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Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

Publié le jeudi 22 novembre 2018 à 00h44min

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Procès du putsch :

Après le Colonel major Boureima Kiéré, le prétoire a accueilli ce mercredi 21 novembre 2018 l’ancien bâtonnier, Mamadou Traoré, poursuivi pour complicité d’attentat à la sûreté de l’Etat, meurtre et complicité d’attentat à la sûreté de l’Etat.

Mamadou Traoré a plaidé non coupable. A la barre, l’accusé dit avoir reçu un appel téléphonique du président sénégalais, Macky Sall, le 16septembre aux environs de 22h.

Ce dernier voulait s’enquérir des nouvelles du président Michel Kafando auprès du Général Diendéré qu’il n’arrivait pas à joindre.

Mamadou Traoré a été un l’émissaire du président sénégalais auprès du Général Diendéré qu’il a rencontré au camp Naaba Koom aux environs de minuit. "Ça a duré quelques minutes et je suis reparti", a déclaré l’accusé.

Et le 17 septembre dans la matinée, Me Mamadou Traoré dit avoir participé au doua de sa tante au quartier Sankariaré. Pourtant, le médecin colonel Yonaba Saïdou, a déclaré avoir vu le bâtonnier au camp vers 7h lorsqu’il est venu faire le point de la visite médicale des ministres. C’est ce qui ressort des PV lus par le Parquet. "A moins d’avoir un don d’ubiquité, j’étais au doua de ma tante. Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué. J’ai quitté le camp vers minuit", a déclaré Me Mamadou Traoré.

Pourquoi Macky Sall est-il passé par vous pour parler au Général Gilbert Diendéré ? A cette question du Président du tribunal, le bâtonnier Mamadou Traoré dira qu’il était neutre et n’avait aucune accointance politique. "Rentrer en contact directement avec le Général pouvait prêter à confusion", a déclaré le bâtonnier, également conseil du président sénégalais.

Pour l’avocat que vous êtes, était-il de vos attributions de donner des conseils politiques, a demandé le Parquet militaire.

Pour le bâtonnier Mamadou Traoré, "un conseil reste un conseil. Réduire le rôle de l’avocat au palais de justice, c’est méconnaître la profession. La loi n’est que le reflet de la superstructure et cette superstructure est politique. Le droit lui même est politique. L’avocat moderne s’occupe de toutes les questions."

"C’est une bénédiction divine pour moi de n’avoir pas été à l’accueil des chefs d’Etats à l’aéroport de Ouagadougou, sinon je serai considéré comme le Vice-président du Conseil national de la Démocratie", a déclaré l’ancien bâtonnier Mamadou Traoré avant de soutenir qu’en temps de crise, le médiateur (ici le président Macky Sall) préfère passer par un émissaire plutôt que de rentrer en contact avec chacun des protagonistes.

A la question du Parquet militaire de savoir s’il a perçu des honoraires en tant que conseil du président sénégalais Macky Sall, l’ancien bâtonnier a répondu : "Honoraires vient du mot honorer. A l’origine, le client honorait son avocat en lui remettant quelque chose ou en ne lui remettant rien. Ce n’est pas dans tous les dossiers qu’on se fait payer. Mes deux avocats sont venus ici à leurs frais propres. Quand j’ai perdu ma mère, le président Alpha Condé est venu à Bobo-Dioulasso pour le doua. L’ami de mon papa a été soigné gratuitement grâce au président Macky Sall. J’ai eu plus que des honoraires."

A l’audience, des avocats des parties civiles ont déploré le fait que le Barreau n’ai pas condamné le coup d’État contrairement aux syndicats des magistrats. En réponse l’ancien bâtonnier, Mamadou Traoré a expliqué que le Barreau n’est pas un syndicat mais une institution de la République. "Quand j’ai décidé d’être bâtonnier, je voulais réunir tous les avocats. Mais toutes les questions politiques divisent. Je mets toujours toutes les questions en discussions. Ce n’est le rôle du Barreau de faire des déclarations", a-t-il soutenu avant de conclure que l’institution, au cours de sa rentrée judiciaire à laquelle a pris part le président Kafando, avait condamné le coup d’État.

Rappelons que l’accusé a par ailleurs donné sa position personnelle sur les coups d’États qui selon lui, ne résolvent pas les problèmes car après les élections il y a toujours une situation d’ambivalence.

Reprise de l’audition de l’accusé ce jeudi 21 novembre 2018 à 9h

Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 21 novembre 2018 à 14:36, par Le patriote En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    Cet avocat là a été un réactionnaire depuis belle lurette et le demeure. Celui là a aidé le blaiso a liquidé le président Sankara. Il faut contrôler son téléphone avec les agences de téléphonie pour vérifier s’il a vraiment reçu un coup de téléphone du président Macky Sall. Et d’ailleurs Macky Sall était parrain des putschistes. Quel était l’objet de la missive à lui confier par le président sénégalais ?

  • Le 21 novembre 2018 à 14:51, par Nabiiga En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    D’ici là, on aurait assisté à tous les subterfuges. Comme le journaliste avant lui, ils tentent d’envelopper leur forfait par leurs professions. Les questions qui se posent avec acuité sont les suivantes : Si le coup d’état avait prospéré, tous ceux qui ont défilé pour nier sans vergogne, les mains sur les cœurs (non sans invoquer le nom d’Allah) qu’ils ne sont pas concernés ni de près, ni de loin à cette affaire, où auraient-ils été ? Auraient-ils refusé des postes juteux ? Auraient-ils dit qu’ils n’avaient pas participé à l’édification du coup d’état, donc, au nom de Dieu, ils ne voudraient pas occuper ces postes ? C’est simple, tous ceux qui sont attribués des postes après un coup d’état sont ceux qui étaient en bon parfum avec ce qui se tramait avant le coup, jusque la réalisation du coup. Ce monsieur, tous comme cette bande de peureux des anciens RSP qui ont défilé pour nier leur implication, aurait été l’heureux occupant d’un poste ministériel ou un poste de responsabilité national juteux. C’est honteux qu’ils mentent de la sorte. Ils nous prennent comme des imbéciles incapables de raisonner. Pourquoi le Président sénégalais n’a-t-il pas pensé à une autre personne que lui ? Pourquoi son nom, comme de la magie, a sauté à l’esprit du Président sénégalais. Se connaissaient-ils avant ? Franchement !

  • Le 21 novembre 2018 à 16:17 En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    il est le conseil du president senegalais

  • Le 21 novembre 2018 à 16:46, par Mafoi En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    Lui et damiss nous prennent pour des nez percés.C’est quand même terrible que c’est lui mamadou traoré,simple quidam que le médecin colonel Yonaba en veut très spécialement pour le désigner comme étant sur le lieu du crime à 7h du matin.De 2 choses l’une :
    Soit notre médecin très étourdi était le 16 au camp Naaba Koom aux environs de minuit pour faire le point de la visite médicale des ministres alors que tu y étais déjà et aurait donc confondu minuit à 7h.
    Soit effectivement le 17,tu y étais à 7h et ne viens pas nous parler de doua de ta tante.Même si c’était le doua de ton père ou ta mère,la morale étant maintenant à l’agonie chez bon nombre de Burkinabè dont toi,tu vas zapper ce doua puisque tu te voyais déjà aux firmaments tout comme ce damiss qui avait préféré enjamber le corps de son beau père pour se retrouver au cœur du festin.
    En plus ton histoire avec maquis sale me laisse perplexe.Le Sénégal n’avait t’il pas une représentation diplomatique à Ouaga ?En réalité,tu était allé remettre des messages codés à notre général en carton et on a vu tout le cirque qu’il était venu faire avec son collègue bonimenteur yayi.Ces 2 là étaient dans le coup tout comme faure,ado,bilaise kouassi né compaoré,soro etc....mais votre putsch le plus guignolesque de la planète aura fait pschitt.Maintenant assume ta part de responsabilité et ne viens pas nous raconter des histoires à dormir debout

  • Le 21 novembre 2018 à 16:55, par Indjaba En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    Regarder bien son visage, il pue le faux. Il se croit plus futé et plus intelligent que les 16 millions d’âmes que nous sommes. Tous ces gars là sont des faux types qui n’ont pas digéré l’insurrection populaire avec surtout le départ de leur vache à lait. J’ai cité les Compaoré. En effet avec le Blaiso, cet avocat bouffait sans suer à l’intérieur mais aussi à l’extérieur car Blaise l’aidait à constituer son réseau mafieux de présidents peu soucieux de la paix tels que les Condé, les Maky et autres. Nous restons vigilants avec nos magistrats à qui on a donné l’indépendance mais qui apparemment ne savent plus quoi en faire. Si vous faites du mouta mouta avec ce faux type parce qu’il est UN de vos collaborateurs ou amis au palais, le peuple tout entier va vous huer et Dieu va vous punir. Déjà que vous ne voulez pas qu’on appelle par leurs noms les complices de la Cote d’Ivoire...Dites le droit rien que le droit et c’est tout.

  • Le 21 novembre 2018 à 17:03, par Indjaba En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    J’espère que les maitres Kam et Farama vont défendre les dignité et leur crédibilité en le cuisinant comme ils l’ont fait pour les autres inculpés ? Ici c’est pas une question de confrère ou de pote même si on comprends la sensibilité humaine. cuisiner le juridiquement, humilier le juridiquement et âpres le procès, on pourra les gracier et ils vont rouler la tête basse dans ce Ouagadougou. Vous pourrez toujours boire un whisky ensemble et participer ensemble aux réunions de l’ordre.

  • Le 21 novembre 2018 à 17:05, par Malboul En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    "Le droit lui-même est politique" déclare tout bonnement ce monsieur : 1/ donc on a raison de l’accuser d’avoir fait de la politique, de la mauvaise politique en l’occurrence, puisque pour lui être avocat et faire de la politique c’est la même chose ! 2/ Pourtant, cher Monsieur, il existe bien d’autres avocats et hommes de loi au Burkina qui n’ont pas soutenu le putsch ou n’y ont pas été impliqués ! Non ?

    Pendant qu’on y est, que ce Monsieur avocat politicien et grand étymologue nous dise aussi que avocat vient de advocare, appeler, et qu’il est donc celui qu’on appelle en cas de litige et de...putsch ! Du pur n’importe quoi qui se donne une apparence de profondeur

  • Le 21 novembre 2018 à 19:41, par Gnongre paré En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    Que Dieu ait pitié de notre pays, de nous. Avec de telles personnes, on ne sera jamais à l’abri de la « mauvaise coexistence ». Pour qui le connait, de ses comportements et déclarations si fallacieuses dans cette affaire de Coup d’Etat manqué, n’étonneraient personne.
    Venons-en à ses déclarations contradictoires :
    Tout d’abord ses contradictions avec la déposition du Médecin Colonel S. Yoda. Sans connaitre ce Monsieur mais connaissant parfaitement Me. Traoré Mamadou, nous aimerions avancer qu’il est mieux de croire à un « Diable » que de croire en Me Traoré bien connu pour ses grenouillages dans les systèmes politiques depuis le 04 Août 1983 lorsque, simple Etudiant en Année de Maîtrise en Droit, il s’est introduit dans le système des CDR où avec les Sieurs Ouédraogo Pierre et Hien Kilmité, il menait de main de fer, les activités de cette Organisation politique. Ainsi, de par ses connaissances en Droit et surtout en politique Communiste, c’était lui qui faisait tout pour faire passer les abus des éléments des CDR en actions légales, brimant ainsi le peuple qu’il asservissait coûte que coûte.
    Le Colonel S. Yoda, Médecin de surcroît ne saurait avoir beaucoup bu pour, dès déjà 7h00 du matin confondre « une matinée » à « une nuit », surtout minuit. Même en rêve. Mieux, s’il était dans un état d’ébriété, il serait la personne la moins indiquée pour couvrir une « Visite médicale » des séquestrés (PF, 1er Ministre et autres Ministres etc.). C’est dire donc qu’il y a plus de vérité dans la déclaration du Médecin-Colonel que dans celle de Me. Traore Mamadou qui a eu l’outrecuidance de traiter celui-ci de quelqu’un qui est frappée « d’ubiquité », se foutant ainsi de l’intelligence de celui-ci sans toutefois justifier de sa meilleure position sociale et intellectuelle que lui. C’est insultant.
    A la rectification, il a vite changé sa veste pour se retrouver dans les bonnes grâces du nouveau Pourvoir, lâchant ainsi ses amis du CNR et de son Organisation. Il n’en fut pas le seul puisque bien de personnes jadis cerveaux politiques du CNR se sont retrouvées sur la sellette avec le Front Populaire, de l’ODP/MT, puis du CDP. Delà, ses grenouillages l’ont amené au Barreau, puis progressivement accéder au poste de Bâtonnier.
    Comme on le connaît il est parvenu à être « l’Homme des Présidents » et plus particulièrement ceux-là qui sont venus se réfugier au Burkina Faso pour préparer la prise du Pouvoir dans leurs pays. On citera à cet effet en exemple, les Présidents Gbagbo de la C.I. et Alpha Condé de la Guinée pour lesquels, il fut jusqu’à l’avènement des choses au Faso, un Conseiller Privé. Rien n’étonnerait qu’il joue les mêmes jeux avec SE. Macky SALL pour pouvoir être son « Commissionnaire/Emissaire politique » au Burkina Faso et être ainsi missionné pour pouvoir rencontrer le Général Diendéré difficilement accessible en cette période. N’y pouvaient que les personnes spécialement triées et autorisées spécifiquement.
    Dans ces milieux, il ne sera un secret pour personne que les simples mots, à fortiori, les missions sont bien payées et gracieusement. C’est dire qu’il ment en déclarant que la mission par lui assurée a été désintéressée. Ce n’est donc pas surprenant que le Président Macky SALL ait pris en charge les frais médicaux de son parent ou que le Président Alpha CONDE ait fait spécialement le déplacement de Bobo-Dioulasso pour le doua de sa mère alors qu’à Conakry, les gens meurent chaque jours que Dieu fait sans qu’il ne daigne se déplacer. Ceci n’est que du bluff pour faire croire qu’il est une « personne importante » dans le sérail des Chefs d’Etat. On ne se laissera pas prendre au piège.
    Tout Président comme d’ailleurs tout être humain a droit et bien entendu intérêt de s’entourer de « Conseils de tous ordres » tels sur le plan juridique, politique etc. comme c’est son cas.. Rien donc d’étonnant à cela.
    Mais, delà à se retrouver au premier plan dans les circonstances, surtout du genre, il y a et il y aura vraiment matières à interprétation. Qui est-il pour penser être le Vice-Président du CND d’ailleurs mort-né. Si oui que le Président Macky Sall a besoin d’émissaire, il n’en manquera pas dans son Staff officiel et Officieux à Dakar pour lui faire appel s’il ne le savait pas impliqué dans la « Chose ».
    Considérer que le Barreau n’est pas un Syndicat pour faire des déclarations, c’est insulter tout le peuple burkinabé quand on sait que le problème concernait le pays, tout le peuple, Institutions Légales et Officielles de la République y compris qu’un Groupe de personnes (dont lui fait partie) se sont engagées à perturber, à détruire.
    Qu’il nous fasse l’économie de ses « abus de langage » du genre qu’il était venu pour réunir les Avocats du pays car on sait ce que ce Barreau est devenu depuis qu’il en a pris la tête.
    Ce monsieur est très très dangereux et l’on devrait s’en méfier. Qu’il répondent aux questions et qu’il dise la vérité. Il sait tellement grenouiller qu’il ne serait pas étonnant que les Présidents qu’il s’autorise de citer ne tentent des interventions qui se voudront « Diplomatiques et Politiques » pour le soutirer du Procès avec un Verdict qui n’aura rien à voir avec les vérités collectées qui sortiront des débats à ce procès. Il est vraiment très dangereux.

  • Le 21 novembre 2018 à 20:02, par jeunedame seret En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    Monsieur AVOCAT ou BANANE ; tu connais toutes les glissades et faufilages possibles pour servir discrètement les situations bizarres ; et Macky Sale voulait des nouvelles de Michel Kafando. Il pourrait demander à l’épouse kafando. Qu’est-ce que tu lui as rapporté ? Et sa réaction ? Quand as-tu connu ce sénégalais ?

  • Le 22 novembre 2018 à 08:04, par War En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    Mr gnongre pare emile je constate que vous connaissez ce monsieur depuis 1983 au moment des luttes corsees entre les cdr et l’aevo,il impressionne les jeunes magistrats qu’il à enseigne comme prof a l’enam. C’est l’ami de plusieurs presidents comme alpha conde macky sall yahi bony gbagbo deby ouattara et bien d’autres,il a aide tous ces gens quand ils etaient dans l’opposition et cherchaient le pouvoir c’est pas un petit gars mais un grand.En toute evidence il a ete missionne pour conseiller diendere et lui eviter de graves erreurs et tenir macky informe de l’evolution reelle des evenements.En cas de succes du coup il allait etre le PM civil a cote du pf diendere.il n’est pas implique dans le coup mais etait pret a l’accompagner..ou bien mamadou traore dit lenine.je pense que le docteur yonaba a confondu mamadou traore avec abdoul karim traore de perfectum qui lui etait present le lendemain

  • Le 22 novembre 2018 à 08:20, par Pousga En réponse à : Procès du putsch : "Je n’ai pas assisté à une rencontre pour la rédaction d’un communiqué", assure Mamadou Traoré

    Comme ça le Sénégal paie son ambassadeur à ne rien faire. Hum mensonge est bon dèh. Comme tu n’as jamais honte, il faut continuer seulement. Quatre personnes que tu étais là et tu dis non. Peut-être que c’est le zoom-koom du doua qui t’a fait oublier les choses. Tu ne peux pas prétendre à la vice-présidence du CND car il y avait trop de colonels qui guettaient ce poste.

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