à : Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

    Bassolet a loupée le Naam ou le pouvoir à loupée Bassolet. Il était de toutes les situations, lorgnant le fauteuil en passant par les sectes, en convoyant l’or du TPR pour la première Dame, en mettant le pied sur les affaires David et Norbert, en poussant Honore à prendre des décisions anticonstitutionnelles la nuit de l’insurrction Le 30 quand BC était en difficulté , il a même reconnu être Zuda pour trahir, et le 31 pendant la fuite de BC, il a soutenu Honore dans sa prise du pouvoir ? Heureusement Zida le patriote a déjoué ? Et le 1er quand la hiérarchie s’est réunie pour une déclaration unitaire afin d’avoir un seul militaire pour diriger la transition, malgré que Honore l’a encore proposé, il a fallut le niet de Golf pour que le pouvoir le loup ? Une dernière fois où il était proche du Naam ? Golf sait que Bassolet PF, la première victime c’est lui Golf ? Mais Bassolet ne désarme pas. Il infiltre des proches dans le noyau des faiseurs de coup. Cette foi- ci il est double par le clan Golf avec sa Dame de fer et son enfant beaucoup large et estimé par les soldats loyaux à Golf. Le petit clan de Bassolet est noyé par l’evolution du scénario. Bassolet quitte le pays momentanément croyant à un revirement ? Golf arrive à avoir les Off du RSP qui n’etaient Pas au courant ? Finalement Bassolet ne supporte pas Golf, il le lache, croyant toujours profiter de l’evolution De la situation ? Les loyalistes rentrent en scène et tout est foutu pour les 2 généraux. Si les deux étaient unanimes pour un, Dieu Merci , la hiérarchie a joué pour les deux traîtres afin de s’ en débarrasser définitivement ???OUF, enfin l’atmee Se retrouvera après le départ à la retraite des CLN qui ont 60ans. Point barre.

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